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  • François Bayrou : Les Français doivent rembourser 50 000 € chacun !

    Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2025

    Bayrou : Français, vous devez faire des efforts pour rembourser la dette ! Vous ne travaillez pas assez ! Ce que vous n’avez pas compris !.

    François Bayrou s’appuie sur une statistique frappante qu’il a décrite comme un « piège » menaçant l’avenir économique de la France. En fin 2024, la dette publique française a atteint plus de 3 305,3 milliards d’euros, soit un endettement dépassant les 110 % du PIB du pays. Pour donner une idée concrète de cette montagne de dette, Bayrou divise tout simplement le montant total par le nombre d’habitants en France, aboutissant ainsi au chiffre symbolique d’environ 50 000 euros pour chaque citoyen français.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Il faut censurer ce gouvernement. Il faut renvoyer François Bayrou.

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2025

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    Il y a quelque chose de pathétique, presque crépusculaire, dans la conférence de presse de ce 15 avril du Premier ministre François Bayrou. Un spectacle d'impuissance tranquille, de résignation molle, de fatalisme brumeux. Une sorte de grand-père grognon qui, face à l’incendie qui ravage la maison, se contente de marmonner qu’il fait chaud et que c’est sans doute la faute du voisin.
    La France vit une crise budgétaire majeure, une hémorragie financière, une dette abyssale qui menace jusqu’à la souveraineté nationale. Et que fait François Bayrou ? Il découvre. Il réalise, presque avec candeur, que les dépenses publiques pèsent. Il nous apprend, entre deux soupirs et trois truismes, que l’argent magique n’existe pas. On aurait dit un étudiant découvrant les bases de l’économie publique à la veille de son partiel. Ce n’est plus un Premier ministre, c’est un promeneur du dimanche perdu sur un champ de bataille.
    Il annonce 40 milliards d’économies. Très bien. Où ? Comment ? Sur quoi ? Silence. Le brouillard. Pas un chiffre. Pas une piste. Pas une stratégie. C’est de la prestidigitation comptable, un tour de passe-passe verbal, sans le moindre contenu. De l’économie incantatoire. Le mot « économies » a été prononcé, c’est tout ce qui compte. La réalité, elle, attendra. Ou l’élection suivante.
    Et comme tous les incapables, il trouve des excuses. La guerre en Ukraine. Donald Trump et ses droits de douane. La météo bientôt ? L’alignement des planètes ? Le Premier ministre de la cinquième puissance mondiale se lamente comme un élève pris en défaut. Il se cherche des boucs émissaires, externalise la responsabilité, fuit la vérité.
    Il promet des « orientations » pour le budget 2026… d’ici le 14 juillet. Autrement dit : plus tard. Demain. Après-demain. Le jour où il fera beau. C’est-à-dire jamais. Car ce gouvernement n’a ni boussole, ni énergie, ni courage. Il est paralysé par sa propre médiocrité.
    François Bayrou est dépassé. Éreinté. Usé. Trop vieux pour l’époque, trop lent pour l’urgence, trop tiède pour le défi. Ce n’est plus un chef de gouvernement, c’est un retraité de la politique à qui l’on a redonné les clés par nostalgie mal placée. Il n’a plus la flamme, plus la force, plus l’intelligence stratégique que requiert la situation dramatique du pays.
    Il faut le dire clairement : la France ne peut plus se permettre ce genre de simulacre au sommet de l’État. Ce n’est pas seulement une erreur politique, c’est une faute grave. Il en va de notre avenir, de notre indépendance, de notre survie.
    Il faut censurer ce gouvernement. Il faut renvoyer François Bayrou. Et vite. Avant que le naufrage ne devienne irréversible. La France mérite mieux que cette procession de technocrates à bout de souffle.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • François Bayrou avoue qu’il y a au moins 9 millions de musulmans en France

    Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2025

    Les médias (ici RMC) rapportent :

    Après avoir soutenu la proposition de loi sur le port du voile dans les compétitions sportives, François Bayrou n’y serait désormais plus favorable. C’est en tout cas le sens des propos tenus ce mardi par le Premier ministre.

    La ligne de François Bayrou a visiblement évolué. Le Premier ministre était interrogé ce mardi par la droite sur la proposition de loi déjà votée au sénat pour généraliser l’interdiction du port de signes religieux à toutes les compétitions sportives.

    Ce pasasge nous intéresse particulièrement :

    Patrick Mignola, le ministre en charge des relations avec le parlement, a indiqué ne pas voir comment cette proposition de loi pouvait rentrer dans l’agenda de l’Assemblée nationale. Ce à quoi Bayrou a répondu: « Il ne faut pas stigmatiser nos 9 millions de compatriotes musulmans. » […]

    Alors qu’il est interdit en France d’obtenir des statistiques sur l’ampleur de la tentative de remplacement de la population autochtone, le Premier ministre vient de faire un bel aveu.

    En bonne logique, quand il parle de « compatriotes » [sic], cela signifie qu’il ne compte pas ceux qui sont formellement étrangers et en règle, ni les clandestins.

    On doit avoir entre 12 et 15 millions d’adeptes de l’islam en France, pour un total de 18 à 20 millions de non Européens…
    Données auxquelles il faut ajouter le taux de métissage actuellement important (après des décennies d’intense promotion médiatique et publicitaire)…
    Le peuple autochtone de la France est plus que jamais menacé de disparition.

  • Retraite fixé à 62 ans.

    Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2025

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    François Bayrou vient de révéler, sans surprise, que le gouvernement n'entend pas revenir sur l'âge légal de départ à la retraite fixé à 62 ans. Ce soi-disant « conclave » était un artifice grotesque destiné à duper aussi bien les socialistes naïfs que le Rassemblement National, et visait uniquement à gagner du temps pour éviter la censure budgétaire.
    Cette énième manipulation ne résout rien, elle prolonge simplement l'agonie d'un système injuste et condamné d'avance. Notre système de retraite par répartition est devenu une gigantesque pyramide de Ponzi, qui repose aujourd'hui sur un nombre d'actifs de plus en plus réduit. En 1960, on comptait quatre actifs pour un retraité ; aujourd'hui, à peine 1,7 actif soutient un retraité. Cette folie collective ne peut mener qu'à une faillite certaine et rapide.
    Le Parti de la France appelle à une réforme radicale : il est temps d'abandonner la répartition, totalement obsolète, et de passer enfin à un système de retraite par capitalisation pour tous. Chaque salarié doit pouvoir gérer librement son épargne retraite, disposer directement des cotisations patronales et surtout décider par lui-même du moment où il choisira d'arrêter de travailler, selon ses propres besoins, ses aspirations et son parcours personnel.
    La retraite à la carte, voilà la seule voie juste, moderne et responsable pour l'avenir de la France. Tout le reste n'est que démagogie et mensonge politicien.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France