Publié par Guy de Laferrière le 11 juillet 2024
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Macron nommera un 1er ministre !
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Des élections suivies d’une insurrection : tout bénéfice pour Macron
Publié par Guy de Laferrière le 20 juin 2024
Les hypothèses vont bon train. Quelle stratégie adoptera Emmanuel Macron après l’annonce des résultats des élections législatives anticipées ? Un blocage des institutions accompagné d’un climat insurrectionnel est sérieusement envisagé. Dans ce cas, Emmanuel Macron dispose d’une arme exceptionnelle : le recours à l’article 16 de la Constitution, qui lui confère les pleins pouvoirs !
Situation d’exception sans contre-pouvoir
Selon différents médias, Emmanuel Macron a déjà discuté de cette hypothèse avec son proche entourage.
Il est bien possible qu’au soir du 7 juillet, aucun parti politique ne dispose d’une majorité absolue. Est-ce de nature à entraîner un blocage des institutions. Certains croient à ce scénario. D’autres prédisent que, dans tous cas, la France basculera dans une atmosphère d’insurrection et d’émeutes. Alors que le ministère de l’Intérieur a prévu de concentrer les effectifs des services de police et de gendarmerie sur la sécurité des Jeux Olympiques, la situation pourrait rapidement dégénérer en ce mois de juillet dans de nombreuses villes de France devenues hors de contrôle.
Ce serait alors une opportunité pour Emmanuel Macron de se saisir, en tant que président de la république, de l’article 16 de la Constitution, et de s’arroger les pleins pouvoirs.
Les conditions pour actionner l’article 16 de la Constitution sont une menace insurrectionnelle, susceptible de remettre en cause l’intégrité du territoire ou l’interruption du fonctionnement régulier des pouvoirs publics.
Ce deuxième cas pourrait être choisi par Emmanuel Macron après ces législatives. Le chef de l’État pourrait alors s’arroger tous les pouvoirs.
Il peut prendre seul cette décision et maintenir cette situation aussi longtemps qu’il le juge nécessaire. Après 60 jours, le Conseil constitutionnel, s’il est saisi, pourra simplement émettre un avis sur le bien-fondé ou non du recours à cette situation d’exception.
Léo Kersauzie
Source : medias-presse.info
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Le piège est en place
Publié par Guy de Laferrière le 10 juin 2024
Bernard Germain
À travers la quasi totalité de l’Europe lors du scrutin pour élire les députés européens, on constate que les partis patriotes, que certains disent d’extrême droite, progressent très fortement comme en Autriche où le FPO arrive en tête avec près de 30 % des suffrages.
En France, c’est la même situation. Le RN remporte haut la main le scrutin des élections européennes avec plus de 31 % des voix, ce qui constitue un record historique pour ce parti, même si l’abstention est proche de 50 % ce qui relativise un peu l’ampleur de la victoire pour tout observateur objectif. Il n’empêche, ce résultat doit être vu politiquement de deux manières : d’une part comme un vrai refus de cette Europe qui se construit et agit contre les peuples et les nations, et d’autre part comme un rejet complet du macronisme qui depuis 7 ans détruit la France et ruine les Français faisant basculer nombre d’entre eux dans la précarité, la misère et l’insécurité.
Comprenant parfaitement ce qu’exprime ce vote des Français, Macron a donc tiré la leçon du scrutin et en a déduit en conclusion la dissolution de l’Assemblée Nationale, deux ans à peine après son élection de 2022.
En vérité, cette dissolution constitue la mise en place d’un véritable piège,
Ce qu’espère Macron est absolument évident : faire élire très vite une majorité RN dans la prochaine Assemblée nationale afin que ce parti se retrouve au pouvoir dans le cadre d’une alternance, 3 ans avant la future élection présidentielle de 2027.
Pourquoi Macron fait-il cela ?
Là encore, c’est fort logique. Macron est à juste titre persuadé que s’il continue à conduire sa politique avec son gouvernement et sa « majorité » à l’Assemblée nationale, le désastre est assuré en 2027. Avec un raz de marée à la présidentielle pour Marine Le Pen, suivi d’un autre raz de marée pour le RN aux législatives qui suivront.
Comment éviter ce scénario catastrophe ?
En donnant le pouvoir dès maintenant au RN afin qu’en 3 ans il se brûle les ailes, accusé de tous les maux et surtout d’être responsable des conséquences de 7 ans de macronisme même s’il n’y est pour rien puisque ce n’est pas lui qui a mis en place les mesures dont nous payons et payerons les conséquences dans les mois et années à venir. La gauche, les « progressistes » et les médias bien pensants se feront bien sûr un devoir pendant ces 3 ans de chanter inlassablement cette petite chanson : « Il y a tel ou tel problème, c’est de la faute du RN. D’ailleurs, on vous avait dit de ne pas mettre le RN au pouvoir et qu’il fallait faire barrage à l’extrême droite. Vous ne nous avez pas écouté, aujourd’hui vous en payez le prix ».
Et tous les phénomènes cachés jusqu’à ce jour vont bien sûr être complaisamment mis à jour et grossis afin de diaboliser et dénoncer la présence du RN au pouvoir, déclaré responsable de tous nos malheurs.
Reste que ce scénario ne sera possible que si le RN obtient une majorité absolue à l’Assemblée nationale.
Mais deux autres scenarii sont possibles :
- Que le RN n’ait qu’une majorité relative et dans ce cas la question deviendra : avec quelle force politique faire une majorité ? On a un peu de mal à imaginer les LR s’allier avec le RN, quant aux autres forces c’est clairement impossible.
- Que le RN n’ait pas de majorité et que Macron réussisse à en bâtir une nouvelle, mais là aussi cela paraît très improbable car faire un « front populaire contre l’extrême droite » c’est facile, mais faire voter dans le même sens pendant 3 un attelage qui tire à hue et à dia, ce sera mission impossible.
Enfin, il reste une dernière possibilité : que la situation devienne à ce point inextricable qu’elle amène Macron à présenter sa propre démission.
Le plus probable étant quand même que le RN obtienne un résultat qui lui permettra d’avoir une majorité et que Macron appelle donc ce parti à gouverner le pays.
Pour le RN, cela posera un véritable dilemme : essayer de contenter tout le monde et conduire une politique qui ne réglera aucun problème ou s’atteler vraiment à résoudre les problèmes ?
Ainsi, s’agissant de l’immigration, le RN va-t-il taper du poing sur la table et refuser d’appliquer à l’avenir les décisions de Bruxelles dans ce domaine ? Va-t-il décider la remise en place des frontières de notre pays, y compris avec les autres pays européens c’est à dire en refusant à l’avenir de respecter le principe de l’espace Schengen ? Le RN va-t-il imposer l’expulsion des OQTF et obliger les pays d’origine à reprendre leurs ressortissants ? Le RN va-t-il appliquer une politique de préférence nationale et faire en sorte que la terre entière ne vienne pas chez nous pour profiter de la générosité sociale de la France tout en crachant sur notre drapeau et notre identité ?
Autre exemple : le RN va-t-il couper les ailes de la gauche et des bien pensants qui judiciarisent en permanence toute opinion qui est jugée incorrecte, « haineuse » ou discriminante ? Pourtant ce serait très simple. Il suffirait d’abroger les Lois : Pléven, Gayssot et Taubira, supprimant du même coup l’immense majorité des « délits » qui vous amènent devant la 17ème Chambre à Paris.
Ce ne sont que deux exemples mais il en ira ainsi sur tous les sujets.
Au final, chacun comprend que si le RN engage résolument une politique courageuse afin de supprimer tout ce qui contribue à la dégradation de notre pays, l’élection présidentielle de 2027 sera une formalité car il aura montré aux Français qu’avec lui « ça change vraiment ».
En revanche, s’il mène une politique à l’eau tiède afin de ne mécontenter personne avec d’incessants reculs sur de nombreux thèmes comme le fait Marine Le Pen depuis des années, il sciera la branche sur laquelle il est assis en ruinant les attentes et espoirs des Français et se préparera du même coup un avenir bien sombre.
Dans ce cas ce sera un succès pour le piège que Macron vient de mettre en place en ce dimanche 9 juin 2024 à 20H30.
Une première réponse sera apportée avec le résultat du second tour des législatives le 7 juillet.
Si, à la suite de ces résultats, le RN accède au pouvoir nous saurons vite s’il va doucher ou pas les attentes des Français.
Source : synthesenationale
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Macron,Mbappe
Publié par Guy de Laferrière le 27 mai 2024
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"Macron nous impose la start-up nation version Jul : beuh, wesh-wesh et Coca-Cola"
Publié par Guy de Laferrière le 12 mai 2024
Tout a été parfait, magnifique, superbe dans cette arrivée du Belem à Marseille : la beauté du site naturel de la ville, la beauté du navire, l'enthousiasme et la joie - sans le moindre incident... - de la population, le tifo splendide et riche de sens offert par les supporteurs de l'OM, la Patrouille de France, le multiple médaillé Florent Manaudou, modèle pour tous...
Il a fallu qu'après ce "tout parfait" Macron vienne clôturer ce splendide moment par les choix qu'il a imposés, ramenant la fête magnifique au fond du panier (pour ne pas dire de la poubelle) en nous imposant son Jul : Macron semble fasciné par les éphèbes (comme aux Antilles, par exemple) ou par les "rappeurs" (?) limite/limite, comme ce "Jul" (qui éructe tout de même "Te déshabille pas je vais te violer" dans l'une de ses chansons (?), et il y en a des dizaines d'autres comme "ça" : par exemple, ce monstrueux "Nique ta mère sur la Canebière - Nique tes morts sur le Vieux-Port"...); Macron semble fasciné aussi par tout ce qui vient des banlieues en général (oser dire que le "9.3." c'est "la Californie sans la mer", il fallait le faire, eh, bien ! il l'a fait ! il l'a dit !).
Que Macron soit fasciné par ses fantasmes, c'est son problème ! Mais qu'il ne les impose pas à la terre entière !
Nous sommes totalement d'accord avec l'article de Marie Delarue, dans Boulevard Voltaire :
"Macron nous impose la start-up nation version Jul : beuh, wesh-wesh et Coca-Cola" :
Pour nous, la fête, la vraie et belle fête, grandiose, s'est arrêtée, ce magnifique jour-là, à ce minable moment-là...