Publié par Guy de Laferrière le 17 octobre 2024
économies
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Economies substantielles pour le budget 2025, en voici 3 :
Si le gouvernement et les parlementaires veulent quelques pistes pour faire des économies substantielles pour le budget 2025, en voici 3 :- Arrêter de financer l'immigration en décrétant l'exclusivité nationale pour l'ensemble des aides sociales ;- Stopper ce délire idéologique de la transition énergétique qui plombe notre économie et notre compétitivité.- Ne plus filer un seul euro à l'Ukraine, à l'Afrique et à qui que ce soit dans le monde tant que la France sera endettée.Il ne faut pourtant pas être prix Nobel d'économie pour concevoir ces mesures de bon sens qui feraient économiser - immédiatement - des dizaines voire des centaines de milliards à l'État français. En revanche, il faut un peu de courage politique pour les appliquer.Thomas Joly - Président du Parti de la France -
Et si l'on faisait des économies ? Partout ! Par exemple, en abaissant le nombre de Députés, et en réduisant leurs "gras" avantages.
Publié par Guy de Laferrière le 25 juillet 2024
Et si l'on faisait des économies ? Partout ! Par exemple, en abaissant le nombre de Députés, et en réduisant leurs "gras" avantages. Certes, comparaison n'est pas raison, mais tout de même... : comparons juste un instant la France et les USA :
• là-bas, il n'y a que 535 membres du Congrès : 435 à la Chambre des représentants et 100 au Sénat. En France, entre l'Assemblée nationale et le Sénat, on arrive à 925 parlementaires, soit 1,7 fois plus qu'aux Etats-Unis. En plus, la population américaine est bien plus élevée que celle de la France : plus de 320 millions d'habitants, donc 535 parlementaires, soit un pour 600 000 habitants. En France, avec 66 millions d'habitants et 925 parlementaires, nous avons un parlementaire pour 71 000 habitants.
• parlons maintenant des "gras" avantages des députés français :
• Salaire mensuel de 7 637 € brut;
• La présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, perçoit 7 698 € en plus de son salaire de députée, ce qui lui fait un total de 15 335 € brut par mois. Elle dispose également d’un logement de fonction;
• Les questeurs reçoivent une indemnité supplémentaire de 5 300 € par mois et peuvent prétendre à un logement de fonction;
• Chaque député dispose de 17 000 € par mois pour rémunérer d’éventuels collaborateurs et régler des frais de mandat;
• Déplacements en train en 1re ou 2e classe pris en charge par l’Assemblée nationale;
• 80 trajets d’avion par an entre Paris et leur circonscription, et 12 jours de déplacement hors circonscription en France métropolitaine;
• Passe Navigo illimité;
• Déplacements professionnels en taxi ou VTC remboursés;
• Pour l’hébergement, la résidence de l’Assemblée dispose également de 51 chambres. Si elles sont toutes occupées, les députés peuvent dormir à l’hôtel et être remboursés jusqu’à 200 € par nuit;
• Les députés ayant des enfants de moins de 3 ans peuvent recevoir une allocation de garde d’enfant de 323 € par mois...
Elle est pas belle, la vie de député dans la Républiquouille (comme dirait Godefroy de Montmirail) ?
Et si on nettoyait ces écuries d'Augias ?
ON TROUVERAIT - LÀ - BEAUCOUP D'ARGENT, QUE L'ON POURRAIT EMPLOYER - BEAUCOUP MIEUX - AILLEURS...
Source : lafautearousseau
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FAIRE DES ÉCONOMIES ! ET RÉDUIRE LE TRAIN DE VIE DE L'ÉTAT !
Publié par Guy de Laferrière le 21 septembre 2023
Nouveau fiasco pour le semble-gouvernement et pour Macron : les grands distributeurs de carburant refusent de vendre à perte !
La vraie solution est de baisser la démentielle TIPP (52 centimes de taxes pour un euro à la pompe !), ce qui ne peut se faire - puisque la perte de recette fiscale pour le gouvernement sera colossale - qu'en commençant par le commencement :
FAIRE DES ÉCONOMIES !
ET RÉDUIRE LE TRAIN DE VIE DE L'ÉTAT !
EN RÉDUISANT LA DÉMENTIELLE SUR-ADMINISTRATION,
EN ARRÊTANT L'IMMIGRATION,
EN REFONDANT L'ÉCOLE ET EN CESSANT D'Y METTRE TANT DE JEUNES QUI NE SOUHAITENT PAS Y ÊTRE...
(début de liste évidemment non limitative...)
https://www.lefigaro.fr/societes/carburant-les-enseignes-refusent-de-vendre-a-perte-20230919
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La Cour des comptes veut faire des économies sur le dos des anciens combattants mais ne dit rien du coût de l’immigration
Publié par Guy Jovelin le 07 juillet 2019
Pour faire des économies, la Cour des comptes ne propose pas de diminuer les dépenses gigantesques liées à l’accueil des immigrés mais de sabrer dans les avantages fiscaux dont bénéficient les anciens combattants ! La Cour des comptes a en effet remis en cause le dispositif de retraite mutualiste du combattant (RMC), le système de rente par capitalisation instauré au lendemain de la Première Guerre mondiale, rapporte le site spécialisé Opex360.
Destiné aux titulaires de la carte du combattant et/ou de la médaille de reconnaissance de la Nation ainsi qu’aux personnes reconnues comme victime de guerre, à savoir les conjoints, enfants ou parents d’un ancien combattant « mort pour la France à titre militaire », cet argent est déductible du revenu imposable. Pour en profiter, il faut cotiser pendant un nombre minimum d’années. Versée dès l’âge de 50 ans, cette retraite, dont le plafond annuel majoré est de 1 806 euros, est majorée par l’État de 12,5 à 60% selon le conflit auquel le bénéficiaire a participé ou l’ancienneté du combattant. Celle-ci est en outre revalorisée tous les ans, inflation oblige. À cela s’ajoute l’allocation de reconnaissance servie aux anciens membres des formations supplétives de l’armée française en Algérie, les harkis, et leurs veuves.
Or, dans sa note d’exécution budgétaire relative à l’exercice 2018 et publiée en mai dernier, la Cour des comptes n’hésite pas à remettre en cause le dispositif ainsi que la pertinence des réductions d’impôt en faveur des anciens combattants : « La Cour réitère les recommandations qu’elle a formulées au secrétaire général pour l’administration du ministère des Armées lors du contrôle de cette allocation ». La Cour des comptes recommande par exemple de supprimer « la majoration légale qui n’a plus de lien avec l’inflation » afin d’économiser 117 millions d’euros par an ainsi que le « dispositif autorisant l’exonération fiscale de la rente mutualiste », estimée à 50 autres millions d’économies.
La Cour des comptes propose aussi de supprimer la retraite du combattant, non imposable, qui avoisine 750 euros mensuels en moyenne et à laquelle ont droit les titulaires de la carte du combattant âgés de plus de 65 ans. Les plus de 74 ans et leurs veuves bénéficient eux d’une demi-part supplémentaire, ce qui représente trois fois plus que la « dépense fiscale » calculée jusqu’ici.
On aimerait que la Cour des comptes se penche avec la même sévérité sur les économies à faire sur le coût de l’immigration, les subventions accordées aux médias, les subventions offertes aux associations et lobbies de l’anti-France ainsi que les avantages fiscaux accordés aux partis politiques, pour ne citer que cela.
Source : medias-presse.info