Publié par Guy de Laferrière le 17 octobre 2024
budget
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Economies substantielles pour le budget 2025, en voici 3 :
Si le gouvernement et les parlementaires veulent quelques pistes pour faire des économies substantielles pour le budget 2025, en voici 3 :- Arrêter de financer l'immigration en décrétant l'exclusivité nationale pour l'ensemble des aides sociales ;- Stopper ce délire idéologique de la transition énergétique qui plombe notre économie et notre compétitivité.- Ne plus filer un seul euro à l'Ukraine, à l'Afrique et à qui que ce soit dans le monde tant que la France sera endettée.Il ne faut pourtant pas être prix Nobel d'économie pour concevoir ces mesures de bon sens qui feraient économiser - immédiatement - des dizaines voire des centaines de milliards à l'État français. En revanche, il faut un peu de courage politique pour les appliquer.Thomas Joly - Président du Parti de la France -
A la vôtre les vaches à lait.
Publié par Guy de Laferrière le 14 octobre 2024
Sur ce coup-là, difficile de ne pas dire : "Nous sommes tous des "fred le gaulois" !!!!!"
"Budget 2025 :
• L'Elysée : + 3 000 000 €;
• L'Assemblée Générale : + 10 300 000 €;
Sénat : + 6 000 000 €...
A la vôtre les vaches à lait."
Source : lafautearousseau
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Ce n’est pas la crise pour tout le monde
Publié par Guy de Laferrière le 12 octobre 2024
L’Élysée augmente son budget 2025 de plusieurs millions d’euros. L’Élysée justifie cette hausse (+2,5 % soit trois millions d’euros) par l’inflation sur les dépenses de personnel (+3,1 %) et de fonctionnement (+1,6 %). Sept nouveaux postes seront créés à la Maison Élysée.
Malgré une hausse de 11 % par rapport à 2023, le budget de 2024 a dérapé en cours d’année, les dépenses atteignant 126,3 millions d’euros, au lieu des 125,1 millions prévus.
La dotation attribuée à l’Assemblée nationale et au Sénat connaîtra une hausse de 1,7 %. En 2024, l’Assemblée a dû faire face aux conséquences de la dissolution, qui a engendré un coût net de 28,5 millions d’euros, principalement lié aux licenciements des collaborateurs parlementaires. Ce montant a été compensé par une dotation complémentaire de l’État.
Source : lesalonbeige
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Premières tendances du budget de la Sécurité sociale : Baisse du remboursement des consultations médicales, hausse du budget de l’AME (réservé aux immigrés clandestins)
Publié par Guy de Laferrière le 11 octobre 2024
Vers une baisse de la prise en charge chez le médecin par la Sécu
Le gouvernement a décidé de relever de 10 points le ticket modérateur. Cette mesure devrait permettre à l’Assurance-maladie d’économiser 1 milliard d’euros, en reportant la charge sur les assurés sociaux.
Le gouvernement qui présentait jeudi le projet de loi de financement de la Sécurité Sociale pour 2025, a décidé plusieurs mesures pour maîtriser la progression des dépenses de santé. Il prévoit notamment de relever le ticket modérateur – c’est-à-dire la part non remboursée par l’Assurance maladie – chez le médecin et la sage-femme.
Concrètement, la Sécurité Sociale remboursera 60% (contre 70% actuellement) de la consultation chez le médecin laissant 40% (contre 30% actuellement) à la charge du patient.
Budget de l’AME devrait passer de 1,1 milliard à 1,2 milliard
L’enveloppe allouée à l’AME augmente sobrement, passant de 1,1 milliard en 2024 à 1,2 milliard en 2025. « Ce dispositif, dont la nécessité sanitaire a récemment été rappelée par la mission de Claude Evin et Patrick Stefanini, contribue à préserver l’ensemble de la population de risques épidémiologiques et sanitaires », fait valoir le gouvernement, précisant qu’il s’agit d’assurer « l’accès aux soins aux personnes en situation irrégulière dans une visée sanitaire et humanitaire ».
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Ce n’est pas la fin de l’abondance pour tout le monde
Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2022
Mercredi 5 octobre, un document budgétaire annexé au projet de loi de finances 2023 a révélé une prévision à la hausse du budget de l’Élysée pour l’année à venir. Tandis que le budget de la présidence de la République était stable entre 2021 et 2022, il augmentera de 4,8% en 2023, soit 5,2 millions d’euros supplémentaires, ce qui porte l’enveloppe totale à 114,43 millions d’euros. Un pognon de dingue mais… c’est l’Etat qui paie.
Source : lesalonbeige