Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

budget - Page 2

  • Faute de budget, une frégate protégeant le « Charles de Gaulle » privée de brouilleurs antimissile  juste avant un face-à-face tendu avec les Russes en Méditerranée

    Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2022

    Faute de budget, une frégate protégeant le « Charles de Gaulle » privée de brouilleurs antimissile

    L’histoire est à peine croyable : la marine a dû démonter un équipement d’autodéfense juste avant un face-à-face tendu avec les Russes en Méditerranée.

    www.lepoint.fr via fdesouche

  • Le Parlement européen se dote d’un fonds avec un budget de 10 milliards d’euros pour “développer la migration régulière”

    Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2021

    Le Parlement adopte deux fonds sur l’asile et la gestion des frontières

    • Le Fonds ‘‘asile, migration et intégration’’, doté de 9,88 milliards d’euros, soutiendra les politiques d’asile et de migration
    • Le Fonds pour la gestion intégrée des frontières, doté de 6,24 milliards d’euros, pour une gestion des frontières extérieures qui respecte les droits fondamentaux

    Le Fonds ‘‘asile, migration et intégration’’ (9,88 milliards d’euros pour la période 2021-2027) renforcera la politique commune de l’UE en matière d’asile, à développer la migration régulière en lien avec les besoins des États membres, à soutenir l’intégration des ressortissants de pays tiers et à contribuer à la lutte contre la migration irrégulière. À la demande du Parlement, l’argent devrait également servir à encourager les États membres à partager plus équitablement les responsabilités dans l’accueil des réfugiés et des demandeurs d’asile dans toute l’UE.

    Plus d’informations sur les objectifs, les priorités et les allocations budgétaires du Fonds sont disponibles dans le communiqué de presse publié suite à l’accord avec le Conseil.

    Avec un budget de 6,27 milliards d’euros pour les sept prochaines années, le Fonds pour la gestion intégrée des frontières aidera à renforcer la gestion des frontières extérieures de l’UE tout en garantissant le respect des droits fondamentaux. Il contribuera également à une politique commune et harmonisée en matière de visas, et introduira des mesures protectrices pour les personnes vulnérables arrivant en Europe, notamment les mineurs non accompagnés.

    Pour en savoir plus sur les objectifs principaux de cet instrument et sur les priorités du Parlement concernant sa mise en œuvre, cliquez ici.

    Citation

    La rapporteure Tanja Fajon (S&D, SL) a déclaré: ‘‘Pour que la solidarité soit au cœur de la politique en matière de migration et d’asile, nous avons besoin de ressources supplémentaires. La décision d’aujourd’hui garantit que l’UE investit non seulement pour renforcer les régimes d’asile, mais aussi pour répartir équitablement la pression migratoire entre États membres.

    Les frontières de l’UE devront à l’avenir être efficaces, numériques, humaines et sûres. Ces nouveaux instruments nous permettent d’avancer vers cet objectif. Ensemble, nous pouvons rendre notre politique relative aux frontières, à l’asile et aux visas conforme à nos obligations en matière de droits de l’homme, notamment en augmentant le financement dédié à la recherche et au sauvetage pour venir en aide aux personnes qui se noient aux frontières de l’Europe. Ces investissements profiteront non seulement à l’économie européenne mais aussi à la société dans son ensemble.’’

    Prochaines étapes

    Après approbation, les règlements relatifs aux fonds seront publiés au Journal officiel, après quoi ils s’appliqueront rétroactivement à partir du 1er janvier 2021.

    Europarl via fdesouche

  • Fusion des régions : au lieu d’alléger les dépenses, elle a fait augmenter le budget de plusieurs dizaines de millions d’€

    Publié par Guy Jovelin le 25 septembre 2019

    Encore un exemple de réforme à la petite semaine de la part du gouvernement Hollande. Les promesses d’économies se transforment en gouffre financier sans apporter quoi que ce soit de supplémentaire aux Français, sinon d’accentuer la centralisation du pouvoir politique…

    Trouvé sur L’Opinion : « Selon le rapport annuel sur les finances locales de la Cour des comptes, la fusion des régions devenue effective début 2016 « a occasionné dans un premier temps des surcoûts importants, notamment en matière de rémunération des personnels et d’indemnités des élus.  » Le congrès de l’association Régions de France se tiendra les 30 septembre et 1er octobre, à Bordeaux.

    Encore une réforme décidée sur un coin de table, sans évaluation en amont ni suivi en aval, qui aura coûté cher alors qu’elle devait apporter économies, simplification et efficacité. Bref, un cas typique de mauvaise politique publique. Les régions sont bien passées de 22 à 12 en métropole (la Corse a un statut particulier), le 1er janvier 2016, malgré un temps de préparation très court. Mais trois ans plus tard, « les gains d’efficience visés (…) restent aujourd’hui limités », euphémise ce mardi la Cour des comptes, dans
    son rapport annuel sur les finances locales.

    A l’époque, le secrétaire d’Etat chargé de la réforme territoriale, André Vallini, avait brandi l’ambition de réaliser 10 milliards d’euros d’économies à moyen terme. Un chiffrage « au doigt mouillé », reconnaît-il aujourd’hui, soufflé par son directeur de cabinet lors d’une interview. Le haut fonctionnaire avait simplement estimé les économies entre 5 % et 10 %, sur 250 milliards d’euros de dépenses. On en est loin.

    « Bien que la mise en place des “nouvelles régions” se soit déroulée sans incident majeur, les chambres régionales des comptes n’ont constaté que peu de gains d’efficience à l’heure actuelle », déplore la Cour. Hormis quelques économies non chiffrées sur les contrats d’assurance, les dépenses d’énergie, les frais postaux et les télécommunications, l’immobilier ou encore les systèmes d’information, « dans la majorité des cas, les gains d’efficience sont restés limités, faute de réorganisations structurelles importantes ».

     

    Source : contre-info

  • Une majorité de Français fait ses courses à 10 euros près

    Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2019

    Par  le 01/06/2019

    Selon un sondage Ipsos pour l’agence in-Store Media, 58 % des consommateurs ont une marge très limitée pour leurs achats du quotidien, 14 % respectant même leur budget à l’euro près. 95 % ont au moins une carte de fidélité, et un tiers au moins trois.

    Le paradoxe est flagrant. Alors que le pouvoir d’achat des ménages, en berne ces dernières années, continue de reprendre des couleurs, avec une nouvelle hausse de 0,9 % au premier trimestre 2019, les Français restent d’une prudence de sioux dès qu’il s’agit de sortir leur porte-monnaie. Et ce n’est pas l’embellie sur les salaires (+ 1,1 % sur les trois premiers mois), ni l’avalanche de mesures prises pour éteindre la crise des Gilets jaunes (prime exceptionnelle, élargissement de la prime d’activité, retour des heures défiscalisées…) qui les a fait changer d’avis. […]

    «On voit qu’il y a une volonté forte de contrôle ses dépenses, insiste Romain Dublanche, puisque plus de six consommateurs sur dix ne vont s’écarter de leur liste de courses que s’ils ont oublié un produit ou pour bénéficier d’une promotion. Mais ils veulent aussi se laisser une marge de manœuvre, un sur deux s’affirmant prêt à modifier sa liste pour s’offrir un produit qui lui fait envie. » Une liberté de choix qui, pour beaucoup, constitue un luxe. […]

    Le Parisien via fdesouche