Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élysée

  • Hanouca à l’Elysée avec Macron

    Publié par Guy de Laferrière le 09 décembre 2023

    Hanoukha à l'Elysée avec Macron

    Pas un média du système n’en a parlé aujourd’hui. Par contre, sur les réseaux sociaux, les comptes de rabbins et de personnalités juives n’ont pas été avares en images de la cérémonie du jour à l’Elysée. De quoi parle-t-on ?

    Figurez-vous que ce jeudi 07 décembre, en présence de nombreuses personnalités juives, le grand rabbin de France est venu célébrer la cérémonie religieuse juive de Hanouca dans une salle de l’Elysée, avec la participation du président de la république Emmanuel Macron.

    Sur les réseaux sociaux, certains n’ont pas manqué de souligner que cela colle peu avec le discours habituel sur la laïcité. Et qu’au même moment, la république interdit des crèches de Noël dans l’espace public et dans des institutions, sans parler des statues religieuses catholiques déboulonnées.

    Hanoukha à l'Elysée avec Macron

    Comme l’ont fait remarquer quelques rabbins, les services de l’Elysée avaient même pensé aux beignets d’Hanouca pour la réception qui a suivi la cérémonie religieuse juive de Hanouca.

    Hanoukha à l'Elysée avec Macron

    Le grand rabbin de France a saisi l’occasion pour demander à Emmanuel Macron de faire de la lutte contre l’antisémitisme la “grande cause nationale de l’année 2024”. Avec une marche toutes les semaines ?

    Signalons encore que la conférence des rabbins d’Europe est venue remettre son prix annuel à Emmanuel Macron en présence de membres du gouvernement.

    Hanoukha à l'Elysée avec Macron

     

    Source : medias-presse.info

  • Chaudières au gaz bientôt interdites sauf pour l’Elysée ?

    Publié par Guy de Laferrière le 22 juillet 2023

    Chaudières au gaz bientôt interdites sauf pour l'Elysée ?

    Va-t-on vers une interdiction des chaudières à gaz ? La Première ministre, Élisabeth Borne, a déclaré envisager d’en interdire la vente à compter de 2026. Toute chaudière à gaz qui tomberait en panne devrait donc être remplacée par un autre mode de chauffage : soit un raccordement à un réseau de chaleur urbain, soit une pompe à chaleur aérothermique ou géothermique. Les pompes à chaleur hybrides (mixant gaz et électricité) resteraient autorisées. Une concertation en ligne est ouverte au public jusqu’au 28 juillet sur cette mesure et toutes les autres visant à la décarbonation des bâtiments. Cette mesure concernerait douze millions de foyers en France.

    Or, on apprend par la Cour des comptes et le Sénat qu’une nouvelle chaudière à gaz a été installée à l’Elysée. Assisterait-on une fois de plus à l’habituelle règle des élites mondialistes, faites ce que je dis, pas ce que fais ?

    Dans son rapport sur le budget de la présidence rendu public mi-juillet, la Cour des comptes mentionne bien l’acquisition d’une chaudière à gaz pour un montant de 100 000 euros.

    Pour tenter de se dépatouiller, le cabinet d’Emmanuel Macron affirme que la chaudière à gaz ne fonctionnera pas plus de 20 à 30 % de la période de chauffe, uniquement en appui de la pompe à chaleur les jours de grand froid.

    De son côté, le gouvernement rétropédale, laissant entendre qu’il examine des alternatives à l’interdiction totale des chaudières gaz.

    Quant au prétexte écologique, il est mis à mal par de nombreux analystes, y compris parmi les climato-anxieux. Un collectif de vingt-cinq organisations a ainsi adressé au gouvernement une lettre dans laquelle il met en garde contre « 8 à 9 millions de pompes à chaleur supplémentaires prévues d’ici 2030 sans garantie de gestes d’isolation, et sans analyse des conséquences sur le réseau électrique, avec un risque de fraude excessif ».

    En cas de grands froids, une pompe à chaleur ne pourra pas fournir assez de puissance pour chauffer le logement. « Il en résultera une insuffisance de la température intérieure ne dépassant pas 14 °C par grand froid et donc un important inconfort thermique », alertent ces organisations.

    D’autre part, il faut prendre conscience que les pompes à chaleur vont entraîner une hausse de la demande électrique alors même que chaque hiver est l’occasion d’annonces gouvernementales anxiogènes sur d’hypothétiques coupures d’électricité.

    « GRDF a calculé que [le changement de 12 millions de chaudières à gaz] augmentera fortement la pointe électrique en hiver et nécessitera 10 gigawatts de plus en 2035, soit l’équivalent de dix réacteurs nucléaires supplémentaires », détaille Que Choisir dans un article très critique.

    Ajoutons que les pompes à chaleur sont surtout fabriquées en Chine !

    « Enlever un système intégré de gaz pour y poser une pompe à chaleur souvent fabriquée en Chine, notamment le compresseur, je ne suis pas sûr que ce soit bénéfique pour la planète », a réagi Jean-Christophe Repon, président de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb), auprès de France Info.

    En outre, l’installation d’une pompe à chaleur est onéreuse. Les prix peuvent dépasser les 15 000 euros quand une chaudière à gaz de qualité en coûte 10 000 de moins. « De nombreux courriers reçus à 60 Millions racontent la même histoire : une personne est démarchée pour l’installation d’une pompe à chaleur. Le vendeur annonce un prix de plus de 20 000 euros, mais assure que la personne n’aura presque rien à payer grâce aux aides financières. Problème : la personne ne voit jamais la couleur de ces aides, ou n’en perçoit qu’une toute petite partie et se retrouve avec un lourd crédit à rembourser », détaillait le magazine 60 Millions de consommateurs en janvier 2022.

     

    Source : medias-presse.info

  • Ce n’est pas la fin de l’abondance pour tout le monde

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2022

    Ce n’est pas la fin de l’abondance pour tout le mondeCe n’est pas la fin de l’abondance pour tout le monde

    Mercredi 5 octobre, un document budgétaire annexé au projet de loi de finances 2023 a révélé une prévision à la hausse du budget de l’Élysée pour l’année à venir. Tandis que le budget de la présidence de la République était stable entre 2021 et 2022, il augmentera de 4,8% en 2023, soit 5,2 millions d’euros supplémentaires, ce qui porte l’enveloppe totale à 114,43 millions d’euros. Un pognon de dingue mais… c’est l’Etat qui paie.

     

    Source : lesalonbeige

  • L’Élysée préfère les Émirats arabes à la canonisation de Charles de Foucauld

    Publié par Guy Jvelin le 16 mai 2022

    16 Mai 2022, 05:33am | Publié par Thomas Joly

    Charles Eugène de Foucauld de Pontbriand, vicomte de Foucauld, n’était pas alsacien mais les hasards de la carrière de son père, inspecteur des forêts, l’ont fait naître à Strasbourg. Le toujours Premier ministre devait assister à sa canonisation par le pape François, ce dimanche, à Rome. Et voilà que l’on a appris en dernière minute que Jean Castex n'est finalement pas allé au Vatican, le président de la République ayant décidé de se rendre aux Émirats arabes unis pour rendre hommage au cheikh Khalifa ben Zayed Al-Nahyane, décédé vendredi… Une annulation de dernière minute due à la règle qui veut que les deux chefs de l’exécutif ne pouvaient être hors du territoire en même temps, le Premier ministre a donc dû annuler son déplacement.

    La famille de Charles de Foucauld est originaire du Périgord et appartient à la vieille noblesse française ; leur devise est : « Jamais arrière ». Orphelin de père et de mère dès l’âge de six ans, le jeune Charles commence une vie tourmentée : pendant ses études secondaires, il perd la foi et mène une existence dissolue. Militaire sans conviction, après Saint-Cyr et Saumur, Charles est affecté en Algérie, puis en Tunisie, avant de quitter l’armée pour monter une expédition au Maroc.

    À son retour, dans une paroisse parisienne, il vit une conversion qu'il raconte en ces termes : « Je me suis mis à aller à l'église sans croire, ne me trouvant bien que là, et y passant de longues heures à répéter cette étrange prière : “Mon Dieu, si vous existez, faites que je vous connaisse !” » Il cherche Dieu et, à 28 ans, revient à la foi catholique de son enfance dans l'église Saint-Augustin à Paris. Quatre ans plus tard, en 1890, il donne tous ses biens et entre chez les moines cisterciens de l'abbaye Notre-Dame-des-Neiges (Ardèche).

    Après la Syrie et l'Algérie, il accomplira, toujours comme ermite, un long séjour à Nazareth dans le jardin des sœurs Clarisses. Ordonné prêtre en 1901, il part, toujours ermite, au Sahara, en Algérie, d'abord à Beni Abbes, puis à Tamanrasset dans le massif du Hoggar où, vivant parmi les Touaregs, il sera assassiné, le 1er septembre 1916, devant la porte de son ermitage.

    Déclaré bienheureux en 2005, sa cause en canonisation, un temps suspendue, aura mis du temps à être confirmée. Dans une tribune publiée dans Le Monde, en juillet 2020, l’universitaire Ladji Ouattara avait estimé que la canonisation de Charles de Foucauld serait un « déni d’histoire » à ses yeux, l’œuvre de Charles de Foucauld étant indissociable de la conquête coloniale du Sahara par la France. L’absence de notre Premier ministre à Rome, remplacé au pied levé par Gérald Darmanin, ministre des Cultes, sera quant à elle ressentie comme un déni de mémoire à la communauté catholique : le chef de l'État français préférant « exprimer son soutien à son frère le prince héritier d'Abou Dabi, ainsi qu'au reste de la famille et à tout le peuple émirien », a indiqué la présidence.

    José Meidinger

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Le boulanger Makram Akrout, lauréat de la « Meilleure baguette de Paris », ne livrera pas l’Elysée (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2021

    04/10/2021

    Makram Akrout, lauréat 2021 de la meilleure baguette de Paris, ne livrera pas ses baguettes tradition à la table du président de la République. La décision est tombée. Ce lundi, l’Élysée indique que « ce n’est pas prévu. L’Élysée n’a pas pris contact avec ce monsieur », comme elle le fait habituellement. Et de préciser : « Ce n’est pas automatique que le lauréat de la meilleure baguette de Paris livre l’Élysée ».