Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

assemblée nationale

  • Ce n’est pas la crise pour tout le monde

    Publié par Guy de Laferrière le 12 octobre 2024

     

    L’Élysée augmente son budget 2025 de plusieurs millions d’euros. L’Élysée justifie cette  hausse (+2,5 % soit trois millions d’euros) par l’inflation sur les dépenses de personnel (+3,1 %) et de fonctionnement (+1,6 %). Sept nouveaux postes seront créés à la Maison Élysée.

    Malgré une hausse de 11 % par rapport à 2023, le budget de 2024 a dérapé en cours d’année, les dépenses atteignant 126,3 millions d’euros, au lieu des 125,1 millions prévus.

    La dotation attribuée à l’Assemblée nationale et au Sénat connaîtra une hausse de 1,7 %. En 2024, l’Assemblée a dû faire face aux conséquences de la dissolution, qui a engendré un coût net de 28,5 millions d’euros, principalement lié aux licenciements des collaborateurs parlementaires. Ce montant a été compensé par une dotation complémentaire de l’État.

     

    Source : lesalonbeige

  • Mascarade républicaine autour de l'élection du Président de l'Assemblée nationale

    Publié par Guy de Laferrière le 19 juillet 2024

    Thomas Joly, Président du Parti de la France : « La mascarade républicaine autour de l'élection du Président de l'Assemblée nationale est absolument pathétique : ça s'excite et se déchire pour un poste honorifique et technique sans aucun réel pouvoir.
    Ce régime vermoulu est véritablement en train d'agoniser devant nos yeux. »

    451498222_796843125964626_3587982802606160236_n.jpg

  • La nouvelle revendication des LGBTXYZ : de l’argent

    Publié par Guy de Laferrière le 01 mars 2024

    La nouvelle revendication des LGBTXYZ : de l’argent

    La commission des lois de l’Assemblée nationale a examiné et adopté, mercredi 28 février, en l’absence des députés LR et RN, la proposition de loi portant “réparation des personnes condamnées pour homosexualité” avant 1982.

    Les députés ont rétabli le principe d’une réparation financière, qui avait été supprimé par les sénateurs lorsqu’ils avaient examiné le texte en novembre dernier. En commission, les députés ont  adopté trois amendements identiques issus des groupes Renaissance, La France insoumise et Ecologiste, fixant à 10 000 euros l’allocation prévue, adjointe d’une somme de 150 euros par jour de privation de liberté, le cas échéant.

    La période a été avancée de 1940 (au lieu de 1945) à 1982.

    Examen dans l’hémicycle du Palais-Bourbon la semaine prochaine, mercredi 6 mars

     

    Source : lesalonbeige

  • « Sortez si vous n’êtes pas content »: à l’Assemblée, Meyer Habib s’emporte et claque la porte

    Publié par Guy de Laferrière le 29 février 2024

    Le député LR Meyer Habib est sorti de ses gonds (et de la salle en claquant la porte) lorsque la parole lui a été retirée lors d’une commission sur la guerre en Ukraine, alors qu’il établissait une comparaison avec Gaza.

    Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des Affaires étrangères de l‘Assemblée nationale envoie balader Meyer Habib qui éclate de rage.

    « M. Meyer Habib, ARRÊTEZ ! Respectez l’autorité de la présidence et sortez si vous n’êtes pas content. »

     

     
  • Alcool à l’Assemblée : la virulence des débats sur la retraite et les séances nocturnes ont accentué la tendance. Un député Insoumis aurait été aperçu vomissant dans une poubelle…

    Publié par Guy de Laferrière le 26 février 2023

    La mythique buvette de l’Assemblée Nationale où seuls les députés ont droit d’accéder

    Rupture de stock de Get 27: c’est ce qu’indiquait, la semaine passée, une pancarte affichée à la buvette des députés. La dive bouteille ferait-elle des ravages jusque dans les travées du Palais-Bourbon ? Le sujet a en tout cas été jugé suffisamment sérieux pour être abordé le 8 février lors de la réunion du bureau de l’Assemblée nationale (…)

     « La buvette, ça va devenir un problème, estime une députée Renaissance. Certains commandent des coupettes dès 11 heures du matin, d’autres sont au rhum à 16 heures… Au début de l’examen du texte, j’ai vu un député se faire ramasser par les serveurs de la buvette tellement il était mal. » Dernière rumeur en date : un député Insoumis, qui dément les faits, aurait même été aperçu par des collègues vomissant dans une poubelle. Et cette élue macroniste de raconter la conclusion des débats sur les retraites, vendredi 17 février dans la nuit : « Dans la buvette et dans les jardins, c’était alcool à gogo jusqu’à 3 heures du matin. Après qu’on a donné ce spectacle pitoyable en séance, ça a bu, dans notre groupe et dans les autres… » (…)

     « Dès qu’il y a suspension de séance, vous allez prendre un verre à la buvette pour relâcher la pression du chaudron. Et ça devient régulier. J’ai vu des gens devenir alcooliques… » Pour beaucoup, cette « pression », intense dans les dernières semaines d’affrontement sur le recul de l’âge légal de départ à la retraite, a pu favoriser certains écarts.

    Le JDD via fdesouche