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assemblée nationale

  • Les députés RN n’ont pas travaillé !

    Publié par Guy Jovelin le 26 avril 2025

    Le RN, qui se targue d’être le premier parti de France, n’est assurément pas ce qu’il s’efforce de faire croire aux Français.

    Il y a le discours, pimpant, volontariste, voire intransigeant. Et il y a la réalité, consternante, affligeante, décourageante. Un peu comme un maquillage qui dissimulerait les imperfections ou la laideur.

    Cette fois, c’est à l’Assemblée nationale ou, plus précisément, à la Commission de la défense que le masque est tombé. Un travail était demandé aux députés siégeant dans cette commission. Comme c’est normalement le cas pour tout travail, une date limite avait fixée, qui a ensuite été encore repoussée de deux semaines.

    Une fois encore, les députés RN se sont distingués par leur incapacité à rendre le travail qui leur était demandé.

    En effet, et bien qu’ils aient bénéficié d’un délai supplémentaire, ils ont argué du manque de temps pour justifier leur copie blanche. Trouvant peut-être cette explication peu persuasive puisque les députés des autres groupes avaient, eux, trouvé le temps nécessaire pour répondre à la demande, les députés RN se sont ensuite retranchés derrière l’obligation d’attendre que le programme présidentiel de Marine Le Pen soit formalisé, en 2027 !

    Une réponse qui fait naître un nouveau questionnement.

    Le RN n’a en effet pas la réputation d’avoir jamais présenté un programme crédible, ce qui laisse rêveur quant à ses propositions à venir en matière de défense nationale. Et surtout, l’élection présidentielle résultant en France de la rencontre entre un candidat et la Nation, l’incertitude quant à l’identité du candidat que le RN essaiera de présenter, la candidature de Marine Le Pen étant soumise au jugement en appel de son inéligibilité prononcée en première instance.

    Pour mémoire, les députés RN qui ont négligé de produire le travail qui attendu d’eux étaient rémunérés, chacun, à hauteur de 5 841, 03 € net au 1er juillet 2022.

    André Murawski – 26 avril 2025

     

    Source : medias-presse.info

  • Cocaïne à l’Assemblée nationale : Certains députés consommeraient des drogues, dont de la cocaïne « pour tenir » les journées

    Publié par Guy Jovelin le 07 février 2025

     
    « J’ai entendu un rail de coke »: le « tabou » des drogues et de l’alcool à l’Assemblée nationale

    Franceinfo a mené une enquête révélatrice sur l’usage de substances illicites au sein de l’Assemblée nationale, montrant que la pression et la charge de travail ont poussé certains députés et collaborateurs à sombrer dans cet engrenage.

    Dans son rapport, le média évoque notamment un ancien député dépendant d’une drogue extrêmement addictive et destructrice, la 3-MMC. Ce dernier, alors en fonction, avait été discrètement convoqué par son groupe parlementaire en janvier dernier pour discuter de son addiction, et il a accepté de suivre un programme de soins. Il a depuis quitté l’Assemblée après avoir perdu aux élections législatives anticipées de l’été dernier.

    Un problème généralisé

    Ce cas est loin d’être isolé. « C’est un sujet extrêmement tabou », confie un collaborateur parlementaire. Il raconte avoir été témoin de la consommation de drogue par un député dans les toilettes du Palais-Bourbon lors d’une séance nocturne. « Je l’ai entendu se faire un rail de coke », déclare-t-il.

    La consommation ne se limite pas aux moments solitaires. Un ancien député se souvient d’une soirée en 2018 marquée par des abus en tout genre : « J’ai vu des comportements déplacés envers les femmes et des cachets qui circulaient. » Il ajoute que la cocaïne est particulièrement présente car elle permet de « tenir » face à la pression intense et d’adopter un comportement « festif ». Un autre collaborateur explique : « La coke aide à oublier les aspects sombres de la politique, un milieu très dur avec une pression de fou. »

    Le gouvernement, conscient du problème, affirme prendre la question au sérieux. L’entourage du ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a déclaré à franceinfo : « C’est un sujet que nous suivons de près, bien que nous n’ayons pas de signalements spécifiques, mais il y a des rumeurs persistantes. »

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Ce n’est pas la crise pour tout le monde

    Publié par Guy de Laferrière le 12 octobre 2024

     

    L’Élysée augmente son budget 2025 de plusieurs millions d’euros. L’Élysée justifie cette  hausse (+2,5 % soit trois millions d’euros) par l’inflation sur les dépenses de personnel (+3,1 %) et de fonctionnement (+1,6 %). Sept nouveaux postes seront créés à la Maison Élysée.

    Malgré une hausse de 11 % par rapport à 2023, le budget de 2024 a dérapé en cours d’année, les dépenses atteignant 126,3 millions d’euros, au lieu des 125,1 millions prévus.

    La dotation attribuée à l’Assemblée nationale et au Sénat connaîtra une hausse de 1,7 %. En 2024, l’Assemblée a dû faire face aux conséquences de la dissolution, qui a engendré un coût net de 28,5 millions d’euros, principalement lié aux licenciements des collaborateurs parlementaires. Ce montant a été compensé par une dotation complémentaire de l’État.

     

    Source : lesalonbeige

  • Mascarade républicaine autour de l'élection du Président de l'Assemblée nationale

    Publié par Guy de Laferrière le 19 juillet 2024

    Thomas Joly, Président du Parti de la France : « La mascarade républicaine autour de l'élection du Président de l'Assemblée nationale est absolument pathétique : ça s'excite et se déchire pour un poste honorifique et technique sans aucun réel pouvoir.
    Ce régime vermoulu est véritablement en train d'agoniser devant nos yeux. »

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  • La nouvelle revendication des LGBTXYZ : de l’argent

    Publié par Guy de Laferrière le 01 mars 2024

    La nouvelle revendication des LGBTXYZ : de l’argent

    La commission des lois de l’Assemblée nationale a examiné et adopté, mercredi 28 février, en l’absence des députés LR et RN, la proposition de loi portant “réparation des personnes condamnées pour homosexualité” avant 1982.

    Les députés ont rétabli le principe d’une réparation financière, qui avait été supprimé par les sénateurs lorsqu’ils avaient examiné le texte en novembre dernier. En commission, les députés ont  adopté trois amendements identiques issus des groupes Renaissance, La France insoumise et Ecologiste, fixant à 10 000 euros l’allocation prévue, adjointe d’une somme de 150 euros par jour de privation de liberté, le cas échéant.

    La période a été avancée de 1940 (au lieu de 1945) à 1982.

    Examen dans l’hémicycle du Palais-Bourbon la semaine prochaine, mercredi 6 mars

     

    Source : lesalonbeige