GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

cocaïne

  • Patron de l’INA, proche d’Emmanuel et de Rachida, il est arrêté avec 600 euros de cocaïne achetée à un « jeune » de 17 ans…

    Publié par Guy Jovelin le 12 août 2025

    Auteur : 

    Photo : capture d’écran de Cnews

    Les amis de mes amis – très bien nantis –  sont mes amis très bien placés : Rachida Dati , Emmanuel Macron et Laurent Vallet.

    « Dis moi qui tu fréquents, je te dirai qui tu es » ou bien « D’où tu parles, camarade » sont deux injonctions proverbiales que l’on peut facilement appliquer à nos trois compères de haut vol, à savoir RachidaEmmanuel et Laurent (1).

    Président de l’INA (2) depuis 2015, à la suite d’Agnès Saal, condamnée pour des remboursements de frais indus, Laurent Vallet a été reconduit pour un troisième mandat de cinq ans à la tête de l’institution publique, en conseil des ministres, le 15 mai dernier, sur proposition de la ministre de la Culture, Rachida Dati, cinq jours avant la fin de son deuxième mandat.

    C’est ce brillant membre de l’élite macronienne qui a été interpellé par des policiers de la brigade anticriminalité (BAC) pour achat de stupéfiants, dans le 12e arrondissement de Paris, le mardi 29 juillet 2025.

    Voici comment nos bien informés confrères de Valeurs Actuelles rapportent les faits :

    Au cours de la palpation du suspect, qui a fini par admettre avoir remis un pochon de drogue, les policiers ont retrouvé la somme de 600 euros, puis se sont rendus à l’appartement du 3e étage, où ils sont tombés sur un homme anxieux, qui a avoué avoir acheté de la cocaïne pour le même montant et reconnu son visiteur.

    L’acheteur, âgé de 55 ans, a remis aux agents un sachet transparent contenant de la poudre blanche. Laurent Vallet et le vendeur ont tous les deux été interpellés et présentés au commissariat du 11e arrondissement. Ce dernier, né et domicilié à Paris, de « type africain », est un mineur de 17 ans, précise une source policière.

    Que croyez-vous qu’il arriva à notre cher – très cher compte tenu de son salaire payé par nos impôts  – cocaïnomane ?

    Rien, vraiment rien ! En effet, le parquet de Paris nous indique, que monsieur Laurent Vallet « comme pour tout usager et conformément à la politique pénale, s’agissant d’une première interpellation, l’intéressé a été orienté vers une injonction thérapeutique ».

    Que le peuple le sache bien, que les gueux se le disent, que les populistes se le mettent bien dans le crâne : le Président de l’INA est MALADE et ne peut être condamné.

    Nous aimerions tant bénéficier d’un tel traitement indulgent lorsque nous contrevenons, même petitement, au code de la route.

    Oui, mais voilà, nous n’appartenons pas à cette élite républicaine intouchable qui ne peut être soumise à la stricte loi qu’elle n’édicte que pour les dhimmis que nous sommes devenus.

    Dhimmis consentants d’ailleurs puisque nous avons accepté tous les oukases du confinement covidien sans jamais nous révolter !

    Alors, pourquoi se gêneraient-ils nos gouvernants ?

    Peut-être serait-il temps de penser « contre-révolutionnaire » ?

    Qu’en pensent nos lecteurs ?

    Rastignac

    Notes

    (1) Diplômé de Sciences-Po, de HEC et de l’ENA, ce haut fonctionnaire né au Canada est passé par la direction générale du Trésor, la direction financière de France Télévisions, le cabinet du ministre de l’Économie Laurent Fabius, avant d’être nommé directeur général de l’Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles (IFCIC)

    (2) Institut National de l’Audiovisuel

     

    Source : medias-presse.info

  • Cocaïne à l’Assemblée nationale : Certains députés consommeraient des drogues, dont de la cocaïne « pour tenir » les journées

    Publié par Guy Jovelin le 07 février 2025

     
    « J’ai entendu un rail de coke »: le « tabou » des drogues et de l’alcool à l’Assemblée nationale

    Franceinfo a mené une enquête révélatrice sur l’usage de substances illicites au sein de l’Assemblée nationale, montrant que la pression et la charge de travail ont poussé certains députés et collaborateurs à sombrer dans cet engrenage.

    Dans son rapport, le média évoque notamment un ancien député dépendant d’une drogue extrêmement addictive et destructrice, la 3-MMC. Ce dernier, alors en fonction, avait été discrètement convoqué par son groupe parlementaire en janvier dernier pour discuter de son addiction, et il a accepté de suivre un programme de soins. Il a depuis quitté l’Assemblée après avoir perdu aux élections législatives anticipées de l’été dernier.

    Un problème généralisé

    Ce cas est loin d’être isolé. « C’est un sujet extrêmement tabou », confie un collaborateur parlementaire. Il raconte avoir été témoin de la consommation de drogue par un député dans les toilettes du Palais-Bourbon lors d’une séance nocturne. « Je l’ai entendu se faire un rail de coke », déclare-t-il.

    La consommation ne se limite pas aux moments solitaires. Un ancien député se souvient d’une soirée en 2018 marquée par des abus en tout genre : « J’ai vu des comportements déplacés envers les femmes et des cachets qui circulaient. » Il ajoute que la cocaïne est particulièrement présente car elle permet de « tenir » face à la pression intense et d’adopter un comportement « festif ». Un autre collaborateur explique : « La coke aide à oublier les aspects sombres de la politique, un milieu très dur avec une pression de fou. »

    Le gouvernement, conscient du problème, affirme prendre la question au sérieux. L’entourage du ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a déclaré à franceinfo : « C’est un sujet que nous suivons de près, bien que nous n’ayons pas de signalements spécifiques, mais il y a des rumeurs persistantes. »

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Football : le joueur néerlandais Quincy Promes, déjà condamné pour avoir poignardé son cousin, poursuivi pour importation de cocaïne

    Publié par Guy de Laferrière le 31 mai 2023

    L’attaquant international néerlandais du Spartak Moscou Quincy Promes jouit d’une sacrée réputation… dans les couloirs des tribunaux. Déjà jugé aux Pays-Bas pour avoir poignardé un cousin, le joueur de 31 ans est désormais également poursuivi pour avoir importé de la cocaïne, a annoncé le parquet ce mardi. Il est accusé, aux côtés d’un autre Néerlandais de 31 ans, d’avoir importé en janvier 2020 « plusieurs centaines de kilos » de cocaïne, notamment via le port d’Anvers, en Belgique, a indiqué le ministère public.

    Le Parisien

    Dans une autre affaire, le ministère public néerlandais a requis en mars deux ans de prison contre Quincy Promes accusé d’avoir poignardé un cousin lors d’une querelle en juillet 2020.

    Le Figaro

  • Trafic de drogue : plus d’une tonne de cocaïne saisie sur le port du Havre en quatre jours

    Publié par Guy de Laferrière le 15 décembre 2022

    Les opérations antidrogue sont fréquentes dans le port de la ville de Seine-Maritime. Quatre tonnes de cocaïne y ont déjà été découvertes depuis le mois de janvier.

    C’est la saisie la plus importante des douaniers du port cette année. Les autorités portuaires du Havre ont mis la main sur plus d’une tonne de cocaïne en seulement quatre jours début décembre, selon une information de France bleu. Une première cargaison de 880 kg a été découverte le 9 décembre dans un navire en provenance d’Amérique du Sud. Quatre jours plus tard, 210 kg supplémentaires ont été saisis dans un cargo venu cette fois des Antilles françaises. La juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Lille s’est saisie du dossier.

    Cette opération impressionnante intervient à peine un mois après une autre saisie de 750 kg de cocaïne le 16 novembre toujours sur le port de la ville normande. La drogue était, là aussi, cachée dans un conteneur sur un navire en provenance d’Amérique du Sud. Les découvertes de ce type sont fréquentes sur le port du Havre. Quatre tonnes de cocaïne ont été découvertes depuis janvier. Sept tonnes avaient été confisquées en 2021, selon France bleu. […]

    Le Parisien via fdesouche