Publié par Guy de Laferrière le 12 décembre 2023
Les supporters de l’Olympique Lyonnais arborent un tifo de la Vierge Marie pour l’honorer la semaine de la fête de l’Immaculée Conception.
Source : medias-presse.info
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Publié par Guy de Laferrière le 12 décembre 2023
Les supporters de l’Olympique Lyonnais arborent un tifo de la Vierge Marie pour l’honorer la semaine de la fête de l’Immaculée Conception.
Source : medias-presse.info
Publié par Guy de Laferrière le 12 juin 2023
Les parents ayant un enfant inscrit dans un club de foot marseillais redoutent cette période : celle des détections de fin d’année. Faute de pouvoir inscrire un nombre suffisant d’équipes, les entraîneurs sont en effet contraints de faire des sélections, le plus souvent sous forme de match, pour déterminer qui aura le droit de jouer l’an prochain et à quel niveau.
[…]Ulcéré que son gamin ne soit pas retenu, un homme s’en est violemment pris aux entraîneurs du club, trois ont été frappés à coups de poing et de pied, indique une source policière. Pire : totalement hors de contrôle, l’homme a ensuite sorti un couteau de cuisine et tailladé un des coachs. Une blessure heureusement sans gravité.
[…]Publié par Guy de Laferrière le 02 juin 2023
Paul n’avait que 15 ans. Passionné de football depuis son plus jeune âge, ce jeune Allemand évoluait au JFC Berlin. Dimanche dernier, en marge de la demi-finale de la Germany Cup que son club disputait contre l’équipe française du FC Metz, le jeune adolescent a été mortellement agressé. Selon les différents témoignages recueillis par le parquet, une « bataille rangée » aurait éclaté entre les deux équipes. L’agresseur présumé, jeune footballeur de Metz, aurait commencé par frapper au visage l’un de ses adversaires. Rapidement, il aurait ensuite dirigé ses coups contre Paul. À l’aide ses deux poings, il l’aurait alors violemment frappé à la gorge avant de l’étrangler et de lui assener un coup dans l’estomac. Alors qu’il se libérait de la menace, le jeune Allemand aurait fini par recevoir un coup sec sur la tête et se serait effondré. Le joueur de Metz aurait alors quitté les lieux sans lui porter assistance. Malgré l’intervention rapide des secours, Paul est déclaré en état de mort cérébrale. Interpellé et placé en détention, l’agresseur présumé, de confession musulmane, aurait présenté ses excuses et assuré la famille de la victime de ses prières.
Cette violente agression, qui entraîne des réactions jusqu’au Royaume-Uni, laisse l’Allemagne et le monde du football sous le choc. Outre-Rhin, Iris Spranger, ministre de l’Intérieur de Berlin, s’est ainsi exprimée, sur Twitter : « Qu’un jeune joueur perde la vie après un match de football me laisse sans voix. Je souhaite à la famille, aux amis et à l’équipe beaucoup de courage dans ces moments obscurs. » Pour la Fédération allemande de football, cette agression mortelle est le signe que « nous avoir à faire à un problème de société ». Côté français, le FC Metz, qui a adressé ses condoléances à la famille de la victime, indique rester à la disposition des enquêteurs.
Ensauvagement
Il est loin, le temps où le football amateur n’était qu’une activité sportive et familiale des dimanches après-midi. Si les affrontements mortels sur les terrains restent encore un phénomène exceptionnel, la montée de la violence dans le milieu du football est, quant à elle, bien réelle. Dans le Pas-de-Calais, le président de l’US Noyelles-sous-Lens, las, a ainsi décidé de fermer les portes de son club. Menacé par un joueur exclu d’une rencontre, il aurait ensuite été insulté et giflé au bord du terrain avant de découvrir le local de l’auto-école, dont il est le gérant, ravagé par les flammes. Quelques semaines plus tôt, le président du club de Saint-Martin-du-Mont (Ain) était lui aussi victime d’une agression en marge d’un match disputé par ses jeunes joueurs. Dans les Côtes-d’Armor, l’US Prat est sous le choc depuis l’agression violente dont a été victime l’une de ses joueuses, en janvier dernier. À la fin du match, alors qu’elle se retrouve au sol, elle reçoit « volontairement » un coup de pied à la tête porté par l’une de ses adversaires. Transportée à l’hôpital pour des douleurs aux cervicales, ses parents décident de porter plainte. Face à cette violence, si les joueurs sont en première ligne, les arbitres ne sont pas non plus épargnés. Ainsi dans le Morbihan, sur les dix sanctions de plus de trois mois prononcées contre des joueurs la saison dernière, sept concernaient des atteintes physiques contre les arbitres. Enfin, quand elle n’est pas sur le terrain, la violence se propage dans les gradins. Des parents, prêts à tout pour voir leur enfant réussir, finissent par s’invectiver et se bagarrer dans les tribunes.
Pourtant, à en croire la Fédération française de football, la violence sur les terrains n’existe pas. Dans son dernier baromètre, elle estime ainsi qu’à peine 2 % des rencontres sont émaillées d’incidents. Mais pour Jean-Jacques Demarez, secrétaire général de l’Union nationale des arbitres de football (UNAF), interrogé par Causeur en janvier 2017, ces chiffres ne sont pas « sérieux ». « Les districts ne font pas remonter les plaintes pour préserver leur image. Tout le monde le sait. Dans le football, on se voile la face », précise-t-il.
Pour comprendre cette violence, inutile de chercher bien loin. Les terrains de football ne sont que le reflet de l’ensauvagement qui gagne notre société. Si, au lendemain de la première victoire des Bleus en Coupe du monde, le football était présenté comme un vecteur d’intégration, aujourd’hui, force est de constater qu’il n’est plus qu’un symptôme parmi d’autres de notre décivilisation.
Publié par Guy de Laferrière le 29 mai 2023
Une vidéo du journaliste spécialisé Romain Molina sur les histoires sombres derrière le foot – et notamment les histoires de famille, comme l’affaire Pogba – éclaire un peu les dessous sombres du sport mondialisé chéri des puissants.
En ce moment, une enquête a été ouverte – poussivement – suite à des trafics d’enfants dans les instances de foot du Gabon – divers entraîneurs ont été écartés, tandis que dans d’autres pays en développement, des proches font des sacrifices humains ou des rites vaudous (sataniques) pour assurer la réussite de certains footballeurs ou l’envoûtement de leurs adversaires – deux footballeurs du Gabon (encore) ont été au centre d’affaires de cet acabit, Asamoah Gyan et l’ancien joueur du FC Nantes Shiva Star N’Zigou.
Source : medias-presse.info
Publié par Guy de Laferrière le 16 mai 2023
Vidéo :
https://www.facebook.com/upsoclthecracks/videos/140658898989395