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foot - Page 2

  • Marseille : son fils n’est pas retenu dans l’équipe de foot, « il débarque, me met un coup de tête dans la tête et m’entaille le poignet avec son couteau de boucher », accusant le club d’être raciste (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 12 juin 2023

    12/06/2023

    […]Après les tests passés, un premier coach serait allé voir le papa, lui informant que son fils, joueur du club en U11, ne pourrait pas poursuivre la saison prochaine. (…) Lorsque Frédéric, va pour chercher ses clés dans sa voiture, avant d’enchaîner avec les détections U17, « il débarque, me met un coup de tête dans la tête et m’entaille le poignet avec son couteau de boucher ». Celui qui n’avait jusqu’alors jamais présenté d’animosité particulière aux abords du stade le couvre d’insultes, lui disant, «je vais te tuer, tu prends pas mon fils, je vais tous vous tuer, je vais tous vous planter !». L’homme s’en prend alors aux parents et enfants aux alentours, les menace eux aussi de mort, accusant le club d’être des racistes. […]

    La Marseillaise


    09/06/2023

    Les parents ayant un enfant inscrit dans un club de foot marseillais redoutent cette période : celle des détections de fin d’année. Faute de pouvoir inscrire un nombre suffisant d’équipes, les entraîneurs sont en effet contraints de faire des sélections, le plus souvent sous forme de match, pour déterminer qui aura le droit de jouer l’an prochain et à quel niveau.

    […]

    Ulcéré que son gamin ne soit pas retenu, un homme s’en est violemment pris aux entraîneurs du club, trois ont été frappés à coups de poing et de pied, indique une source policière. Pire : totalement hors de contrôle, l’homme a ensuite sorti un couteau de cuisine et tailladé un des coachs. Une blessure heureusement sans gravité.

    […]

    La Provence

  • Agression mortelle et violence : l’ensauvagement sur les terrains de foot

    Publié par Guy de Laferrière le 02 juin 2023

    Paul n’avait que 15 ans. Passionné de football depuis son plus jeune âge, ce jeune Allemand évoluait au JFC Berlin. Dimanche dernier, en marge de la demi-finale de la Germany Cup que son club disputait contre l’équipe française du FC Metz, le jeune adolescent a été mortellement agressé. Selon les différents témoignages recueillis par le parquet, une « bataille rangée » aurait éclaté entre les deux équipes. L’agresseur présumé, jeune footballeur de Metz, aurait commencé par frapper au visage l’un de ses adversaires. Rapidement, il aurait ensuite dirigé ses coups contre Paul. À l’aide ses deux poings, il l’aurait alors violemment frappé à la gorge avant de l’étrangler et de lui assener un coup dans l’estomac. Alors qu’il se libérait de la menace, le jeune Allemand aurait fini par recevoir un coup sec sur la tête et se serait effondré. Le joueur de Metz aurait alors quitté les lieux sans lui porter assistance. Malgré l’intervention rapide des secours, Paul est déclaré en état de mort cérébrale. Interpellé et placé en détention, l’agresseur présumé, de confession musulmane, aurait présenté ses excuses et assuré la famille de la victime de ses prières.

    Cette violente agression, qui entraîne des réactions jusqu’au Royaume-Uni, laisse l’Allemagne et le monde du football sous le choc. Outre-Rhin, Iris Spranger, ministre de l’Intérieur de Berlin, s’est ainsi exprimée, sur Twitter : « Qu’un jeune joueur perde la vie après un match de football me laisse sans voix. Je souhaite à la famille, aux amis et à l’équipe beaucoup de courage dans ces moments obscurs. » Pour la Fédération allemande de football, cette agression mortelle est le signe que « nous avoir à faire à un problème de société ». Côté français, le FC Metz, qui a adressé ses condoléances à la famille de la victime, indique rester à la disposition des enquêteurs.

    Ensauvagement

    Il est loin, le temps où le football amateur n’était qu’une activité sportive et familiale des dimanches après-midi. Si les affrontements mortels sur les terrains restent encore un phénomène exceptionnel, la montée de la violence dans le milieu du football est, quant à elle, bien réelle. Dans le Pas-de-Calais, le président de l’US Noyelles-sous-Lens, las, a ainsi décidé de fermer les portes de son club. Menacé par un joueur exclu d’une rencontre, il aurait ensuite été insulté et giflé au bord du terrain avant de découvrir le local de l’auto-école, dont il est le gérant, ravagé par les flammes. Quelques semaines plus tôt, le président du club de Saint-Martin-du-Mont (Ain) était lui aussi victime d’une agression en marge d’un match disputé par ses jeunes joueurs. Dans les Côtes-d’Armor, l’US Prat est sous le choc depuis l’agression violente dont a été victime l’une de ses joueuses, en janvier dernier. À la fin du match, alors qu’elle se retrouve au sol, elle reçoit « volontairement » un coup de pied à la tête porté par l’une de ses adversaires. Transportée à l’hôpital pour des douleurs aux cervicales, ses parents décident de porter plainte. Face à cette violence, si les joueurs sont en première ligne, les arbitres ne sont pas non plus épargnés. Ainsi dans le Morbihan, sur les dix sanctions de plus de trois mois prononcées contre des joueurs la saison dernière, sept concernaient des atteintes physiques contre les arbitres. Enfin, quand elle n’est pas sur le terrain, la violence se propage dans les gradins. Des parents, prêts à tout pour voir leur enfant réussir, finissent par s’invectiver et se bagarrer dans les tribunes.

    Pourtant, à en croire la Fédération française de football, la violence sur les terrains n’existe pas. Dans son dernier baromètre, elle estime ainsi qu’à peine 2 % des rencontres sont émaillées d’incidents. Mais pour Jean-Jacques Demarez, secrétaire général de l’Union nationale des arbitres de football (UNAF), interrogé par Causeur en janvier 2017, ces chiffres ne sont pas « sérieux ». « Les districts ne font pas remonter les plaintes pour préserver leur image. Tout le monde le sait. Dans le football, on se voile la face », précise-t-il.

    Pour comprendre cette violence, inutile de chercher bien loin. Les terrains de football ne sont que le reflet de l’ensauvagement qui gagne notre société. Si, au lendemain de la première victoire des Bleus en Coupe du monde, le football était présenté comme un vecteur d’intégration, aujourd’hui, force est de constater qu’il n’est plus qu’un symptôme parmi d’autres de notre décivilisation.

     
     
     
     
  • Derrière le foot, trafic d’enfants et satanisme

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mai 2023

    Une vidéo du journaliste spécialisé Romain Molina sur les histoires sombres derrière le foot – et notamment les histoires de famille, comme l’affaire Pogba – éclaire un peu les dessous sombres du sport mondialisé chéri des puissants.

    En ce moment, une enquête a été ouverte – poussivement – suite à des trafics d’enfants dans les instances de foot du Gabon – divers entraîneurs ont été écartés, tandis que dans d’autres pays en développement, des proches font des sacrifices humains ou des rites vaudous (sataniques) pour assurer la réussite de certains footballeurs ou l’envoûtement de leurs adversaires – deux footballeurs du Gabon (encore) ont été au centre d’affaires de cet acabit, Asamoah Gyan et l’ancien joueur du FC Nantes Shiva Star N’Zigou.

     

     

  • On veut le même salaire que les hommes

    Publié par Guy de Laferrière le 16 mai 2023

    Bruno Hirout Secrétaire général du Parti de la France
     
    On vEuT lE mEmE sAlAiRe qUe lEs HoMmEs

    D1 Féminine : match nul et vierge entre le PSG et l'OL (0-0)

    Vidéo :

    https://www.facebook.com/upsoclthecracks/videos/140658898989395

  • le Maroc et le foot

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

     

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    Concernant les évènements d'hier suite à la victoire du Maroc, je publie à nouveau un petit passage de notre ami Thomas Joly qui est clair, net, précis ! Vidéo : facebook.com/10005038809391