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agression

  • Eaunes (31) : agressions du personnel, tenues religieuses contraires au règlement, insultes, individus qui viennent de plus en plus de l’extérieur… le maire contraint de fermer temporairement un petit parc de jeux aquatiques

    Publié par Guy de Laferrière le 17 août 2024


    Une mauvaise nouvelle pour les usagers. La commune d’Eaunes, en Haute-Garonne, a été contrainte de fermer sa nouvelle aire de jeux aquatiques, rapporte Actu. La mairie a indiqué qu’en raison « des conditions climatiques actuelles et des incivilités ainsi que des agressions subies par le personnel », le site serait fermé ce mercredi 14 et jeudi 15 août. Les vacanciers qui souhaitaient s’y rafraîchir n’y auront pas accès exceptionnellement. (…)

    Le JDD

    (…) fermer ses portes 48 heures pour incivilités. Certains visiteurs ne respectaient pas le règlement. Le maire se dit prêt à fermer de nouveau. (…)

    Depuis l’ouverture en 2021 de cette aire de jeux d’eau, en accès libre et gratuit au public, le nombre d’incivilités n’a jamais cessé d’augmenter. Le maire dénonce « des gens qui viennent de l’extérieur de la commune, pourquoi pas, mais qu’ils respectent le règlement ! » (…)

    Il pointe du doigt des visiteurs profitant des joies de l’eau et de l’aspersion habillés de la tête aux pieds.

    « Ce n’est pas hygiénique et cela est contraire au règlement. Je crois déceler en plus des vêtements religieux qui viennent contrecarrer notre principe de laïcité. Ce n’est pas tolérable », s’emporte presque le maire d’Eaunes. Qui ne supporte pas non plus que l’on s’en prenne à ses personnels, « souvent des jeunes de bonne volonté » dit-il. Des jeunes qui tentent aussi de faire respecter la limite d’âge fixée à 3 ans.

    « C’est compliqué, confie Erine, des parents baignent leurs petits avec parfois leurs couches. Quand on leur fait la remarque, ils s’agacent parfois ! » En attendant que les esprits se calment, l’arrêté de fermeture temporaire aura eu son effet. Ce vendredi, la journée de réouverture s’est déroulée sans encombre. Pourvu que ça dure…

    La Dépêche via fdesouche

  • Talence : Un couple d’handicapés victime d’une agression “sans raison” d’une particulière violence, Abderrahmane et Wael, déjà bien connus de la justice, condamnés à 3 ans de prison

    Publié par Guy de Laferrière le 23 novembre 2023

    « Ils étaient tranquilles, chez eux, et ont été agressés sans raison. Neuf mois plus tard, ils sont toujours traumatisés », expliquent Mes Laury Costes et Stéphanie Jean, les avocates d’un couple de personnes handicapées âgées d’une quarantaine d’années, victimes d’une agression d’une particulière violence, dans leur appartement, en pleine nuit, à Talence, en février dernier. Après plusieurs mois d’investigations, les enquêteurs sont remontés jusqu’à trois suspects.

    Âgés de 17 ans pour l’un et 19 ans pour les deux autres, ils ont été interpellés à Toulouse, Bordeaux et Talence, le 14 novembre. Les deux majeurs, Abderrahmane Ben Lahssen et Wael Hamoudi, étaient renvoyés en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Bordeaux, ce 17 novembre.

    Les faits datent du 21 février. Ce soir-là, les victimes passent un moment chez une voisine, avant de rentrer chez elles, vers minuit. Le couple s’apprête à se coucher quand on frappe à la porte. La femme ne se méfie pas, pense que c’est la voisine et ouvre. Trois hommes masqués, gantés et armés d’un pistolet se jettent sur elle, la plaquent contre un mur et l’étranglent. « Plus tu cries, plus on serre », la menacent-ils, pour la faire taire.

    (…)

    Sud Ouest via fdesouche

  • Libourne (33) : deux hommes attaqués à la machette en pleine rue ; l’un d’eux riposte avec une arme à feu

    Publié par Guy de Laferrière le 06 septembre 2023

    Dans la nuit de vendredi à samedi à Libourne, un homme en a agressé deux autres à la machette. L’un d’entre eux a riposté avec une arme à feu.

    Le premier conservait une machette dans sa voiture. Les deux autres, une arme à feu dans la leur. Dans la nuit de vendredi à samedi à Libourne, près du bar L’Annexe de l’Orient situé à 500 mètres de la mairie, s’est déroulée une scène d’une violence surréaliste. Appelés à minuit pour un signalement de cette échauffourée en présence de 50 personnes, les gendarmes ont découvert sur la place Decazes un homme en sang. Son crâne avait été fendillé à la machette.

    Si l’origine de la rixe demeure inconnue, il s’avère qu’elle a commencé entre deux automobilistes, dont l’un transportait un passager. Après des échanges tendus, l’individu qui circulait seul dans la première voiture en est descendu une machette à la main et s’est précipité vers l’un des individus qui lui faisaient face. Une première tentative ratée, suivi d’un deuxième assaut durant lequel il est parvenu à porter un coup à la tête du second passager de la voiture adverse.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • L’Houmeau (17) : en tentant d’empêcher l’installation de 200 caravanes de gens du voyage, un maire violemment tabassé, son agression filmée

    Publié par Guy de Laferrière le 21 août 2023

    Samedi 19 août, Jean-Luc Algay, maire de L’Houmeau en Charente-Maritime, a été agressé sur sa commune, alors qu’il tentait d’empêcher l’installation de gens du voyage. Il souffre d’une côte fissurée et d’un important choc psychologique. Une plainte a été déposée rapporte Sud Ouest.

    Aux alentours de 13 heures, l’édile est averti par son adjointe de l’arrivée de gens du voyage près du stade municipal. “J’ai vu un homme en train de démonter une barrière, raconte l’élue. Il m’a dit : ‘Nous avons besoin d’un terrain pour 200 caravanes’. Je leur ai alors répondu qu’ils ne pouvaient rester là“.

    Deux véhicules réussissent à pénétrer sur le terrain avant que l’adjointe ne se place devant les autres. “Je leur ai dit que je ne bougerai pas. Ils m’ont répondu, notamment des femmes et des enfants, qu’ils allaient m’écraser”.

    Le maire arrive quinze de minutes plus tard, avant d’être violenté par un homme. “ll m’a ceinturé d’abord au niveau du visage, puis au thorax. Je sentais des coups pleuvoir. Je n’arrivais pas à reprendre mon souffle. Ils étaient deux ou trois à filmer mon agression“, raconte l’édile auprès de nos confrères.

    La Dépêche via fdesouche