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agression - Page 4

  • Ostwald (67) : un père de famille intervient lorsqu’il voit un jeune insulter sa compagne ; il est tabassé jusqu’à la perte de conscience devant ses enfants qui “hurlaient et pleuraient” ; Yassim Lamri, déjà connu pour violences, condamné

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mai 2023

    Jeudi dernier aux alentours de 16 heures, un quadragénaire se rend avec ses deux enfants dans un parc d’Ostwald au niveau d’une aire de jeux. Il aperçoit un jeune homme qui insulte sa petite amie. Il décide d’intervenir pour mettre fin au différend en lui demandant de se calmer.

    Inconscient à côté de ses enfants qui « hurlaient et pleuraient »

    En représailles, il subit un véritable déluge de violences de la part du majeur, accompagné d’un mineur : coups de pied, coups de poing au visage. Il est retrouvé inconscient, le visage en sang dans l’herbe à côté de ses enfants qui « hurlaient et pleuraient », relève le président du tribunal, Bertrand Gautier. (…)

    Pour sa défense, le prévenu explique que la victime l’a tiré puis lui a asséné le premier coup. « Il a fait le warrior avec moi. Il m’a mis une patate. Je me suis défendu », se justifie-t-il.

    Déjà connu pour des faits de violence, le tribunal a condamné Yassim Lamri à quatre ans de prison ferme avec maintien en détention. (…)

    L’Alsace via fdesouche

  • Pau (64) : excédé par les “deals” sous sa fenêtre, il était descendu de son immeuble avec un bâton et avait été roué de coups par Younès et Magomed

    Publié par Guy de Laferrière le 27 avril 2023

    À la barre du tribunal ce mardi, la victime, un homme de 37 ans à l’époque des faits, rejoue la scène de l’agression subie le 9 novembre 2020 au pied de son immeuble dans le quartier Saragosse, à Pau. Excédé par les « deals » sous sa fenêtre, il était descendu avec un bâton, face à deux jeunes d’à peine plus de 18 ans. Il avait été roué de coups.

    Dans le box des prévenus, il n’y a plus que Younès Mahi, 19 ans à l’époque. Son « collègue » Magomed Alkhanov a refusé d’être extrait du centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan où il purge une peine de 6 ans pour violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner. C’était aussi une rixe avec « effet de groupe », déjà dans le quartier Saragosse, près de deux ans plus tôt. Il a été condamné en fin d’année 2022 par la cour d’assises des mineurs.

    Younès reconnaît qu’il dealait au pied de cet immeuble. « J’ai été condamné pour ça à un an de prison. » Une altercation a éclaté avec le riverain depuis sa fenêtre. « J’en avais marre des dealers, j’étais excédé. » Des insultes volent. En train de faire son ménage, le résident balance un seau d’eau en direction des deux jeunes. « Descends si t’es un homme. »

    (…) Elle évoque le nez cassé, la mâchoire abîmée et le genou « en vrac » de son client, mais surtout les suites de cette agression. « Il a vendu son logement et quitté la région ». Lui-même raconte qu’il a encore des angoisses. « Je ne peux plus vivre seul. »

    Pour le ministère public, le « déferlement de violences » est attesté par les constatations médicales pour un riverain excédé par les deals « qui a laissé s’exprimer sa lassitude de manière maladroite ».

    (…) 18 mois dont six mois avec sursis probatoire pour Younès Mahi, 24 mois dont 6 mois de sursis pour Magomed Alkhanov. Ils ont interdiction de contact avec la victime qu’ils devront indemniser à hauteur de 1800 € pour son préjudice moral. Ils ont aussi interdiction de paraître au quartier Saragosse.

    La République des Pyrénées via fdesouche

  • Les petits nervis du régime et leurs sales besognes

    Publié par Guy de Laferrière le 22 avril 2023

    synthesenationale

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    Suite à la lâche agression dont il a été la victime, Pierre-Marie Bonneau, avocat réputé de nombreux militants de la cause nationaliste, vient de publier le communiqué ci-dessous.

    Un communiqué de Me Pierre-Marie Bonneau :

    Le dimanche 9 avril 2023, alors que je me trouvais, en compagnie d’un viel ami, bien paisiblement installé en terrasse d’un café, en plein centre-ville de Toulouse, j’ai été agressé par un « antifasciste » courageusement accompagné, évidemment, d’une dizaine de ses camarades. Je n’ai heureusement pas été blessé.

    L’impunité totale dont bénéficient ces groupes de nervis démontre simplement qu’ils ne sont que les auxiliaires zélés du système politique qui dirige notre société pourrissante. Loin de combattre le gouvernement, loin de servir une quelconque révolution, ils décrédibilisent par leur défense ridicule de tout ce qui peut être laid, sale ou stérile les révoltes populaires auxquelles ils se greffent, pour le plus grand profit de ceux qui les manipulent.

    Cela ne fait que me conforter dans mon engagement, professionnel tout autant que politique, et me confirme qu’effectivement, défendre les militants nationalistes chaque fois que cela est possible est toujours plus nécessaire. Que les roquets de garde du régime politique en place s’en prennent à moi vient encore le démontrer s’il en était besoin.

    Face à cette attaque, je tiens à remercier mes amis et camarades pour leur soutien et à leur rappeler que nous devons garder le calme des vieilles troupes, jusqu’à ce qu’enfin, un jour, le retour de nos Nations balaye ces scories toxiques du capitalisme apatride.

    Je vous invite donc toujours et de plus fort à rejoindre les Nationalistes et à soutenir l’action du CLAN.

    Nous sommes tous les maillons d’une même chaîne, serrons les rangs, ne lâchons rien et rendez-vous à la victoire !

    Source Jeune nation cliquez ici

  • « Ils veulent ma peau, je suis très fatiguée » : Dans les quartiers nord de Nice, Marie-Thérèse, 81 ans, menacée, harcelée et agressée par des dealers (Màj : Elle a été relogée, le bailleur HLM veut expulser l’un de ses agresseurs)

    Publié par Guy de Laferrière le 11 avril 2023

    fdesouche

    11/04/2023

    Drogue, porte fracturée, menaces, main cassée : Marie-Thérèse, 81 ans, vivait un enfer depuis des années dans une cité HLM de Nice-Nord. Anthony Borré, le président de côte d’Azur Habitat, l’a mise à l’abri et demande l’expulsion de son agresseur

    Elle est à l’abri. Enfin. Après des années à vivre dans la peur. Marie-Thérèse souffle. Enfin. Loin des barres, loin du shit, du trafic et des menaces. La dame de 81 ans a quitté son HLM de Las Planas.

    Porte cassée, intrusions, menaces, béquille volée, agressions physiques… La parution, le 26 février, de notre article où elle racontait son quotidien, harcelée par des dealers de ce petit quartier de Nice-Nord, avait fait réagir Anthony Borré, président du bailleur social Côte d’Azur habitat (CAH).

    “Je m’y étais engagé. On a trouvé un logement à cette dame dans une commune de l’arrière-pays”, indique celui qui est aussi premier adjoint au maire. Et qui ne compte pas en rester là: “J’engage une procédure de résiliation de bail auprès du tribunal contre son agresseur”.

    « Une solution humaine et nécessaire »

    Anthony Borré explique: “Je l’avais reçu en conseil des droits et devoirs des locataires. Il était connu pour des problèmes d’entretien de son logement, de poubelles et de détritus et d’encombrement des parties communes. Les voisins s’en plaignaient. Je l’ai averti les yeux dans les yeux, lui et sa famille. Et le 22 décembre dernier, il agresse cette vieille dame…”

    […]

     

    Nice-Matin


    26/02/2023

    Des sachets de cocaïne cachés dans son manteau, serrures cassées, intrusions, menaces… A Nice-Nord, une dame de 81 ans raconte son “enfer parce qu'(elle) refuse de se taire”.

    Sur le mur à côté de sa porte, elle a scotché un petit bout de papier comme un avertissement dérisoire: “Attention, vous êtes filmés.” C’est écrit au stylo-bille noir d’une main tremblotante. “Ca ne les empêche pas de casser et d’entrer, j’ai encore dû changer les serrures il n’y a pas longtemps. Un voisin m’a aidée mais ça me coûte cher tout ça”, souffle la dame de 81 ans en montrant le contour des barillets escagassés.

    Un sifflet autour du cou pour appeler à l’aide

    Sa vie, c’est, raconte-t-elle, agression sur agression. Elle sort un classeur épais rempli de plaintes, de certificats médicaux et de courriers. S’excuse de ne pas arriver à bien tourner les pages, exhibe sa main droite immobilisée par une attelle: “Il m’a blessée à la veille de Noël.” Le 22 décembre, fracture, opération.

    Depuis, elle porte “jour et nuit un sifflet autour du cou pour appeler à l’aide en cas de problème”. “Je suis en danger parce que je n’aime pas les trafics de drogue en bas de chez moi et que je refuse de me taire, poursuit-elle. Moi, je n’ai pas d’espérance de vie mais pour les petits du quartier, pour les associations qui se battent pour qu’ils grandissent bien, on ne peut pas laisser faire.”

    […]

     

    « Ils veulent ma peau, je suis très fatiguée »

    Elle a remplacé les fleurs à ses fenêtres par des planches et du grillage: “Je me barricade, je ne dors plus que deux- trois heures par nuit. Ils veulent ma peau. Je suis très fatiguée…”.

    […]

     

    Nice-Matin

  • Narbonne (11) : muni d’un poignard, de deux grenades et d’un pistolet airsoft, il agresse violemment un policier devant le commissariat

    Publié par Guy de Laferrière le 08 avril 2023

    Un homme a violemment agressé un policier à proximité du commissariat de Narbonne. Le suspect était muni d’un poignard mais également de deux grenades. Le fonctionnaire, blessé en maîtrisant le suspect, s’est vu attribuer 15 jours d’ITT.

    Un policier de Narbonne (Aude) a été agressé par un homme au comportement suspect ce lundi soir, vers 20h30. Le fonctionnaire venait de quitter le commissariat pour récupérer des affaires dans sa voiture personnelle, stationnée sur le boulevard Général-de-Gaulle, lorsqu’il a croisé la route de cet homme d’une trentaine d’années muni d’un mégaphone raconte L’Indépendant.

    Le policier a alors demandé à l’individu d’expliquer les raisons de sa présence. Après avoir tenu des propos incohérents, le suspect a soudainement frappé le fonctionnaire à la tête avec le mégaphone, et lui a asséné plusieurs coups de poing au visage. Le policier a réussi à maîtriser son agresseur malgré les blessures subies, pour lesquelles 15 jours d’ITT (incapacité totale de travail) lui ont été prescrits. Plusieurs de ses collègues sont venus en renfort après avoir été alertés par une passante.

    Les forces de l’ordre ont ensuite découvert que cet homme avait sur lui deux grenades (une assourdissante et un fumigène), un pistolet airsoft et un poignard japonais de type sai précise le quotidien régional. Placé en garde à vue, le suspect a aussi agressé un autre membre des forces de l’ordre, à l’intérieur du commissariat, en lui donnant des coups de poing au visage, lui occasionnant trois jours d’ITT.

    (…) Actu 17 via fdesouche