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agression - Page 4

  • Agression mortelle et violence : l’ensauvagement sur les terrains de foot

    Publié par Guy de Laferrière le 02 juin 2023

    Paul n’avait que 15 ans. Passionné de football depuis son plus jeune âge, ce jeune Allemand évoluait au JFC Berlin. Dimanche dernier, en marge de la demi-finale de la Germany Cup que son club disputait contre l’équipe française du FC Metz, le jeune adolescent a été mortellement agressé. Selon les différents témoignages recueillis par le parquet, une « bataille rangée » aurait éclaté entre les deux équipes. L’agresseur présumé, jeune footballeur de Metz, aurait commencé par frapper au visage l’un de ses adversaires. Rapidement, il aurait ensuite dirigé ses coups contre Paul. À l’aide ses deux poings, il l’aurait alors violemment frappé à la gorge avant de l’étrangler et de lui assener un coup dans l’estomac. Alors qu’il se libérait de la menace, le jeune Allemand aurait fini par recevoir un coup sec sur la tête et se serait effondré. Le joueur de Metz aurait alors quitté les lieux sans lui porter assistance. Malgré l’intervention rapide des secours, Paul est déclaré en état de mort cérébrale. Interpellé et placé en détention, l’agresseur présumé, de confession musulmane, aurait présenté ses excuses et assuré la famille de la victime de ses prières.

    Cette violente agression, qui entraîne des réactions jusqu’au Royaume-Uni, laisse l’Allemagne et le monde du football sous le choc. Outre-Rhin, Iris Spranger, ministre de l’Intérieur de Berlin, s’est ainsi exprimée, sur Twitter : « Qu’un jeune joueur perde la vie après un match de football me laisse sans voix. Je souhaite à la famille, aux amis et à l’équipe beaucoup de courage dans ces moments obscurs. » Pour la Fédération allemande de football, cette agression mortelle est le signe que « nous avoir à faire à un problème de société ». Côté français, le FC Metz, qui a adressé ses condoléances à la famille de la victime, indique rester à la disposition des enquêteurs.

    Ensauvagement

    Il est loin, le temps où le football amateur n’était qu’une activité sportive et familiale des dimanches après-midi. Si les affrontements mortels sur les terrains restent encore un phénomène exceptionnel, la montée de la violence dans le milieu du football est, quant à elle, bien réelle. Dans le Pas-de-Calais, le président de l’US Noyelles-sous-Lens, las, a ainsi décidé de fermer les portes de son club. Menacé par un joueur exclu d’une rencontre, il aurait ensuite été insulté et giflé au bord du terrain avant de découvrir le local de l’auto-école, dont il est le gérant, ravagé par les flammes. Quelques semaines plus tôt, le président du club de Saint-Martin-du-Mont (Ain) était lui aussi victime d’une agression en marge d’un match disputé par ses jeunes joueurs. Dans les Côtes-d’Armor, l’US Prat est sous le choc depuis l’agression violente dont a été victime l’une de ses joueuses, en janvier dernier. À la fin du match, alors qu’elle se retrouve au sol, elle reçoit « volontairement » un coup de pied à la tête porté par l’une de ses adversaires. Transportée à l’hôpital pour des douleurs aux cervicales, ses parents décident de porter plainte. Face à cette violence, si les joueurs sont en première ligne, les arbitres ne sont pas non plus épargnés. Ainsi dans le Morbihan, sur les dix sanctions de plus de trois mois prononcées contre des joueurs la saison dernière, sept concernaient des atteintes physiques contre les arbitres. Enfin, quand elle n’est pas sur le terrain, la violence se propage dans les gradins. Des parents, prêts à tout pour voir leur enfant réussir, finissent par s’invectiver et se bagarrer dans les tribunes.

    Pourtant, à en croire la Fédération française de football, la violence sur les terrains n’existe pas. Dans son dernier baromètre, elle estime ainsi qu’à peine 2 % des rencontres sont émaillées d’incidents. Mais pour Jean-Jacques Demarez, secrétaire général de l’Union nationale des arbitres de football (UNAF), interrogé par Causeur en janvier 2017, ces chiffres ne sont pas « sérieux ». « Les districts ne font pas remonter les plaintes pour préserver leur image. Tout le monde le sait. Dans le football, on se voile la face », précise-t-il.

    Pour comprendre cette violence, inutile de chercher bien loin. Les terrains de football ne sont que le reflet de l’ensauvagement qui gagne notre société. Si, au lendemain de la première victoire des Bleus en Coupe du monde, le football était présenté comme un vecteur d’intégration, aujourd’hui, force est de constater qu’il n’est plus qu’un symptôme parmi d’autres de notre décivilisation.

     
     
     
     
  • Lâche et lamentable agression de Jean-Baptiste Trogneux par une bande de cas sociaux

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mai 2023

    Le Parti de la France condamne la lâche et lamentable agression de Jean-Baptiste Trogneux par une bande de cas sociaux dont le QI ne doit pas atteindre des records.
    Néanmoins, face au battage politico-médiatique qui est fait autour de cette histoire, rappelons que, chaque jour, des dizaines de Français sont violemment agressés par des bandes d'allogènes sans que ça n'émeuve aucun journaliste ni politicien du Système.
    Le Parti de la France rétablira l'ordre et la sécurité sur tout le territoire et pour tous les Français et mettra en place une répression judiciaire implacable, quels que soient les agresseurs ou les victimes.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
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  • Lyon : un couple agressé au couteau dans une station de métro, l’agresseur reprochait à la jeune femme de “sortir avec un Européen”

    Publié par Guy de Laferrière le 06 mai 2023

    Un couple agressé au couteau dans une station de métro, l’auteur maîtrisé par un témoin

    L’auteur, interpellé par un témoin, reprochait à la jeune femme de sortir avec un Européen, qui a reçu un coup de couteau au thorax.

    Une violente agression s’est produite, ce samedi, vers 1 heure du matin, dans la station de métro Saxe-Gambetta, à Lyon (3e), où un jeune homme a été blessé d’un coup de couteau par un individu qui importunait son amie.

    L’agresseur, âgé d’une vingtaine d’années, a pris à partie la jeune femme, lui reprochant de fréquenter un Européen. Ce dernier s’est interposé, demandant à l’individu de se calmer, mais celui-ci a sorti un couteau et lui en a porté un coup au thorax.

    Il a ensuite tenté de poignarder la jeune femme et serait probablement parvenu à ses fins sans l’intervention courageuse d’un témoin, qui est parvenu à le désarmer et à le maîtriser jusqu’à l’arrivée de la police, qui l’a interpellé.

    (…) Le Progrès via fdesouche

  • Ostwald (67) : un père de famille intervient lorsqu’il voit un jeune insulter sa compagne ; il est tabassé jusqu’à la perte de conscience devant ses enfants qui “hurlaient et pleuraient” ; Yassim Lamri, déjà connu pour violences, condamné

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mai 2023

    Jeudi dernier aux alentours de 16 heures, un quadragénaire se rend avec ses deux enfants dans un parc d’Ostwald au niveau d’une aire de jeux. Il aperçoit un jeune homme qui insulte sa petite amie. Il décide d’intervenir pour mettre fin au différend en lui demandant de se calmer.

    Inconscient à côté de ses enfants qui « hurlaient et pleuraient »

    En représailles, il subit un véritable déluge de violences de la part du majeur, accompagné d’un mineur : coups de pied, coups de poing au visage. Il est retrouvé inconscient, le visage en sang dans l’herbe à côté de ses enfants qui « hurlaient et pleuraient », relève le président du tribunal, Bertrand Gautier. (…)

    Pour sa défense, le prévenu explique que la victime l’a tiré puis lui a asséné le premier coup. « Il a fait le warrior avec moi. Il m’a mis une patate. Je me suis défendu », se justifie-t-il.

    Déjà connu pour des faits de violence, le tribunal a condamné Yassim Lamri à quatre ans de prison ferme avec maintien en détention. (…)

    L’Alsace via fdesouche

  • Pau (64) : excédé par les “deals” sous sa fenêtre, il était descendu de son immeuble avec un bâton et avait été roué de coups par Younès et Magomed

    Publié par Guy de Laferrière le 27 avril 2023

    À la barre du tribunal ce mardi, la victime, un homme de 37 ans à l’époque des faits, rejoue la scène de l’agression subie le 9 novembre 2020 au pied de son immeuble dans le quartier Saragosse, à Pau. Excédé par les « deals » sous sa fenêtre, il était descendu avec un bâton, face à deux jeunes d’à peine plus de 18 ans. Il avait été roué de coups.

    Dans le box des prévenus, il n’y a plus que Younès Mahi, 19 ans à l’époque. Son « collègue » Magomed Alkhanov a refusé d’être extrait du centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan où il purge une peine de 6 ans pour violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner. C’était aussi une rixe avec « effet de groupe », déjà dans le quartier Saragosse, près de deux ans plus tôt. Il a été condamné en fin d’année 2022 par la cour d’assises des mineurs.

    Younès reconnaît qu’il dealait au pied de cet immeuble. « J’ai été condamné pour ça à un an de prison. » Une altercation a éclaté avec le riverain depuis sa fenêtre. « J’en avais marre des dealers, j’étais excédé. » Des insultes volent. En train de faire son ménage, le résident balance un seau d’eau en direction des deux jeunes. « Descends si t’es un homme. »

    (…) Elle évoque le nez cassé, la mâchoire abîmée et le genou « en vrac » de son client, mais surtout les suites de cette agression. « Il a vendu son logement et quitté la région ». Lui-même raconte qu’il a encore des angoisses. « Je ne peux plus vivre seul. »

    Pour le ministère public, le « déferlement de violences » est attesté par les constatations médicales pour un riverain excédé par les deals « qui a laissé s’exprimer sa lassitude de manière maladroite ».

    (…) 18 mois dont six mois avec sursis probatoire pour Younès Mahi, 24 mois dont 6 mois de sursis pour Magomed Alkhanov. Ils ont interdiction de contact avec la victime qu’ils devront indemniser à hauteur de 1800 € pour son préjudice moral. Ils ont aussi interdiction de paraître au quartier Saragosse.

    La République des Pyrénées via fdesouche