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agression - Page 3

  • Bordeaux : Une grand-mère et sa petite-fille violemment agressées

    Publié par Guy de Laferrière le 20 juin 2023

    Mise à jour le 20 juin à 17h15

    Lundi 19 juin, aux alentours de 17 h 30, sur le cours de la Martinique, en plein centre de Bordeaux (Gironde), une grand-mère de 73 ans et sa petite-fille de 7 ans ont été victimes d’une violente agression devant leur domicile. Le suspect a été interpellé quelques heures plus tard.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1671040451032371200

     

    Sur les images prises par la caméra de l'interphone du domicile, on voit un homme observant la grand-mère et sa petite fille devant leur domicile. Il s'approche pour bloquer la porte d'entrée avec son pied avant de se précipiter à l'intérieur pour saisir les victimes et les projeter violemment sur le trottoir. L'agresseur vole des effets personnels avant de s'enfuir.

    Selon CNews, l'homme interpellé quelques heures plus tard par la police, Brahima B., est un Français né en 1993, sans domicile fixe et « très défavorablement connu des services de police ». Il a été placé en garde à vue et une enquête a été ouverte pour déterminer le mobile et les circonstances de cette agression. La grand-mère s'est vue délivrer 4 jours d'ITT. Des expertises complémentaires seront réalisées pour déterminer les dommages.

    L'agresseur présente des troubles du comportement majeurs liés à une pathologie psychotique et schizophrène. BFMTV relate que sa garde à vue est levée : "A la suite de cette expertise, les autorités ont décidé que le suspect soit hospitalisé en psychiatrie à l'hôpital Charles Perrens à Bordeaux".

     

    Source : bvoltaire

  • Un pharmacien agressé chaque jour en moyenne en 2022

    Publié par Guy de Laferrière le 05 juin 2023

    Dans son bilan annuel, l’Ordre national des pharmaciens recense 366 agressions (verbales, physiques ou vols). Un chiffre loin du pic de 600 agressions durant la crise sanitaire, mais en hausse de 17 % par rapport à 2019.

    Le phénomène est « préoccupant ». L’Ordre national des pharmaciens a recensé 366 agressions déclarées en 2022, soit « en moyenne un pharmacien agressé chaque jour en France », s’inquiète-t-il dans un compte rendu que l’AFP a pu consulter ce dimanche.

    Dans ce bilan annuel sur la sécurité des pharmaciens, qui recense les déclarations d’agression des professionnels sur le formulaire de l’Ordre, l’organisme rapporte 366 agressions (verbales, physiques ou vols), dont 14 en outre-mer. Dans le détail, il fait état de 355 déclarations d’agressions en officine, six en laboratoire de biologie médicale et cinq en pharmacie à usage intérieur.

    (…) L’Ordre « engage vivement les pharmaciens victimes de tout type d’agression à déposer plainte ». Car « cette année encore, 44 % des pharmaciens déclarants ne déposent pas de plainte, notamment par manque de temps, peur de représailles ou estimant que cela n’est pas nécessaire ».

    Le Parisien via fdesouche

  • Toulouse : malgré une agression hyperviolente et gratuite, Mohamed et Wanisse, 19 ans, sont restés libres à cause d’une erreur de procédure

    Publié par Guy de Laferrière le 03 juin 2023

  • Agression mortelle et violence : l’ensauvagement sur les terrains de foot

    Publié par Guy de Laferrière le 02 juin 2023

    Paul n’avait que 15 ans. Passionné de football depuis son plus jeune âge, ce jeune Allemand évoluait au JFC Berlin. Dimanche dernier, en marge de la demi-finale de la Germany Cup que son club disputait contre l’équipe française du FC Metz, le jeune adolescent a été mortellement agressé. Selon les différents témoignages recueillis par le parquet, une « bataille rangée » aurait éclaté entre les deux équipes. L’agresseur présumé, jeune footballeur de Metz, aurait commencé par frapper au visage l’un de ses adversaires. Rapidement, il aurait ensuite dirigé ses coups contre Paul. À l’aide ses deux poings, il l’aurait alors violemment frappé à la gorge avant de l’étrangler et de lui assener un coup dans l’estomac. Alors qu’il se libérait de la menace, le jeune Allemand aurait fini par recevoir un coup sec sur la tête et se serait effondré. Le joueur de Metz aurait alors quitté les lieux sans lui porter assistance. Malgré l’intervention rapide des secours, Paul est déclaré en état de mort cérébrale. Interpellé et placé en détention, l’agresseur présumé, de confession musulmane, aurait présenté ses excuses et assuré la famille de la victime de ses prières.

    Cette violente agression, qui entraîne des réactions jusqu’au Royaume-Uni, laisse l’Allemagne et le monde du football sous le choc. Outre-Rhin, Iris Spranger, ministre de l’Intérieur de Berlin, s’est ainsi exprimée, sur Twitter : « Qu’un jeune joueur perde la vie après un match de football me laisse sans voix. Je souhaite à la famille, aux amis et à l’équipe beaucoup de courage dans ces moments obscurs. » Pour la Fédération allemande de football, cette agression mortelle est le signe que « nous avoir à faire à un problème de société ». Côté français, le FC Metz, qui a adressé ses condoléances à la famille de la victime, indique rester à la disposition des enquêteurs.

    Ensauvagement

    Il est loin, le temps où le football amateur n’était qu’une activité sportive et familiale des dimanches après-midi. Si les affrontements mortels sur les terrains restent encore un phénomène exceptionnel, la montée de la violence dans le milieu du football est, quant à elle, bien réelle. Dans le Pas-de-Calais, le président de l’US Noyelles-sous-Lens, las, a ainsi décidé de fermer les portes de son club. Menacé par un joueur exclu d’une rencontre, il aurait ensuite été insulté et giflé au bord du terrain avant de découvrir le local de l’auto-école, dont il est le gérant, ravagé par les flammes. Quelques semaines plus tôt, le président du club de Saint-Martin-du-Mont (Ain) était lui aussi victime d’une agression en marge d’un match disputé par ses jeunes joueurs. Dans les Côtes-d’Armor, l’US Prat est sous le choc depuis l’agression violente dont a été victime l’une de ses joueuses, en janvier dernier. À la fin du match, alors qu’elle se retrouve au sol, elle reçoit « volontairement » un coup de pied à la tête porté par l’une de ses adversaires. Transportée à l’hôpital pour des douleurs aux cervicales, ses parents décident de porter plainte. Face à cette violence, si les joueurs sont en première ligne, les arbitres ne sont pas non plus épargnés. Ainsi dans le Morbihan, sur les dix sanctions de plus de trois mois prononcées contre des joueurs la saison dernière, sept concernaient des atteintes physiques contre les arbitres. Enfin, quand elle n’est pas sur le terrain, la violence se propage dans les gradins. Des parents, prêts à tout pour voir leur enfant réussir, finissent par s’invectiver et se bagarrer dans les tribunes.

    Pourtant, à en croire la Fédération française de football, la violence sur les terrains n’existe pas. Dans son dernier baromètre, elle estime ainsi qu’à peine 2 % des rencontres sont émaillées d’incidents. Mais pour Jean-Jacques Demarez, secrétaire général de l’Union nationale des arbitres de football (UNAF), interrogé par Causeur en janvier 2017, ces chiffres ne sont pas « sérieux ». « Les districts ne font pas remonter les plaintes pour préserver leur image. Tout le monde le sait. Dans le football, on se voile la face », précise-t-il.

    Pour comprendre cette violence, inutile de chercher bien loin. Les terrains de football ne sont que le reflet de l’ensauvagement qui gagne notre société. Si, au lendemain de la première victoire des Bleus en Coupe du monde, le football était présenté comme un vecteur d’intégration, aujourd’hui, force est de constater qu’il n’est plus qu’un symptôme parmi d’autres de notre décivilisation.

     
     
     
     
  • Lâche et lamentable agression de Jean-Baptiste Trogneux par une bande de cas sociaux

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mai 2023

    Le Parti de la France condamne la lâche et lamentable agression de Jean-Baptiste Trogneux par une bande de cas sociaux dont le QI ne doit pas atteindre des records.
    Néanmoins, face au battage politico-médiatique qui est fait autour de cette histoire, rappelons que, chaque jour, des dizaines de Français sont violemment agressés par des bandes d'allogènes sans que ça n'émeuve aucun journaliste ni politicien du Système.
    Le Parti de la France rétablira l'ordre et la sécurité sur tout le territoire et pour tous les Français et mettra en place une répression judiciaire implacable, quels que soient les agresseurs ou les victimes.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
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