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  • Montpellier : le corps sans vie d’une femme de 80 ans découvert, elle a été massacrée de 26 coups de couteau ; le migrant marocain de 45 ans qu’elle hébergeait, et qu’elle avait épousé, mis en cause (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 10 novembre 2023

    La victime aurait été poignardée à plus de vingt reprises, mercredi 8 novembre au matin. Une enquête pour «meurtre par conjoint» a été ouverte.

    Un Marocain de 45 ans suspecté du meurtre de sa compagne, âgée de 80 ans, a été interpellé et placé en garde à vue mercredi 8 novembre à Montpellier (Hérault), a appris Le Figaro de source policière. Les faits ont été confirmés par le parquet de Montpellier dans un communiqué. «Le couple s’était rencontré au Maroc il y a plusieurs années avant de se marier», précise le parquet.

    (…) Sur le chemin du commissariat, Hassan A.R., en situation régulière sur le territoire français et inconnu de la justice, a avoué aux policiers avoir tué sa femme le matin même, précise une source proche du dossier. 

    (…) Cette dernière aurait été poignardée à 26 reprises, d’après les constatations du médecin légiste. Les plaies sont compatibles avec des coups portés avec une arme blanche, indique le parquet de Montpellier.

    Le Figaro


    Ce mercredi 8 novembre 2023, vers 19h, macabre découverte pour les policiers de Montpellier : dans le faubourg de Figuerolles-Chaptal une femme a été retrouvée morte, son conjoint a tenté de se suicider. Il a été placé en garde à vue. La victime qui serait âgée de 80 ans environ hébergeait son conjoint âgé de 45 ans, un étranger qui était en situation irrégulière et en quête de papiers, selon nos informations.

    www.ouest-france.fr

  • Transhumains trop humains

    Publié par Guy de Laferrière le 30 octobre 2023

    synthesenationale

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    La chronique de Philippe Randa

    Jamais l’adage populaire « on n’est jamais trahi que par les siens » n’aura été si vrai. Preuve par les « monsieur-madame-tout-en-un » en général et par les responsables de La Fondation du Refuge, sise à Montpellier et ses victimes, en particulier.

    Celle-ci, reconnue d’utilité publique, se doit d’avoir un objet « à caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, familial ou culturel » : pour cela, lit-on sur son site, elle « héberge et accompagne les jeunes LGBT +, âgés de 14 à 25 ans, rejetés par leurs parents, chassés du domicile familial, parce qu’ils sont homosexuels ou trans et/ou en questionnement identitaire ». Tout un programme !

    Tout pourrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes LGBTXYZ + etc. si une autre association au nom explicite – l’Association des victimes de la Fondation Le Refuge, domiciliée elle aussi à Montpellier – n’avait pas porté sur la place publique la condamnation de la première pour… discrimination sexuelle envers un ? une ? autre ? (sans opinion ?) de ses salarié(e) s.

    Monsieur devenu Madame Krystal Gil aurait en effet, selon son avocat, été victime de discrimination pour avoir été licencié(e) le 3 mai 2021 pour « faute grave », ce que bien évidemment l’association dément avec la plus haute indignation.

    Le licenciement pour faute grave ayant été requalifié en « licenciement nul », l’employé devenu indésirable a obtenu 15 000 euros en réparation de sa perte d’emploi, du préjudice sexuel et de sa discrimination morale… ou plutôt de son préjudice moral et sa discrimination sexuelle (à force de tout retourner dans tous les sens, on finit par s’y perdre)…

    Évidemment, l’association condamnée fait appel et les Montpelliérains auront droit à un deuxième round d’affrontement judiciaire qui restera toujours préférable à quelques castagnes à coups de sac à main, de bas filés et de talons aiguilles cassés.

    Quelle que soit l’issue de ce règlement de comptes transhumains trop humains, l’avenir de l’association risque d’être tout de même assombri par un tel crêpage de chignon… et les dons, si ce n’est les subventions publiques, risquent de se faire plus chiches à l’avenir.

    Preuve s’il en est une fois encore qu’une révolution, fut-elle sexuelle, finit toujours par dévorer ses propres enfants au nom des grands principes qu’elle est censée défendre ou promouvoir !

    Ou, si l’on préfère, qu’un « pur » trouve toujours un plus « pur » qui l’épure !

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  • Montpellier : un proviseur rend inaccessible un miroir utilisé par des élèves musulmanes pour remettre leur voile, il est victime d’une campagne de haine et de menaces de mort

    Publié par Guy de Laferrière le 09 septembre 2023

    Un tweet provoque la polémique sur internet. Il dénonce la pose de barrières dans le lycée Jean Mermoz à Montpellier. Des barrières rendant inaccessibles le film miroir sur les vitres à l’entrée et qui permettait aux élèves de replacer leur voile en sortant du lycée. Une plainte a été déposée pour menaces de mort.

    Le tweet a été vu plus de 380 000 fois et partagé à 650 reprises. Un post sur le réseau X ( ex-Twitter) dénonçant la pose de barrières devant un film réfléchissant devant lequel les jeunes filles replaçaient leur voile, tchador ou autre abaya dans l’enceinte du Lycée Mermoz a provoqué une vague de réactions sur internet. Des réactions incitant à la haine et à la violence.

    Laïcité

    “Il n’y a pas eu de problème à l’intérieur du lycée”, précise le proviseur du lycée Mermoz, joint au téléphone par France 3 Occitanie. “Nous demandons aux élèves d’enlever le voile à l’extérieur de l’établissement et de le remettre à l’extérieur également. C’est la règle depuis la loi de 2004, interdisant les signes religieux ou ostentatoires dans les établissements scolaires.

    Certaines élèves avaient tendance à se revoiler à l’intérieur en passant devant cette vitre réfléchissante. Pour éviter que cela se reproduise, on a mis des barrières.Proviseur

    Lycée Mermoz Montpellier

    Menaces de mort

    La décision, relayée par un tweet a provoqué une vague de réactions sur la toile et surtout des menaces contre le personnel et en particulier les CPE (conseillers principaux d’éducations) du lycée. Le proviseur a porté plainte jeudi 7 septembre pour “menaces de mort et atteinte aux biens dangereux pour la personne à l’encontre d’un personnel de service public”.

    Contexte sensible

    La veille, le chef d’établissement avait effectué une alerte Pharos, un site internet gouvernemental destiné à signaler des contenus et des comportements en ligne illicites.

    Cette polémique se produit dans le contexte de la rentrée scolaire et la décision du ministre de l’Education nationale d’interdire le port de l’abaya au sein des établissements scolaires.

    france3-regions.francetvinfo.fr

  • “Tout a été dégradé” : vitres cassées, aquarium brisé, peinture sur les murs… une école saccagée à Montpellier ; “On avait fait un travail de médiation avec les jeunes du quartier”, se désole la 1ère adjointe au maire

    Publié par Guy de Laferrière le 11 août 2023

    Au vu des dégâts, considérables, la municipalité a décidé de mettre en place un service de surveillance avec des vigiles qui officieront jusqu’à la reprise des cours.

    Depuis quelques jours, l’école primaire Marc-Bloch, sise allée des Hauts-de-Montpellier dans le quartier des Hauts-de-Massane, fait l’objet d’intrusions intempestives et d’actes de vandalisme. Des détériorations gratuites qui ont été constatées, une première fois, ce lundi 7 août par les services de police. Sept classes avaient été visitées, plusieurs portes fracturées, du mobilier renversé et dégradé.

    (…) “Aucun vol n’aurait été commis mais tout a été dégradé à l’intérieur”, se lamente un groupe de parents d’élèves on ne peut plus investi. “Il paraît que dans certaines classes on ne peut même pas marcher tant il y a des débris de partout. Des ordinateurs ont été jetés au sol, tout le mobilier a été renversé et dégradé, des vitres ont été brisées, l’aquarium a été détruit et de la peinture a été jetée sur les murs.”

    “L’alarme a été désactivée et ils ont même cassé l’alarme incendie. Selon ce qu’on nous a dit, ils sont rentrés par effraction dans l’établissement en utilisant un échafaudage mis en place sur le côté de l’école, le temps des travaux de réhabilitation.”

    (…) Une information confirmée par Fanny Dombre-Coste, la première adjoint au maire, déléguée à la Ville éducative et à la réussite scolaire. “On a fait en amont un travail de médiation avec les jeunes du quartier. Mais contrairement à d’autres secteurs, pour Marc-Bloch cela n’a pas été efficace. Dès lors, au vu des dégâts, on va être contraints de mettre en place un service de surveillance avec des vigiles qui officieront la nuit, et ce, jusqu’à la rentrée.”

    Midi Libre via fdesouche

  • Montpellier : un migrant clandestin tunisien agresse au couteau un buraliste, deux jours après être sorti du centre de rétention

    Publié par Guy de Laferrière le 02 août 2023

    Le ressortissant de nationalité tunisienne, en était d’ivresse, s’en était pris à un buraliste du centre-ville et à un cantonnier avant d’être mis en fuite. 

    Ayoub, un Tunisien de 34 ans, n’a pas été jugé ce lundi, comme cela était initialement prévu. Les deux personnes présentées comme ses victimes n’ont pas été avisées de son procès en comparution immédiate et celui-ci a donc été renvoyé.

    Il est reproché à cet homme en situation irrégulière d’avoir été l’auteur de violences avec ou sous la menace d’une arme. 

    Le contrôle d’alcoolémie révèle un taux positif de 0,60 gr, et les vérifications d’identité indiquent que l’intéressé était sorti du centre de rétention administrative de Nîmes, deux jours plus tôt.

    (…) Contrairement aux réquisitions du parquet, Ayoub a été remis en liberté par le tribunal qui a estimé qu’il présentait suffisamment de garanties pour répondre à une nouvelle convocation de la justice.

    Midi Libre via fdesouche