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voile

  • Dans quel état ce Système a-t-il mis la France !

    Publié par Guy de Laferrière le 28 mars 2024

    Dans quel état ce Système a-t-il mis la France ! À Paris, le proviseur du lycée Maurice Ravel a quitté ses fonctions après des menaces de mort ! Il avait simplement demandé à une élève d'ôter son voile pour entrer au lycée : depuis c'est une avalanche d'injures, et maintenant de menaces de mort, sur les réseaux sociaux. En somme, celle qui fait la loi, maintenant, chez nous, c'est l'armée barbare d'invasion islamique, que le Système installe consciencieusement depuis 1975/76 et les scélérats décrets Chirac sur le regroupement familial, qui ne sont rien d'autre que l'invasion programmée de la France; le vol de leur pays aux Français pour le donner à "d'autres"...

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    Source : lafautearousseau

  • Montpellier : un proviseur rend inaccessible un miroir utilisé par des élèves musulmanes pour remettre leur voile, il est victime d’une campagne de haine et de menaces de mort

    Publié par Guy de Laferrière le 09 septembre 2023

    Un tweet provoque la polémique sur internet. Il dénonce la pose de barrières dans le lycée Jean Mermoz à Montpellier. Des barrières rendant inaccessibles le film miroir sur les vitres à l’entrée et qui permettait aux élèves de replacer leur voile en sortant du lycée. Une plainte a été déposée pour menaces de mort.

    Le tweet a été vu plus de 380 000 fois et partagé à 650 reprises. Un post sur le réseau X ( ex-Twitter) dénonçant la pose de barrières devant un film réfléchissant devant lequel les jeunes filles replaçaient leur voile, tchador ou autre abaya dans l’enceinte du Lycée Mermoz a provoqué une vague de réactions sur internet. Des réactions incitant à la haine et à la violence.

    Laïcité

    “Il n’y a pas eu de problème à l’intérieur du lycée”, précise le proviseur du lycée Mermoz, joint au téléphone par France 3 Occitanie. “Nous demandons aux élèves d’enlever le voile à l’extérieur de l’établissement et de le remettre à l’extérieur également. C’est la règle depuis la loi de 2004, interdisant les signes religieux ou ostentatoires dans les établissements scolaires.

    Certaines élèves avaient tendance à se revoiler à l’intérieur en passant devant cette vitre réfléchissante. Pour éviter que cela se reproduise, on a mis des barrières.Proviseur

    Lycée Mermoz Montpellier

    Menaces de mort

    La décision, relayée par un tweet a provoqué une vague de réactions sur la toile et surtout des menaces contre le personnel et en particulier les CPE (conseillers principaux d’éducations) du lycée. Le proviseur a porté plainte jeudi 7 septembre pour “menaces de mort et atteinte aux biens dangereux pour la personne à l’encontre d’un personnel de service public”.

    Contexte sensible

    La veille, le chef d’établissement avait effectué une alerte Pharos, un site internet gouvernemental destiné à signaler des contenus et des comportements en ligne illicites.

    Cette polémique se produit dans le contexte de la rentrée scolaire et la décision du ministre de l’Education nationale d’interdire le port de l’abaya au sein des établissements scolaires.

    france3-regions.francetvinfo.fr

  • Allemagne : la Cour constitutionnelle fédérale limite la loi sur la neutralité religieuse de la région de Berlin. Les professeures pourront enseigner en portant le voile islamique

    Publié par Guy de Laferrière le 06 février 2023

    Auparavant, la Cour fédérale du travail avait déjà rejeté l’interdiction du foulard qui n’avait pas de justification, selon les juges. C’est ce que rapporte le Tagesspiegel. En réponse, la région berlinoise a porté l’affaire devant la Cour constitutionnelle fédérale. Toutefois, les juges de cette juridiction sont arrivés à la même conclusion : l’interdiction du port du foulard est inconstitutionnelle.

    Conséquences

    L’arrêt peut avoir de grandes conséquences pour la loi sur la neutralité de Berlin, écrit le Spiegel. La loi sur la neutralité consiste en l’interdiction du foulard, mais interdit également aux enseignants et autres éducateurs des écoles publiques de Berlin de porter d’autres symboles religieux, tels qu’une croix ou une kippa, lorsqu’ils enseignent.

    La bataille juridique a commencé vers 2020 lorsqu’une femme musulmane a reçu 5 129 euros de compensation après avoir gagné son procès. Elle avait attaqué l’État de Berlin en justice parce qu’on lui avait refusé un emploi dans une école en raison de son foulard.

    Mettre en danger la paix

    La politicienne des Verts Bettina Jarasch, qui est l’actuelle maire de Berlin et sénatrice pour l’environnement, avait annoncé en 2021 que la loi sur la neutralité serait modifiée si la Cour constitutionnelle fédérale confirmait la décision qu’elle a prise en 2015. À l’époque, les juges avaient déclaré que l’interdiction du foulard dans les écoles n’était admissible que si elle mettait en danger la paix dans les établissements.

    Toutefois, la question de savoir si cela se produira dépend de la réélection de la Chambre des représentants de Berlin le 12 février.

    CNE News


    […]

    Lors de la présentation de l’accord de coalition en novembre 2021, la politicienne des Verts Bettina Jarasch, actuellement maire de Berlin et sénatrice de l’environnement, a annoncé que la loi sur la neutralité serait modifiée si la Cour constitutionnelle fédérale confirmait sa décision de 2015.

    A cette époque, Karlsruhe avait décidé que de telles interdictions dans le domaine de l’éducation ne sont autorisées que si la paix scolaire est spécifiquement menacée. L’ accord de coalition stipule: “La coalition adaptera la loi sur la neutralité de Berlin en fonction de la jurisprudence de la Cour constitutionnelle fédérale.”

    Tagesspiegel

  • Caen (14) : Le Coran d’une lycéenne interne aurait été déchiré et son voile jeté à la poubelle. Le parquet a été saisi. L’inspectrice d’académie condamne un “acte intolérable qui prive une élève d’un de ses droits fondamentaux”

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2022

    Coran déchiré, voile à la poubelle : une lycéenne de Caen "choquée mais surtout blessée"

    Une élève de confession musulmane, interne au lycée Jean Rostand de Caen, a été attaquée pour sa religion jeudi 13 octobre 2022. La jeune femme est “blessée” par ces actes mais ni elle, ni sa famille ne veulent porter plainte dans une “démarche d’apaisement”.

    Lorsque la lycéenne pensionnaire de l’internat du lycée Jean Rostand de Caen retourne dans sa chambre ce jeudi 13 octobre 2022, elle retrouve son coran déchiré et son voile dans la poubelle : “elle a été choquée mais surtout blessée par cette attaque qui vise sa religion” nous explique Sébastien Duval-Rocher, proviseur de l’établissement. “Mais heureusement que son intégrité physique n’a pas été atteinte” ajoute-t-il.

    Les faits se sont déroulés dans les murs du lycée où elle est interne. Des actes “violents” qui suscitent l’incompréhension : “j’ai été sidéré par ce qui s’est passé, mes collègues aussi. Nous sommes un lycée habitué à l’ouverture d’esprit et à la tolérance et nous acceptons toutes les confessions. C’est inadmissible qu’un élève vive ça”  lance Sébastien Duval-Rocher. Le chef d’établissement s’est aussi exprimé en interne à travers un e-mail destiné aux élèves et au corps enseignant pour dénoncer “un acte indigne, intolérable, juridiquement condamnable”.

    Le Parquet de Caen a été saisi par la directrice de l’Inspection académique, en vertu de l’article 40 du Code de procédure pénale. Armelle Fellahi, l’inspectrice d’académie dans le Calvados condamne : “cet acte intolérable qui prive une élève d’un de ses droits fondamentaux”.

    De leur côté, la jeune fille de confession musulmane et sa famille ne souhaitent pas s’exprimer et n’ont pour l’instant pas souhaité porter plainte “dans une démarche d’apaisement, ils ne veulent pas que cette histoire prenne plus d’ampleur” nous confie le chef d’établissement.


    L’auteur des faits n’a pas encore été identifié

    S’agit-il d’un acte commis par un élève ? “Nous n’avons pas encore identifié l’auteur des faits mais c’est forcément quelqu’un au sein du lycée qui a fait ça” selon Sébastien Duval-Rocher. Et le proviseur espère trouver “le coupable” pour avant tout “discuter, comprendre et surtout mener avec l’individu en question tout un travail autour des questions sur la tolérance“.

    Aborder cet événement, échanger sur la tolérance avec les élèves et les sensibiliser, c’est en effet l’objectif du lycée Jean Rostand. Toute la semaine prochaine, des enseignants interviendront en cours d’histoire-géographie, de philosophie et d’enseignement moral et civique dans le cadre de « la semaine de la liberté d’expression ». Une semaine d’hommage à Samuel Paty, ce professeur d’histoire-géographie au lycée de Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines, qui est mort sous les coups d’un fou de dieu il y a deux ans. 

    france3-regions.francetvinfo.fr via fdesouche

  • Professeur dans un centre de formation d’apprentis, Pascal L. témoigne avoir été viré, menacé de poursuites et traité de “raciste” pour avoir signalé que la présence d’élèves voilées le gênait

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2022

    Professeur dans un centre de formation pour adultes privé, Pascal L. a été viré, menacé de poursuites et traité de “raciste” pour avoir voulu discuter des règles de laïcité avec sa direction après avoir constaté la présence d’élèves voilées dans sa classe. Valeurs actuelles s’est procuré un enregistrement sonore. Récit.

    Depuis plus de dix ans qu’il travaille dans l’enseignement, Pascal L., 42 ans, n’avait jamais été confronté à une décision si brutale. Ni jamais été traité de « raciste ». Aujourd’hui encore, plusieurs mois après les faits, il s’interroge sur ces évènements, non sans une certaine crainte vis-à-vis des conséquences qu’ils pourraient avoir. Lorsque nous le rencontrons, courant avril, dans un café parisien, il semble à la fois résigné sur son sort et déterminé à faire connaître l’injustice dont il dit avoir été victime. Il a bien consulté un avocat, mais celui-ci lui a déconseillé d’enclencher une procédure. La justice ne peut rien pour lui. Les médias pourraient-ils faire quelque chose ? Il s’interroge.

    L’affaire débute en octobre 2021, au centre de formation d’apprentis (CFA) Enfances et Compétences, structure parisienne privée appartenant au réseau de crèches La Maison Kangourou. Plusieurs classes d’adultes, essentiellement de jeunes femmes, sont formés chaque année dans ce CFA pour apprendre les métiers de « la petite enfance » (employée de crèche, assistante maternelle, garde d’enfant…) et obtenir un CAP. Pascal L. y est enseignant depuis 2018, via un « CDD d’usage », renouvelé chaque année. Vendredi 15 octobre 2021, jour de la rentrée pour le CFA, il donne son premier cours d’histoire-géographie (matière qui comprend l’éducation civique et donc la laïcité) et découvre qu’une de ses élèves est couverte d’un « tchador », un ample voile islamique qui couvre la tête, le cou et les épaules.

    En plus de dix ans d’enseignement, affirme le professeur, c’est la première fois qu’il est confronté à un signe religieux ostentatoire. Il est d’ailleurs convaincu que ces signes sont interdits par le règlement du CFA, à l’instar des écoles publiques, comme le montre les SMS échangés par la suite avec la directrice. Coïncidence, ce 15 octobre est aussi le jour d’hommage à Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie assassiné par un musulman radicalisé après un cours d’enseignement civique.

    (…) Valeurs via fdesouche