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allemagne

  • Allemagne : chute du gouvernement « feu tricolore » de Scholz

    Publié par Guy de Laferrière le 07 novembre 2024

    Chute de la coalition "feu tricolore"  avec le chancelier Scholz à sa tête
    Chute de la coalition « feu tricolore » avec le chancelier Scholz à sa tête

    Chaos en Allemagne : entre les politiques rouge-écolo des khmers verts du gouvernement, la guerre en Ukraine qui entraine un désastre économique, les diktats d’Ursula de l’UE, la coalition « feu tricolore » se délite. La chute d’Olaf Scholz, homme lige d’Ursula et de Washington, est annoncée.

    L’Allemagne est au bord de la récession

    L’Allemagne entre dans le chaos entre crise gouvernementale et croissance zéro. Le sort de la coalition dénommée « feu tricolore » ((la coalition est appelée « feu tricolore », en raison aux trois couleurs associées aux trois partis) composée des sociaux-démocrates, des Verts et des libéraux ne tient plus après des mois de disputes sur l’économie et le budget. L’Allemagne est au bord de la récession, et la situation ne fait que s’aggraver, en grande partie à cause des politiques rouge-écolo des khmers verts du gouvernement, de la guerre en Ukraine qui entraine un désastre économique, et des diktats d’Ursula de l’UE.

    Le chancelier allemand Olaf Scholz a ainsi limogé le ministre des Finances, Christian Lindner, un libéral, en raison de désaccords sur les réformes économiques, ouvrant ainsi une crise gouvernementale en Allemagne. L’exécutif allemand est en fait constitué d’une coalition de trois partis, les sociaux-démocrates (SPD) de Scholz, les Verts et les libéraux FDP, dont le leader est Lindner lui-même. En réponse au limogeage de Lindler, le FDP retire désormais tous ses ministres du gouvernement fédéral, qui sont : Volker Wissing, ministre des Transports, Bettina Stark-Watzinger, ministre de l’Éducation, et Marco Buschmann, ministre de la Justice.

    La crise gouvernementale s’ouvre et le budget 2025 pourrait ne pas être voté

    Sans le soutien des libéraux-démocrates, le gouvernement Scholz ne disposera pas de majorité au Parlement pour voter le budget 2025. Théoriquement, Scholz pourrait rester à la tête d’un gouvernement minoritaire ; mais il sera difficilement en mesure d’approuver la prochaine loi budgétaire et d’autres mesures importantes. On ne sait pas encore si des élections anticipées seront convoquées ; ou si Scholz parviendra à trouver le soutien d’autres partis actuellement en dehors de la majorité, comme il semble vouloir le faire.

    En effet, en pleine crise gouvernementale, le chancelier s’est tourné vers le leader de l’opposition CDU, Friedrich Merz, pour rechercher rapidement des solutions communes. « Je vais maintenant rechercher très rapidement un dialogue avec le chef de l’opposition Friedrich Merz », a déclaré Scholz. Qui a déclaré vouloir offrir au leader de la CDU l’opportunité de travailler ensemble de manière constructive sur des questions « qui sont cruciales pour notre pays : le renforcement rapide de notre économie et de notre défense ». « Et maintenant, nous avons besoin de clarté sur la manière dont nous pouvons financer solidement notre sécurité et notre défense dans les années à venir sans mettre en danger la cohésion du pays », a déclaré Scholz qui s’accroche au pouvoir, soulignant qu’« il s’agit de prendre la décision que notre pays en a besoin maintenant. Je vais essayer de dialoguer à ce sujet avec l’opposition responsable ».

    Il est possible que Scholz veuille demander à Merz de soutenir son gouvernement d’une manière ou d’une autre au moins jusqu’à la fin de l’année : afin d’approuver les principales mesures économiques pour 2025. Scholz a en effet annoncé qu’il avait l’intention de demander un vote de confiance au Parlement le 15 janvier. Et donc, au moins jusque-là, il souhaite rester au gouvernement.

    Scholz en désaccord avec les libéraux depuis des mois

    Le limogeage de Lindner a été annoncé à l’issue d’une réunion entre les dirigeants des trois partis majoritaires. Ils étaient censés discuter des grands problèmes de l’économie allemande et de la manière de trouver environ 10 milliards d’euros nécessaires pour financer le budget de l’année prochaine. Depuis des jours, il était clair que la majorité de la coalition « feu tricolores » restait bloquée sur les mesures à mettre en œuvre.

    Selon des sources de journaux allemands, Lindner aurait proposé à Scholz de convoquer des élections anticipées. Ce dernier aurait rejeté la proposition, le licenciant. Il n’y a pas de place pour une réconciliation pour le moment. Après la réunion, Scholz a tenu une conférence de presse au cours de laquelle il a accusé Lindner de se soucier uniquement de la survie de son parti, sans se soucier du bien du gouvernement.

    L’inévitable fracture entre libéraux et socialistes

    Après Scholz, les dirigeants des Verts au sein du gouvernement se sont également exprimés devant la presse : Robert Habeck (ministre de l’Économie) et Annalena Baerbock (ministre des Affaires étrangères). Ils ont déclaré qu’ils souhaitaient rester dans la coalition gouvernementale et estiment que de nouvelles élections sont nécessaires au printemps. Scholz est chancelier depuis décembre 2021, et donc l’expiration naturelle de son mandat serait fin 2025 (les chanceliers restent en fonction pendant 4 ans).

    Il est à la tête d’un gouvernement qui a été très difficile à former dès le départ : un accord n’a été trouvé qu’au bout de quelques mois et les programmes des trois partis majoritaires ont immédiatement semblé très différents. Scholz est de plus en plus impopulaire depuis un certain temps, il a essuyé diverses défaites locales et ces dernières semaines les problèmes de l’économie allemande ont aggravé sa situation, à tel point qu’une crise ou une chute de son gouvernement était considérée comme probable depuis plusieurs jours.

    Depuis le début c’était la coalition des perdants. Dont la chute était annoncée d’avance. Peu pleureront Olaf Scholz, homme-lige d’Ursula et de Washington, à la politique si contraire aux intérêts allemands.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Chez nos ennemis allemands (comme chez les Anglois...), le mal est encore plus avancé que chez nous ! 

    Publié par Guy de Laferrière le 30 octobre 2024

    Chez nos ennemis allemands (comme chez les Anglois...), le mal est encore plus avancé que chez nous ! "Chose" vue à Dortmund :

     "Intégrez-vous, femme blanche ! Ce n’est plus votre pays et il ne le sera plus jamais. Habillez-vous dans le respect des autres cultures et soyez conscient des sentiments religieux des minorités discriminés"

    Image

    Réponse possible : apprenez l'Histoire, femmes musulmanes (et hommes aussi, tant qu'on y est...) Et cherchez le chapitre sur Charles Martel, Poitiers, 732...

     

    Source : lafautearousseau

  • Allemagne : instauration d’un califat.

    Publié par Guy de Laferrière le 15 octobre 2024

    lafautearousseau

    Dans Le JDD : Allemagne : plus de 2.000 islamistes manifestent à Hambourg pour demander l’instauration d’un califat. Le groupe islamiste Muslim Interaktiv a organisé samedi une mobilisation dans la ville allemande de Hambourg afin d’appeler à la création d’un califat. Des manifestations similaires avaient soulevé une vague d’indignation outre-Rhin au printemps dernier...

    https://www.lejdd.fr/international/allemagne-plus-de-2-000-islamistes-manifestent-hambourg-pour-demander-linstauration-dun-califat-150557

    IL N'Y AURA PAS D'AUTRE SOLUTION :

    TÔT OU TARD,  LE CORPS ÉTRANGER QU'EST L'ISLAM/CHARIA,

    GREFFÉ DE FORCE SUR LE CORPS EUROPÉEN,

    SERA EXPULSÉ PAR CE MÊME CORPS...

    COMME L'A FAIT LE ROI D'ESPAGNE,

    PHILIPPE III EN 1609,

    AVEC L'EXPULSION GÉNÉRALE DES MORISQUES...

  • Cet article existe

    Publié par Guy de Laferrière le 26 août 2024

    Cet article existe

    Il est accessible ici.

    Plutôt que d’interdire les couteaux, il serait sans doute plus facile d’interdire la circulation de certaines personnes…

    Quelques heures après une revendication par l’Etat islamique, un Syrien de 26 ans s’est rendu dimanche matin et a avoué son acte aux autorités.

     

    Source : lesalonbeige

  • Genderofolie en Allemagne : changement de sexe possible une fois par an

    Publié par Guy de Laferrière le 17 avril 2024

    Deux députés transsexuels élus au parlement allemand, Tessa Ganserer et Nyke Slawik
    Deux députés transsexuels élus au parlement allemand, Tessa Ganserer et Nyke Slawik

    La coalition centre-gauche-Vert allemande n’aime pas la nature, la vraie, mais le progressisme contre-nature : 374 députés, principalement des partis de la coalition au pouvoir, ont voté pour le soi-disant « acte d’autodétermination » au Bundestag. Ainsi, à partir du 1er novembre 2024, les citoyens pourront changer de sexe tous les douze mois, par simple déclaration orale.

    Les députés allemands n’ont vraiment pas de considération pour les fonctionnaires des services d’Etat Civil : en votant à une large majorité, -374 pour, 251 voix étaient contre, 11 abstentions-, pour le soi-disant « acte d’auto-détermination » au Bundestag, ils permettent aux citoyens à partir du 1er novembre 2024, les citoyens pourront changer de sexe tous les douze mois, par simple déclaration orale.

    La loi d’autodétermination de genre : les citoyens allemands pourront changer de sexe tous les douze mois, par simple déclaration orale

    Trêve de plaisanterie, qui d’ailleurs n’en est pas une, vendredi dernier le parlement allemand s’est prononcé en faveur du projet de loi controversé, qui concerne principalement la simplification du processus de changement de nom et de mention de sexe. Le Bundestag, la chambre basse du parlement allemand, a voté majoritairement pour la loi d’autodétermination de genre (Selbstbestimmungsgesetz), relatent, entre autres, le Tagesschau et le Stern. La loi entrera en vigueur le 1er novembre 2024.

    Cette loi arc-en-ciel vise principalement à faciliter la procédure administrative pour changer de mention de sexe et de nom. Cette loi remplacerait le Transsexuellengesetz, la loi sur les transsexuels, qui considère de facto la transidentité comme un trouble psychique.

    Jusqu’à présent, les personnes voulant changer de sexe devaient fournir un certificat médical et passer devant un tribunal afin d’expliquer leur décision. Cela sera rendu caduque à partir de la mise en vigueur de la loi d’autodétermination.

    Désormais, ce changement sera aussi facile que de mettre une lettre à la poste : il suffira de faire une déclaration à l’état civil pour modifier la mention de sexe ou son nom. La nouvelle loi inclut également les personnes non-binaires, ainsi que, partiellement, les personnes mineures à partir de 14 ans. Selon, la ministre de la famille Lisa Paus, 14 ans serait l’âge approprié pour choisir son sexe et son prénom car c’est l’âge à partir duquel on pourrait choisir sa religion : « C’est donc simplement conforme à la logique de la législation allemande ».

    Les féministes s’opposent à cette loi : après avoir dévirilisé l’homme, elles le voient revenir… déguisé en femme mais légalement reconnu comme tel

    Le délégué ministériel chargé des droits LGBTQIA+ Sven Lehmann, du parti des Verts, assure que cette loi constituera un soulagement massif pour les personnes concernées. Selon lui, cette loi va « faciliter et améliorer considérablement la vie des personnes transgenres, intersexuées et non-binaires », relate-t-il au Redaktionsnetzwerk Deutschland. Selon lui, « la loi sur les transsexuels porte atteinte à la dignité humaine ».

    Cette folie dictée par la culture woke, synonyme de déconstruction, destruction, qui met à mal un peu plus les familles et la société, ne fait pas l’unanimité en Allemagne.

    Etonnement, et excepté les personnes de bon sens, et il y en a encore en Allemagne, c’est un autre courant idéologique ‘minoritaire’, celui des féministes, qui s’oppose à cette loi qui permettra, par exemple, à des hommes ‘transgenres’ de concourir dans des compétitions féminines. C’est un triste retour de bâton pour les plus radicales de ces féministes, qui imposèrent à une époque pas si éloignée, leur diktat sociétal de dévirilisation de la société, d’annulation de la masculinité, de discrimination positive en faveur des femmes, de famille matriarcale, d’invisibilisation des hommes… N’ayant plus leur place, certains hommes que la société féministe a rendu honteux d’être homme croient qu’être femme leur permettra de retrouver une digne place dans la société.

    Le quotidien Bild a ainsi écrit : le 12 avril 2024 est « le jour le plus noir pour les femmes de l’histoire allemande d’après-guerre ». Des décennies de lutte pour les droits des femmes, des espaces sûrs et l’égalité des droits seraient « effacées d’un seul coup », indique le commentaire. « C’est la victoire ultime des hommes sur les femmes. » Car : « Quand les hommes définissent ce qui constitue être une femme et peuvent se déclarer femmes par des actes de parole, s’appropriant leurs droits et leurs espaces de protection, c’est exactement ce dont il s’agit. » Et de conclure : Les quotas pour les femmes sont désormais « abolis de facto ».

    Bientôt l’auto-détermination de son espèces animale ?

    Mais cette loi permettra aussi bien pire que d’abolir des quotas artificiels : « Obliger les femmes à partager leurs espaces sûrs, comme les vestiaires, avec des personnes qui se sont déclarées femmes mais ne veulent pas renoncer à leur barbe et à leur pénis. Forcer ensuite les femmes à percevoir les hommes comme des femmes dans leur vestiaire. Ce n’est rien d’autre qu’une soumission » souligne Bild.

    L’idéologie du genre est plus qu’une folie : c’est un danger, non pour les femmes uniquement, mais pour l’ensemble de la société. Et les députés progressistes allemands sont des criminels. On peut d’ailleurs se demander combien de temps leur faudra-t-il pour voter pour l’auto-détermination de son espèce animale. Ce sera juste un plus compliqué de changer d’état civil en aboyant ou miaulant… mais bon, dans un monde de fou, un peu plus ou moins de folie n’est pas un critère pris en considération.

    On comprend, à la lecture de telle nouvelle, pourquoi la Russie est si acharnée à rejeter la folie occidentale et à préserver ses valeurs traditionnelles. Car ce n’est pas qu’uniquement l’intelligence qui est en péril de mort aujourd’hui, c’est l’Occident tout entier.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info