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  • L’horreur en Allemagne : un Afghan poignarde des enfants

    Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2025

    Auteur : 

    L’horreur en Allemagne : un Afghan poignarde des enfants
    L’horreur en Allemagne : un Afghan poignarde des enfants

    Allemagne : un Afghan de 28 ans a attaqué un groupe de maternelle avec un couteau dans la ville d’Aschaffenburg en Bavière. Il y a eu des morts et des blessés graves dans le parc Schöntal, au centre-ville.

    Une autre attaque au couteau, une autre…

    Dans un parc de la ville allemande d’Aschaffenburg en Bavière, le parc Schöntal, en plein centre-ville, un Afghan de 28 ans a poignardé, il y a deux jours, un groupe d’enfants de maternelle en sortie. Deux personnes sont mortes ! Selon les informations du journal Bild, les victimes sont un homme de 41 ans et un garçon de 2 ans. Par ailleurs, « deux personnes grièvement blessées sont soignées à l’hôpital », selon la police. Parmi les blessés graves, il y aurait également un enfant.

    Selon les enquêteurs, un homme a été interpellé. L’auteur présumé serait un Afghan de 28 ans qui, toujours selon les informations de Bild, « aurait développé des problèmes psychologiques dans le passé ». Comme le rapporte Der Spiegel, l’homme arrêté s’appelle Enamullah O. et vit dans un centre d’asile. Il n’y a pas d’autres suspects. Les enquêteurs avaient précédemment parlé sur « X » de deux arrestations préliminaires. Ils ont ensuite corrigé cela : la deuxième personne était un témoin qui était interrogé.

    Le suspect avait été signalé au moins à trois reprises pour des actes violents

    Selon les autorités, le suspect avait été signalé au moins à trois reprises pour des actes violents ayant donné lieu à un traitement psychiatrique. Dans un message sur X, le chancelier Scholz a dénoncé « une tolérance mal comprise » envers des agresseurs « qui sont venus chez nous pour y trouver une protection ». Rappelons que le chancelier démissionnaire Scholz est en pleine campagne électorale, ce qui explique sans doute ce commentaire ferme, à l’opposé de la politique immigrationniste qu’il a soutenu pendant son mandat…

    Entré en Allemagne à la fin de 2022, le suspect avait demandé l’asile au début de 2023. La procédure était encore en cours quand, le 4 décembre, il avait annoncé vouloir retourner en Afghanistan et s’occuper des formalités nécessaires. Le 11 décembre, l’Office fédéral des migrations et des réfugiés (BAMF) lui a « indiqué la suspension de la procédure de demande d’asile » et l’a « invité à quitter le pays ».

    Plusieurs policiers bénéficient d’un soutien psychologique en raison de l’horreur de la scène de crime

    Selon la police, les circonstances restent floues. La circulation des trains à la gare du Sud a été interrompue car le suspect aurait tenté de s’enfuir en traversant la voie ferrée.

    Le parc Schöntal, qui s’étend sur neuf hectares, a été en grande partie bouclé. Selon un porte-parole de la police, il n’y a aucun danger pour la population. En novembre dernier, la police avait classé certaines parties du parc comme « endroit dangereux ». Selon le chef de la police Frank Eckhardt, pour vol et coups et blessures dans le milieu de la drogue. Il y a toujours des patrouilles à pied dans le parc, cela pourrait être une des raisons pour lesquelles une arrestation a été effectuée si rapidement.

    Plusieurs policiers bénéficient d’un soutien psychologique en raison de l’horreur de la scène de crime, rapportent les médias locaux.

    L’Allemagne, comme la Grande-Bretagne, comme la France, s’enfonce dans une insécurité « au couteau » qui se banalise tellement elle est récurrente. Tout aussi banalement, les « de souche » n’en sont pas responsables…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Ronchin (59) : Hélana, une étudiante de 19 ans, tuée à coups de couteau par un Afghan de 23 ans, qui était son petit-ami (MàJ : Le suspect mis en examen et incarcéré en unité hospitalière)

    Publié par Guy de Laferrière le 29 novembre 2022

    29/11/22

    L’homme suspecté d’avoir tué Hélana, sa compagne de 19 ans, à Ronchin (Nord) début novembre, a été mis en examen et incarcéré en unité hospitalière.

    (…) Dimanche, quelque 200 personnes, munies de roses blanches, ballons blancs, et t-shirts floqués du visage souriant d’Hélana, ont marché en silence en son hommage, entre l’hôtel de ville de Villeneuve d’Ascq et l’immeuble où elle vivait avec ses parents.

    Son petit ami, «je le connaissais», «on n’aurait jamais cru» qu’il pouvait être violent, a-t-il confié. «Trois heures avant (les faits), j’étais au bowling avec eux, ça se passait bien», a-t-il raconté. Hélana est ensuite allée passer la soirée chez lui.

    Cnews


    16/11/22

    RÉCIT – Cette jeune femme a été tuée à coups de couteau, mercredi 9 novembre, à Ronchin dans le Nord. Le suspect, un Afghan de 23 ans, est actuellement hospitalisé. Le père d’Hélana a accepté de se confier au Figaro.

    «Elle aimait rire, elle aimait tout, elle aimait la vie», confie David. Sa fille de 19 ans, Hélana, a été tuée à coups de couteau par son petit ami, mercredi 9 novembre, à Ronchin dans le Nord. Son autopsie a eu lieu lundi 14 novembre et ses obsèques se tiendront en début de semaine prochaine, à une date qui reste à confirmer, poursuit son père.

    Étudiante en deuxième année à l’École nationale supérieure d’architecture et de paysage de Lille, située à Villeneuve-d’Ascq, la jeune femme vivait entre les domiciles de ses deux parents. «Elle était un peu électron libre, elle était soit chez moi soit chez sa mère. Elle avait un grand bureau chez l’un comme chez l’autre», détaille David. Assez casanière, Hélana avait une priorité : ses études. «Elle n’allait jamais en boîte de nuit. Quand elle sortait de l’école, elle rentrait faire ses devoirs. Elle se voyait plus dans le paysagisme que dans l’architecture et me disait : ”Papa, j’en ai encore pour cinq ans”», poursuit David.

    (…) Depuis environ deux ans, Hélana fréquentait un jeune homme – son premier petit copain -, rencontré dans son ancien lycée privé professionnel. Ce jeune Afghan de 23 ans, arrivé seul en France lorsqu’il était adolescent, a appris le français puis suivi une formation de plombier chauffagiste, avant d’obtenir un CDI. «Je l’ai croisé une bonne vingtaine de fois, notamment quand il passait le week-end avec ma fille chez sa maman. Il est même venu dans la Somme pour un repas de famille», poursuit David.

    (…) Le jour du meurtre, David fait une partie de bowling avec sa fille et son petit ami. «On a fini à 18h30. Hélana m’a ensuite demandé si elle pouvait aller dormir chez lui. Tout semblait normal», poursuit David. Trois heures plus tard, vers 21h50, il reçoit un appel d’Hélana. À l’autre bout du fil, «un bruit, une respiration, un frottement», décrit-il. Sans doute le dernier souffle de sa fille.

    David rappelle le petit ami dans la foulée. «Elle est morte, j’ai tué ta fille, j’ai tué ta fille», répète le jeune Afghan. «C’était le vide, je ne me rappelais même plus de l’adresse», explique David.

    La maman de la jeune femme, anéantie, partageait une publication sur Facebook en hommage à la petite Lola, elle aussi originaire du Nord, il y a encore quelques jours. Pourquoi un tel déchaînement de violences ?

    Le Figaro


    10/11/22

    L’auteur présumé est un homme de 23 ans d’origine ou de nationalité afghane.

    (…) «A priori, ni l’origine ni la pratique religieuse du suspect ne sont en jeu», les deux jeunes gens entretenaient ou avaient entretenu une relation, a précisé une des sources policières. La victime avait appelé son père indiquant se rendre au domicile de son petit ami pour récupérer des affaires. Sans nouvelles, son père l’avait rappelée pour tomber sur le jeune homme, qui lui avait dit avoir tué sa fille.

    À l’arrivée de la police, l’auteur présumé a ouvert la porte maculé de sang. Il était jeudi matin en garde à vue.

    Le Figaro

  • Manosque (04) : une jeune fille frappée et martyrisée par le compagnon afghan de sa mère

    Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2022

    « Venez vite, il frappe ma mère », enjoint la jeune fille de 14 ans qui vient d’appeler le 17. Le 10 mai dernier, vers 20 heures, les policiers manosquins qui interviennent au domicile de cette famille recomposée découvrent le compagnon de la mère fortement alcoolisé. Il sera dépisté avec 1,6 g d’alcool par litre de sang, avec une bombe lacrymogène dans sa poche.

    La jeune fille se plaindra d’avoir elle aussi été victime du trentenaire, ressortissant afghan réfugié en France depuis 2017 et déjà condamné par trois fois pour violences. Elle expliquera avoir été frappé avec un casque alors qu’elle tentait de s’interposer, ce dont témoignera un examen médical constatant de multiples ecchymoses sur les bras. « Elle vit dans le mensonge. Elle fait toujours des histoires » affirmera sobrement la mère, reconnaissant des disputes mais niant tout fait de violences.

    Pourtant l’adolescente désormais placée en famille d’accueil montrera aux policiers des photos prises avec son téléphone portable, où l’on voit sa mère arborant un œil au beurre noir. « Si je n’avais pas appelé la police ma mère serait morte. Il l’avait tiré par les cheveux et jeté par terre ». Elle dira qu’il la menaçait avec un couteau… !

    (…)

    Haute-Provence Info via fdesouche

  • Elles se réveillent avec un inconnu dans leur lit à Caen : un Afghan condamné pour agression sexuelle

    Publié par Guy Jovelin le 28 juin 2022

    Elles se réveillent avec un inconnu dans leur lit à Caen : un homme condamné pour agression sexuelle

    Mardi 28 juin, le tribunal judiciaire de Caen a jugé un Afghan de 24 ans pour des agressions sexuelles et des vols. Il entrait chez ses victimes en pleine nuit, rue Caponière, à Caen. Il a écopé de deux ans de prison.

    (…)

    Mohammad Mayar est condamné à deux ans de prison ferme, assortis d’un suivi socio-judiciaire pendant trois ans, d’une injonction de soins psychologiques et toxicologiques, d’une interdiction de territoire français pendant dix ans et d’une inscription au fichier des délinquants sexuels. Il est maintenu en détention.

    www.ouest-france.fr via fdesouche

  • Châtellerault (86) : l’impossible expulsion d’un Afghan condamné pour apologie du terrorisme

    Publié par Guy Jovelin le 03 février 2022

    Qui est-il vraiment ? L’identité de l’homme présent dans le box du tribunal correctionnel de Poitiers ce mercredi n’est pas certaine. Il en donne une autre que celle figurant dans la procédure à l’interprète en persan.

    Cet Afghan supposé avoir tout juste 28 ans se voit reprocher de ne pas être allé pointer au commissariat de Châtellerault alors qu’il était assigné à résidence dans un hôtel de la ville où il a commis des dégradations dans sa chambre lundi dernier.

    Le jeune homme, condamné pour apologie du terrorisme alors qu’il se trouvait dans un centre d’hébergement d’urgence de Poitiers en novembre 2020, venait de ressortir de prison fin décembre.

    La préfecture de la Vienne l’avait assigné à résidence, le temps d’organiser son expulsion, la justice ayant prononcé une interdiction définitive du territoire. Il avait respecté ses obligations de pointage jusqu’au milieu de semaine dernière où son comportement poli et discret avait brusquement changé.
    Il s’était renfermé sur lui, fréquentant plus souvent la mosquée tout en évoquant son désir de revoir sa famille.

    (…) Les liaisons aériennes étant coupées avec l’Afghanistan, aucune date de retour n’est envisagée, la situation est bloquée et l’assigné à résidence ne veut plus de cette détention qui ne dit pas son nom.

    La Nouvelle République via fdesouche