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afghan

  • Ronchin (59) : Hélana, une étudiante de 19 ans, tuée à coups de couteau par un Afghan de 23 ans, qui était son petit-ami (MàJ : Le suspect mis en examen et incarcéré en unité hospitalière)

    Publié par Guy de Laferrière le 29 novembre 2022

    29/11/22

    L’homme suspecté d’avoir tué Hélana, sa compagne de 19 ans, à Ronchin (Nord) début novembre, a été mis en examen et incarcéré en unité hospitalière.

    (…) Dimanche, quelque 200 personnes, munies de roses blanches, ballons blancs, et t-shirts floqués du visage souriant d’Hélana, ont marché en silence en son hommage, entre l’hôtel de ville de Villeneuve d’Ascq et l’immeuble où elle vivait avec ses parents.

    Son petit ami, «je le connaissais», «on n’aurait jamais cru» qu’il pouvait être violent, a-t-il confié. «Trois heures avant (les faits), j’étais au bowling avec eux, ça se passait bien», a-t-il raconté. Hélana est ensuite allée passer la soirée chez lui.

    Cnews


    16/11/22

    RÉCIT – Cette jeune femme a été tuée à coups de couteau, mercredi 9 novembre, à Ronchin dans le Nord. Le suspect, un Afghan de 23 ans, est actuellement hospitalisé. Le père d’Hélana a accepté de se confier au Figaro.

    «Elle aimait rire, elle aimait tout, elle aimait la vie», confie David. Sa fille de 19 ans, Hélana, a été tuée à coups de couteau par son petit ami, mercredi 9 novembre, à Ronchin dans le Nord. Son autopsie a eu lieu lundi 14 novembre et ses obsèques se tiendront en début de semaine prochaine, à une date qui reste à confirmer, poursuit son père.

    Étudiante en deuxième année à l’École nationale supérieure d’architecture et de paysage de Lille, située à Villeneuve-d’Ascq, la jeune femme vivait entre les domiciles de ses deux parents. «Elle était un peu électron libre, elle était soit chez moi soit chez sa mère. Elle avait un grand bureau chez l’un comme chez l’autre», détaille David. Assez casanière, Hélana avait une priorité : ses études. «Elle n’allait jamais en boîte de nuit. Quand elle sortait de l’école, elle rentrait faire ses devoirs. Elle se voyait plus dans le paysagisme que dans l’architecture et me disait : ”Papa, j’en ai encore pour cinq ans”», poursuit David.

    (…) Depuis environ deux ans, Hélana fréquentait un jeune homme – son premier petit copain -, rencontré dans son ancien lycée privé professionnel. Ce jeune Afghan de 23 ans, arrivé seul en France lorsqu’il était adolescent, a appris le français puis suivi une formation de plombier chauffagiste, avant d’obtenir un CDI. «Je l’ai croisé une bonne vingtaine de fois, notamment quand il passait le week-end avec ma fille chez sa maman. Il est même venu dans la Somme pour un repas de famille», poursuit David.

    (…) Le jour du meurtre, David fait une partie de bowling avec sa fille et son petit ami. «On a fini à 18h30. Hélana m’a ensuite demandé si elle pouvait aller dormir chez lui. Tout semblait normal», poursuit David. Trois heures plus tard, vers 21h50, il reçoit un appel d’Hélana. À l’autre bout du fil, «un bruit, une respiration, un frottement», décrit-il. Sans doute le dernier souffle de sa fille.

    David rappelle le petit ami dans la foulée. «Elle est morte, j’ai tué ta fille, j’ai tué ta fille», répète le jeune Afghan. «C’était le vide, je ne me rappelais même plus de l’adresse», explique David.

    La maman de la jeune femme, anéantie, partageait une publication sur Facebook en hommage à la petite Lola, elle aussi originaire du Nord, il y a encore quelques jours. Pourquoi un tel déchaînement de violences ?

    Le Figaro


    10/11/22

    L’auteur présumé est un homme de 23 ans d’origine ou de nationalité afghane.

    (…) «A priori, ni l’origine ni la pratique religieuse du suspect ne sont en jeu», les deux jeunes gens entretenaient ou avaient entretenu une relation, a précisé une des sources policières. La victime avait appelé son père indiquant se rendre au domicile de son petit ami pour récupérer des affaires. Sans nouvelles, son père l’avait rappelée pour tomber sur le jeune homme, qui lui avait dit avoir tué sa fille.

    À l’arrivée de la police, l’auteur présumé a ouvert la porte maculé de sang. Il était jeudi matin en garde à vue.

    Le Figaro

  • Manosque (04) : une jeune fille frappée et martyrisée par le compagnon afghan de sa mère

    Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2022

    « Venez vite, il frappe ma mère », enjoint la jeune fille de 14 ans qui vient d’appeler le 17. Le 10 mai dernier, vers 20 heures, les policiers manosquins qui interviennent au domicile de cette famille recomposée découvrent le compagnon de la mère fortement alcoolisé. Il sera dépisté avec 1,6 g d’alcool par litre de sang, avec une bombe lacrymogène dans sa poche.

    La jeune fille se plaindra d’avoir elle aussi été victime du trentenaire, ressortissant afghan réfugié en France depuis 2017 et déjà condamné par trois fois pour violences. Elle expliquera avoir été frappé avec un casque alors qu’elle tentait de s’interposer, ce dont témoignera un examen médical constatant de multiples ecchymoses sur les bras. « Elle vit dans le mensonge. Elle fait toujours des histoires » affirmera sobrement la mère, reconnaissant des disputes mais niant tout fait de violences.

    Pourtant l’adolescente désormais placée en famille d’accueil montrera aux policiers des photos prises avec son téléphone portable, où l’on voit sa mère arborant un œil au beurre noir. « Si je n’avais pas appelé la police ma mère serait morte. Il l’avait tiré par les cheveux et jeté par terre ». Elle dira qu’il la menaçait avec un couteau… !

    (…)

    Haute-Provence Info via fdesouche

  • Elles se réveillent avec un inconnu dans leur lit à Caen : un Afghan condamné pour agression sexuelle

    Publié par Guy Jovelin le 28 juin 2022

    Elles se réveillent avec un inconnu dans leur lit à Caen : un homme condamné pour agression sexuelle

    Mardi 28 juin, le tribunal judiciaire de Caen a jugé un Afghan de 24 ans pour des agressions sexuelles et des vols. Il entrait chez ses victimes en pleine nuit, rue Caponière, à Caen. Il a écopé de deux ans de prison.

    (…)

    Mohammad Mayar est condamné à deux ans de prison ferme, assortis d’un suivi socio-judiciaire pendant trois ans, d’une injonction de soins psychologiques et toxicologiques, d’une interdiction de territoire français pendant dix ans et d’une inscription au fichier des délinquants sexuels. Il est maintenu en détention.

    www.ouest-france.fr via fdesouche

  • Châtellerault (86) : l’impossible expulsion d’un Afghan condamné pour apologie du terrorisme

    Publié par Guy Jovelin le 03 février 2022

    Qui est-il vraiment ? L’identité de l’homme présent dans le box du tribunal correctionnel de Poitiers ce mercredi n’est pas certaine. Il en donne une autre que celle figurant dans la procédure à l’interprète en persan.

    Cet Afghan supposé avoir tout juste 28 ans se voit reprocher de ne pas être allé pointer au commissariat de Châtellerault alors qu’il était assigné à résidence dans un hôtel de la ville où il a commis des dégradations dans sa chambre lundi dernier.

    Le jeune homme, condamné pour apologie du terrorisme alors qu’il se trouvait dans un centre d’hébergement d’urgence de Poitiers en novembre 2020, venait de ressortir de prison fin décembre.

    La préfecture de la Vienne l’avait assigné à résidence, le temps d’organiser son expulsion, la justice ayant prononcé une interdiction définitive du territoire. Il avait respecté ses obligations de pointage jusqu’au milieu de semaine dernière où son comportement poli et discret avait brusquement changé.
    Il s’était renfermé sur lui, fréquentant plus souvent la mosquée tout en évoquant son désir de revoir sa famille.

    (…) Les liaisons aériennes étant coupées avec l’Afghanistan, aucune date de retour n’est envisagée, la situation est bloquée et l’assigné à résidence ne veut plus de cette détention qui ne dit pas son nom.

    La Nouvelle République via fdesouche

  • Pau : Un Afghan menace de mort les salariés du centre pour demandeurs d’asile d’Isard Cos. En février dernier, un employé de ce même centre avait été égorgé par un Soudanais

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2021

    Lundi 11 octobre, l’homme, pris en charge depuis plusieurs mois par le centre d’accueil pour demandeurs d’asile, s’en est pris verbalement à des salariés

    Le Centre d’accueil pour demandeurs d’asile Isard Cos, à Pau, a de nouveau connu de l’agitation ce lundi 11 octobre en début d’après-midi. Un Afghan, pris en charge par la structure depuis plusieurs mois, a menacé de mort des salariés lors d’un rendez-vous.

    (…) L’homme aurait alors, par l’intermédiaire d’un traducteur à distance, menacé de mort les personnels. Le centre, voyant la situation se tendre, a contacté la police qui est intervenue rapidement et a interpellé le résident. (…)

    Un couteau a été découvert sur lui mais il ne s’en est pas servi.

    Les faits prennent une résonance particulière dans la mesure où un salarié a perdu la vie, le 19 février 2021, poignardé à plusieurs reprises au sein d’Isard Cos. Son meurtrier présumé, un Soudanais pensionnaire de la structure, répondra d’assassinat.

    Sud Ouest via fdesouche