Publié par Guy de Laferrière le 26 septembre 2024
« L’armée israélienne est née dans le terrorisme. Dans la tradition de Tsahal, il y a cette marque de fabrique. »
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Publié par Guy de Laferrière le 26 septembre 2024
« L’armée israélienne est née dans le terrorisme. Dans la tradition de Tsahal, il y a cette marque de fabrique. »
Publié par Guy de Laferrière le 05 avril 2023
Cinq hommes ont été arrêtés mardi (4 avril) en Suède pour des soupçons de complot en vue de commettre un attentat terroriste, apparemment en représailles à l’incendie du Coran commis par un militant d’extrême droite en janvier dernier.
Mardi, le Service de sécurité suédois (Säkerhetspolis, Säpo) a annoncé qu’il avait déjoué les plans de cinq hommes, liés à l’organisation terroriste État islamique (EI, ou Daech), visant à commettre un attentat terroriste en Suède.
« Le service de sécurité suédois a arrêté ce matin cinq personnes soupçonnées de conspirer en vue de commettre un crime terroriste en Suède », a déclaré Susanna Trehörning, cheffe adjointe de l’unité antiterroriste du Säpo.
« Nous estimons qu’il existe des liens internationaux, plus particulièrement avec l’organisation terroriste EI », a-t-elle ajouté.
L’affaire en cours est l’une des nombreuses sur lesquelles le Säpo a travaillé depuis que Rasmus Paludan, homme politique danois et suédois d’extrême droite, a brûlé un Coran devant l’ambassade de Turquie en janvier.
(…) Selon le Säpo, la Suède est passée du statut de cible « légitime » pour les attaques terroristes à celui de cible « prioritaire ».
Publié par Guy Jovelin le 22 août 2022
Le Col de Banyuls, dans les Pyrénées Orientales, est fermé depuis janvier 2021 pour lutter contre le trafic, le terrorisme et l’immigration illégale. La fermeture de cette route, qui reliait la France à l’Espagne, est un coup dur pour les habitants frontaliers et pour le commerce. Des Catalans français et espagnols réclament la réouverture de cette petite route reliant la France à l’Espagne par le col de Banyuls, dont la fermeture depuis janvier 2021 double, voire triple, le temps nécessaire pour atteindre l’autre côté des Pyrénées.
Cette fermeture visant à lutter contre le terrorisme et l’immigration illégale est «une absurdité administrative», lâche Pierre Becque, président de l’association Albères (le massif où se trouve le col, NDLR) sans frontière, la main appuyée sur un des blocs rocheux mis en place au col pour bloquer la route.
Pour José Rueda, un Catalan espagnol de 32 ans qui vient vendanger depuis sept ans près de la petite ville française de Banyuls-sur-Mer, «venir par le col était très facile. Maintenant, on dépense plus en essence. Certains venaient travailler pour la journée et repartaient dormir à Espolla ou Figueras», côté espagnol. «Ceux-là ne viennent plus», ajoute-t-il avec regret.
Alors que des travailleurs frontaliers ou saisonniers espagnols passaient par le col pour gagner du temps, nombre d’habitants de Banyuls prenaient la petite route pour faire des courses côté espagnol et y acheter notamment des cigarettes ou de l’alcool à meilleur prix. […]
Dans la pratique, piétons, vélos et même certains véhicules peuvent passer par le col, malgré les rochers érigés en travers de la route. Arrivé du côté français, un conducteur de 4×4 donne quelques coups de volant, fait une marche arrière sur quelques mètres, puis passe côté espagnol par une petite piste très pentue.
« Ces blocs n’arrêtent rien du tout », commente aussitôt Pierre Becque, jugeant peu probable que des immigrés illégaux ou des terroristes empruntent ce passage, avec ou sans blocs. […]
Publié par Guy Jovelin le 07 août 2022
“Je suis ici pour me former à la haine et au terrorisme. Quand je sortirai je tuerai plein de gens car ils ne sont pas bons. Je sais les reconnaître. Et des enfants d’un an et demi, deux ans, car ils sont innocents, avant qu’ils ne soient pris par Satan”.
Placé en détention provisoire pour une énième détention de stups et port d’arme blanche, Samir est entendu par un gradé à son arrivée à la maison d’arrêt. Il va sans dire que la cheffe, signale sans attendre les terribles menaces qui viennent d’être proférées.. Et le parquet le renvoie devant les juges pour apologie du terrorisme et menaces de mort réitérées.
En écoutant le président relater ses paroles, Samir affiche un large sourire. “Bah, j’ai pas dit vraiment tout ça, j’étais énervé. Je ne suis pas dangereux, ma mère vous le dirait“.
[…]
Le tribunal ne peut que l’admettre : “il n’y a pas eu publicité et les menaces ne visent pas quelqu’un de déterminé”. Le prévenu est relaxé.
Publié par Guy Jovelin le 03 février 2022
Qui est-il vraiment ? L’identité de l’homme présent dans le box du tribunal correctionnel de Poitiers ce mercredi n’est pas certaine. Il en donne une autre que celle figurant dans la procédure à l’interprète en persan.
Cet Afghan supposé avoir tout juste 28 ans se voit reprocher de ne pas être allé pointer au commissariat de Châtellerault alors qu’il était assigné à résidence dans un hôtel de la ville où il a commis des dégradations dans sa chambre lundi dernier.
Le jeune homme, condamné pour apologie du terrorisme alors qu’il se trouvait dans un centre d’hébergement d’urgence de Poitiers en novembre 2020, venait de ressortir de prison fin décembre.
La préfecture de la Vienne l’avait assigné à résidence, le temps d’organiser son expulsion, la justice ayant prononcé une interdiction définitive du territoire. Il avait respecté ses obligations de pointage jusqu’au milieu de semaine dernière où son comportement poli et discret avait brusquement changé.
Il s’était renfermé sur lui, fréquentant plus souvent la mosquée tout en évoquant son désir de revoir sa famille.
(…) Les liaisons aériennes étant coupées avec l’Afghanistan, aucune date de retour n’est envisagée, la situation est bloquée et l’assigné à résidence ne veut plus de cette détention qui ne dit pas son nom.