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terrorisme - Page 4

  • Terrorisme : « la menace n’a pas disparu », 9 enquêtes judiciaires ouvertes depuis le début du confinement

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2020

    Par  le 19/04/2020

    Selon Nicolas Lerner, le patron de la DGSI, l’activité des services antiterroristes demeure soutenue malgré le contexte de l’épidémie du coronavirus. Neuf enquêtes judiciaires ont été ouvertes depuis le début du confinement.

    […] les services de renseignement – DGSI et renseignement territorial – ont réalisé trois visites domiciliaires chez des « cibles » islamistes entre le premier jour du confinement et le 15 avril. Sur la même période, ils ont demandé le placement de 21 individus radicalisés sous mesures individuelles de surveillance (Micas) […] Parmi eux, un délinquant multirécidiviste, proche de la mouvance radicale, sorti de prison jeudi après une condamnation pour violation de son contrôle administratif. […] Des suivis renforcés ont également été instaurés pour les détenus condamnés pour terrorisme et libérés pour fin de peine – six depuis le début du confinement. […]

    Source via fdesouche

  • Nicole Belloubet annonce que 43 détenus condamnés pour terrorisme seront libérés en 2020. D’ici 2023, ils devraient être 300 à retrouver la liberté.

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2020

    Par  le 24/02/2020

    La ministre de la Justice Nicole Belloubet a annoncé ce lundi que « 43 personnes » condamnées pour terrorisme devraient être libérées en 2020, au cours d’une interview sur RTL. Ils devraient être « une soixantaine en 2021 » à quitter leur cellule. Au total, la Garde des sceaux a assuré que d’ici 2023, ils devraient être 300 détenus à retrouver la liberté.

    Ensuite, Nicole Belloubet a souligné que ces individus seront suivis par la justice. « Ils font l’objet d’une double mesure: un contrôle judiciaire qui fait qu’ils sont pris en charge à leur sortie et des mesures administratives de surveillance. […] Les services de renseignement les suivent de manière très précises » a-t-elle expliqué.

    […]

    BFMTV via fdesouche

  • Russie : des militants d’extrême-gauche condamnés pour terrorisme à de lourdes peines de prison

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

    Article publié le 13.02.20201019761232.jpg

    Sept jeunes hommes - tous nés entre 1988 et 1996 - ont été arrêtés en 2017 et 2018 pour leur appartenance à une organisation considérée comme terroriste par les services de sécurité, baptisée «Réseau».

    Selon le FSB ce groupe de personnes se revendiquant d'extrême-gauche a voulu préparer des attentats en 2018 lors de l’élection présidentielle puis, la même année, lors des matchs de la coupe du monde de football. Selon l’accusation le but de l’organisation, créée en mai 2015, était d’«unir des anarchistes de différentes régions de Russie en groupes de combat» afin de renverser l’ordre constitutionnel par la force.

    La presse russe qui a largement couvert cette affaire, rapporte que dès l’été 2016, le «Réseau» aurait mis sur pied une «structure hiérarchique avec répartition stricte des rôles entre les participants», qui comprenait des «groupes de combat» dans les villes de Penza, Omsk, Saint-Pétersbourg et Moscou. Une Charte communautaire aurait également été élaborée sous le nom de «Code du Réseau».

    Selon le média en ligne russe Gazeta, les membres de l’organisation qui n'ont jamais caché leur appartenance à l'extrême-gauche, étaient inspirés par Le Capital de Karl Marx ou L’Insurrection qui vient du Comité invisible - groupe postsituationniste d’extrême gauche d’origine française. Il était également établi que les condamnés étaient adeptes de l’airsoft, un jeu tactique militaire avec armes à billes de plastique en milieu naturel. 

    86 ans de prison au total

    Le 10 février, le tribunal de Penza (sud-est de Moscou) a reconnu coupables tous les accusés de l’affaire dite «du Réseau». Présentés par l'accusation comme des terroristes «antifascistes» et «anarchistes», les accusés devront purger des peines de 6 à 18 ans de prison, selon le verdict du tribunal militaire de Penza. Certains étaient aussi accusés de détention d'armes et de munitions ainsi que de tentative de trafic de drogue.

    La condamnation a suscité un tollé auprès de l'opposition et des ONG. Les organisateurs du groupe selon l'accusation, Dmitri Ptchelintsev et Ilia Chakourski ont écopé des peines les plus lourdes, respectivement de 18 et 16 ans de camp pénitencier de régime sévère. La sentence «est inattendue et trop dure», a estimé Olga Gavrilova, l'avocate de Maxim Ivankin, 25 ans, condamné à 13 ans de camp. «Évidemment, moi et mes collègues, nous allons tous faire appel», a-t-elle dit à l'AFP. 

    Vladimir Poutine avait été interpellé en 2018 et 2019 sur cette affaire et notamment les accusations de torture à l'encontre des enquêteurs. Il avait alors dit vouloir être informé plus amplement du dossier. Son porte-parole Dmitri Peskov, réagissant dès lors le 10 février au verdict, a assuré que le président russe avait ordonné «plus d'une fois que tout se fasse dans le respect de la loi». 

     

    Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs

  • Quand L’Humanité inclut Mickaël Harpon, le terroriste de la Préfecture, dans les « victimes » de « violences policières »

    Publié par Guy Jovelin le 08 février 2020

    Par  le 07/02/2020

    Dans un dossier spécial, l’Humanité avance que 26 personnes sont décédées en 2019 suite à des « violences policières ». Problème : Mickaël Harpon, l’homme qui a tué quatre fonctionnaires à la préfecture de police de Paris le 3 octobre avant d’être abattu par les forces de l’ordre, fait partie des 26.

    France Inter via fdesouche


    En lien :

     
  • TERRORISME ET LAXISME JUDICIAIRE

    Publié par Guy Jovelin le 07 février 2020

    POSTÉ LE FÉVRIER 04, 2020, 10:20

    laxisme judiciaire,terrorisme

    Nous continuons à danser sur un volcan, sans que cela semble émouvoir les oligarques.

    Le terrorisme n’est pas le seul problème que pose l’islam à la France – il s’en faut de beaucoup. Mais il est évident que c’est l’un des problèmes les plus urgents et les plus graves.

    Or, on continue à traiter le terrorisme islamique comme le vol de mobylette, avec un laxisme stupéfiant.

    Puisque nos « élites » ne veulent pas voir la réalité chez nous, peut-être comprendront-elles en regardant à l’étranger.

    Tout récemment, un certain Sudesh Amman (dont il n’est pas nécessaire de parler couramment la langue de Shakespeare pour deviner qu’il n’était pas exactement Britannique « de souche ») a poignardé deux personnes dans une rue de Londres avant d’être abattu par la police.

    Cet assassin était donc libre et armé dans les rues de la capitale anglaise, après avoir été condamné en décembre 2018 à 3 ans et 4 mois de prison pour 13 infractions terroristes.

    Oui, vous avez bien lu : 13 infractions terroristes ont entraîné seulement une condamnation de 3 ans de prison. Et cette peine absurdement légère et laxiste n’a même pas été exécutée en totalité, alors même que, lors de son jugement, sa dangerosité avait été évoquée par la police antiterroriste de Londres !

    Pour la France, la situation est, s’il se peut, pire encore.

    196 personnes sont actuellement détenues dans nos prisons après une condamnation définitive pour terrorisme.

    La moitié d’entre elles seront libérées au cours de l’année 2020. Et 75 % d’ici 2022.

    Nous allons relâcher dans la nature des bêtes féroces et sans doute ensuite larmoyer sur les conséquences.

    Mais n’y a-t-il donc aucun responsable de cet état de fait ?

    Le chef de l’État n’a-t-il pas la responsabilité ultime d’assurer la sécurité des biens et des personnes ? Ne doit-il donc pas affronter sérieusement et courageusement le problème du terrorisme ?

    Le législateur ne peut-il pas adapter le Code pénal ?

    Les juges, qui rendent la justice au nom du peuple français, ne peuvent-ils pas protéger ce peuple, au lieu d’épingler au mur des cons ceux qui ont l’audace de dénoncer le laxisme judiciaire ?

    La classe politique et, plus largement, les oligarques portent donc une responsabilité écrasante.

    L’immense majorité des terroristes est inaccessible à toute réhabilitation et ne rêve que de recommencer. Dès lors, il est du devoir des dirigeants de les mettre définitivement hors d’état de nuire et pas seulement de les loger quelques mois aux frais du contribuable pour leur permettre de convertir leurs compagnons de cellule !

     

    Source : les4verites