Nous continuons à danser sur un volcan, sans que cela semble émouvoir les oligarques.
Le terrorisme n’est pas le seul problème que pose l’islam à la France – il s’en faut de beaucoup. Mais il est évident que c’est l’un des problèmes les plus urgents et les plus graves.
Or, on continue à traiter le terrorisme islamique comme le vol de mobylette, avec un laxisme stupéfiant.
Puisque nos « élites » ne veulent pas voir la réalité chez nous, peut-être comprendront-elles en regardant à l’étranger.
Tout récemment, un certain Sudesh Amman (dont il n’est pas nécessaire de parler couramment la langue de Shakespeare pour deviner qu’il n’était pas exactement Britannique « de souche ») a poignardé deux personnes dans une rue de Londres avant d’être abattu par la police.
Cet assassin était donc libre et armé dans les rues de la capitale anglaise, après avoir été condamné en décembre 2018 à 3 ans et 4 mois de prison pour 13 infractions terroristes.
Oui, vous avez bien lu : 13 infractions terroristes ont entraîné seulement une condamnation de 3 ans de prison. Et cette peine absurdement légère et laxiste n’a même pas été exécutée en totalité, alors même que, lors de son jugement, sa dangerosité avait été évoquée par la police antiterroriste de Londres !
Pour la France, la situation est, s’il se peut, pire encore.
196 personnes sont actuellement détenues dans nos prisons après une condamnation définitive pour terrorisme.
La moitié d’entre elles seront libérées au cours de l’année 2020. Et 75 % d’ici 2022.
Nous allons relâcher dans la nature des bêtes féroces et sans doute ensuite larmoyer sur les conséquences.
Mais n’y a-t-il donc aucun responsable de cet état de fait ?
Le chef de l’État n’a-t-il pas la responsabilité ultime d’assurer la sécurité des biens et des personnes ? Ne doit-il donc pas affronter sérieusement et courageusement le problème du terrorisme ?
Le législateur ne peut-il pas adapter le Code pénal ?
Les juges, qui rendent la justice au nom du peuple français, ne peuvent-ils pas protéger ce peuple, au lieu d’épingler au mur des cons ceux qui ont l’audace de dénoncer le laxisme judiciaire ?
La classe politique et, plus largement, les oligarques portent donc une responsabilité écrasante.
L’immense majorité des terroristes est inaccessible à toute réhabilitation et ne rêve que de recommencer. Dès lors, il est du devoir des dirigeants de les mettre définitivement hors d’état de nuire et pas seulement de les loger quelques mois aux frais du contribuable pour leur permettre de convertir leurs compagnons de cellule !
Source : les4verites