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extrême-gauche

  • L’extrême-gauche a encore frappé

    Publié par Guy de Laferrière le 13 juin 2023

    L’extrême-gauche a encore frappé

    Ce matin, le portail de Livres en famille à Préchac a été retrouvé ainsi :

    Les gendarmes ont constaté qu’un des voisins avait lui aussi été tagué sur sa palissade en bois.

    Depuis septembre 20222, c’est la troisième fois qu’ils appellent la gendarmerie (départ de feu sous le portail en septembre, dégradations de la voiture et la façade lors d’Halloween) et déposent plainte.

     

    Source : lesalonbeige

  • Bastia : l’extrême-gauche et le PCF inventent des agressions racistes contre des supporters marocains, la police et la consule du Maroc démentent

    Publié par Guy de Laferrière le 13 décembre 2022

    Suite à la dénonciation par plusieurs partis politiques corses d’agressions présumées survenues à Bastia ce samedi, après la victoire du Maroc en Coupe du monde de football, la consule a tenu à désamorcer les rumeurs.

    (…)

    Mais dimanche soir, en réaction à ces scènes de liesse, trois partis politiques corses – A Manca, Ghjuventù di manca et le parti communiste  – ont publié chacun un communiqué de presse, dénonçant des « agressions racistes » dont auraient été victimes plusieurs supporters marocains dans les rues de Bastia. « Plusieurs témoignages concordants font état d’un groupe d’une vingtaine de jeunes, au visage caché, déambulant sur le Boulevard Paoli aux alentours de 18h30 en scandant des slogans racistes et s’en prenant aux supporters qui célébraient pacifiquement la victoire de l’équipe marocaine contre le Portugal en voiture », relate le communiqué de Ghjuventù di manca, appelant à une « réaction forte de la part des élus ».

    (…)

    Contacté ce lundi 12 décembre, le commissariat de Bastia n’a pas confirmé ces informations, expliquant que « personne n’a composé le 17 samedi soir »« Personne n’a appelé, personne n’a porté plainte. De notre côté, il n’y a rien eu, on n’a reçu aucun signalement. » Des déclarations qui vont dans le sens de celles du procureur de la République, Arnaud Viornery, également joint au téléphone.

    Face à ce double-discours, la consule du Maroc à Bastia, Najoua El Berrak, a jugé important de prendre la parole, afin de désamorcer ce début de polémique. « Moi aussi j’ai lu le communiqué, il est vraiment alarmant. Donc je me suis inquiétée, j’ai appelé ma communauté, mais rien. J’ai enquêté toute la matinée auprès de la population, et à chaque fois que je parlais de ça, les gens ouvraient grand les yeux. Quand on voit ce qui est écrit, on se dit que c’est la guerre. Mais en réalité, ce qu’il s’est passé, c’est qu’il y a eu un échange verbal entre un groupe de jeunes de 14-15 ans et des supporters marocains. On leur aurait dit ‘vous avez gagné, c’est bien, maintenant rentrez à la maison’. »

    Infirmant la question des « agressions racistes », Najoua El Berrak s’est également projetée sur la prochaine rencontre du Maroc, qui opposera les Lions de l’Atlas à l’équipe de France de football, en demi-finale du Mondial, ce mercredi à 20h. « J’ai un message à faire passer : célébrons sans débordements. Mais à côté, il ne faut pas instrumentaliser ces moments de joie. Si on commence à polémiquer pour ce qui est un échange verbal, on ne s’en sort pas. »

    Corse Net Infos via fdesouche

  • Russie : des militants d’extrême-gauche condamnés pour terrorisme à de lourdes peines de prison

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

    Article publié le 13.02.20201019761232.jpg

    Sept jeunes hommes - tous nés entre 1988 et 1996 - ont été arrêtés en 2017 et 2018 pour leur appartenance à une organisation considérée comme terroriste par les services de sécurité, baptisée «Réseau».

    Selon le FSB ce groupe de personnes se revendiquant d'extrême-gauche a voulu préparer des attentats en 2018 lors de l’élection présidentielle puis, la même année, lors des matchs de la coupe du monde de football. Selon l’accusation le but de l’organisation, créée en mai 2015, était d’«unir des anarchistes de différentes régions de Russie en groupes de combat» afin de renverser l’ordre constitutionnel par la force.

    La presse russe qui a largement couvert cette affaire, rapporte que dès l’été 2016, le «Réseau» aurait mis sur pied une «structure hiérarchique avec répartition stricte des rôles entre les participants», qui comprenait des «groupes de combat» dans les villes de Penza, Omsk, Saint-Pétersbourg et Moscou. Une Charte communautaire aurait également été élaborée sous le nom de «Code du Réseau».

    Selon le média en ligne russe Gazeta, les membres de l’organisation qui n'ont jamais caché leur appartenance à l'extrême-gauche, étaient inspirés par Le Capital de Karl Marx ou L’Insurrection qui vient du Comité invisible - groupe postsituationniste d’extrême gauche d’origine française. Il était également établi que les condamnés étaient adeptes de l’airsoft, un jeu tactique militaire avec armes à billes de plastique en milieu naturel. 

    86 ans de prison au total

    Le 10 février, le tribunal de Penza (sud-est de Moscou) a reconnu coupables tous les accusés de l’affaire dite «du Réseau». Présentés par l'accusation comme des terroristes «antifascistes» et «anarchistes», les accusés devront purger des peines de 6 à 18 ans de prison, selon le verdict du tribunal militaire de Penza. Certains étaient aussi accusés de détention d'armes et de munitions ainsi que de tentative de trafic de drogue.

    La condamnation a suscité un tollé auprès de l'opposition et des ONG. Les organisateurs du groupe selon l'accusation, Dmitri Ptchelintsev et Ilia Chakourski ont écopé des peines les plus lourdes, respectivement de 18 et 16 ans de camp pénitencier de régime sévère. La sentence «est inattendue et trop dure», a estimé Olga Gavrilova, l'avocate de Maxim Ivankin, 25 ans, condamné à 13 ans de camp. «Évidemment, moi et mes collègues, nous allons tous faire appel», a-t-elle dit à l'AFP. 

    Vladimir Poutine avait été interpellé en 2018 et 2019 sur cette affaire et notamment les accusations de torture à l'encontre des enquêteurs. Il avait alors dit vouloir être informé plus amplement du dossier. Son porte-parole Dmitri Peskov, réagissant dès lors le 10 février au verdict, a assuré que le président russe avait ordonné «plus d'une fois que tout se fasse dans le respect de la loi». 

     

    Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs