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voile - Page 2

  • Professeur dans un centre de formation d’apprentis, Pascal L. témoigne avoir été viré, menacé de poursuites et traité de “raciste” pour avoir signalé que la présence d’élèves voilées le gênait

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2022

    Professeur dans un centre de formation pour adultes privé, Pascal L. a été viré, menacé de poursuites et traité de “raciste” pour avoir voulu discuter des règles de laïcité avec sa direction après avoir constaté la présence d’élèves voilées dans sa classe. Valeurs actuelles s’est procuré un enregistrement sonore. Récit.

    Depuis plus de dix ans qu’il travaille dans l’enseignement, Pascal L., 42 ans, n’avait jamais été confronté à une décision si brutale. Ni jamais été traité de « raciste ». Aujourd’hui encore, plusieurs mois après les faits, il s’interroge sur ces évènements, non sans une certaine crainte vis-à-vis des conséquences qu’ils pourraient avoir. Lorsque nous le rencontrons, courant avril, dans un café parisien, il semble à la fois résigné sur son sort et déterminé à faire connaître l’injustice dont il dit avoir été victime. Il a bien consulté un avocat, mais celui-ci lui a déconseillé d’enclencher une procédure. La justice ne peut rien pour lui. Les médias pourraient-ils faire quelque chose ? Il s’interroge.

    L’affaire débute en octobre 2021, au centre de formation d’apprentis (CFA) Enfances et Compétences, structure parisienne privée appartenant au réseau de crèches La Maison Kangourou. Plusieurs classes d’adultes, essentiellement de jeunes femmes, sont formés chaque année dans ce CFA pour apprendre les métiers de « la petite enfance » (employée de crèche, assistante maternelle, garde d’enfant…) et obtenir un CAP. Pascal L. y est enseignant depuis 2018, via un « CDD d’usage », renouvelé chaque année. Vendredi 15 octobre 2021, jour de la rentrée pour le CFA, il donne son premier cours d’histoire-géographie (matière qui comprend l’éducation civique et donc la laïcité) et découvre qu’une de ses élèves est couverte d’un « tchador », un ample voile islamique qui couvre la tête, le cou et les épaules.

    En plus de dix ans d’enseignement, affirme le professeur, c’est la première fois qu’il est confronté à un signe religieux ostentatoire. Il est d’ailleurs convaincu que ces signes sont interdits par le règlement du CFA, à l’instar des écoles publiques, comme le montre les SMS échangés par la suite avec la directrice. Coïncidence, ce 15 octobre est aussi le jour d’hommage à Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie assassiné par un musulman radicalisé après un cours d’enseignement civique.

    (…) Valeurs via fdesouche

  • Belgique : Le port du Voile Islamique autorisé dès Septembre prochain dans les universités belges.

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2021

    L’organisme public en charge des écoles publiques francophones en Belgique a décidé d’autoriser le port de signes religieux, dont le voile, à partir de septembre prochain dans les universités belges. Annoncée début Janvier dans la presse belge par Julien Nicaise, administrateur général de Wallonie-Bruxelles Enseignement (WBE), cette mesure intervient après qu’un arrêt de la Cour constitutionnelle, qui a autorisé la Haute école Francisco Ferrer à interdire le port de signes religieux.

    […]

    Yabiladi via fdesouche
  • Amalgame et extrémisme laïcard : une religieuse refusée dans une maison de retraite de Vesoul

    Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2019

    amalgame,extrémisme laïcard,religieuse,voile

    À Vesoul, une religieuse catholique s'est vue refuser une place dans une maison de retraite tant qu'elle ne quitterait pas son voile et son habit religueux. Celà au nom de la laïcité qui, comme on le sait, est un principe sacré de notre République. Petit père Combes pas mort.

    Nous sommes bien dans le plus affligeant des amalgames, celui dans lequel se vautrent intellectuels dévoyés, gauchardins rouges, roses, noirs, verts, et progressistes de toute obédience.

    La France est chrétienne. Nos religieuses en sont les servantes, elles que nous sommes fiers d'appeler « ma mère » ou « ma sœur ». Elles appartiennent à la communauté de destin, spirituelle et nationale que l'on appelle France et les signes extérieurs de leur appartenance moniale ne sauraient être confondus avec l'utilisation/provocation que font des leurs les tenants de l'islamisme politique.

    Ce que nous voyons à l'œuvre dans cette affaire, c'est bien le totalitarisme laïcard anti-chrétien adossé au complexe islamophile.

    Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France

  • En 2000, un prêtre et une religieuse avaient dû retirer leur croix et leur voile pour s’asseoir dans l’hémicycle de l’Assemblée Nationale

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2019

    Par  le 14/10/2019

    En 2000, sous la présidence du socialiste Laurent Fabius, un prêtre et une religieuse avaient dû respectivement retirer leur croix et leur voile pour s’asseoir dans l’hémicycle.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • La justice confirme le droit de porter un voile islamique dans le secteur privé

    Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2019

    Par  le 18/04/2019

    La cour d’appel de Versailles a donné raison ce jeudi à une salariée licenciée en 2008 pour avoir refusé de retirer son voile.

    La cour d’appel de Versailles (Yvelines) a tranché ce jeudi. On a le droit de porter le voile islamique dans une entreprise privée. Après plus dix ans de procédure, elle a donné raison à Asma Bougnaoui, renvoyée en 2008 d’une société de conseil informatique de Levallois (Hauts-de-Seine) parce qu’elle refusait d’ôter ce morceau de tissu. Les magistrats ont annulé le licenciement et condamné la société Micropole à verser à leur ex-employé une somme de plus 23 000 euros.

    Elle avait refusé de retirer son voile

    Ingénieur informatique chez Micropole, Asma Bougnaoui avait été licenciée un an après son embauche, car Groupama, un client chez qui elle intervenait, à Toulouse (Haute-Garonne), s’était plaint. Non pas de son travail : selon l’assureur, la venue de cette femme voilée dans ses locaux engendrait de la gêne parmi ses collaborateurs. Ses responsables avaient demandé qu’elle le retire lors de ses prochaines interventions chez eux, mais la salariée avait refusé et Micropole l’avait mise à la porte.