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prêtre

  • À Bergerac, un prêtre bénit le convoi de tracteurs en route pour Paris

    Publié par Guy de Laferrière le 31 janvier 2024

    À Bergerac, un prêtre bénit le convoi de tracteurs en route pour Paris

    Issu d’une famille d’agriculteurs, un prêtre de Bergerac bénit le convoi de tracteurs :

     

     

  • Ex-athée communiste devenu prêtre, il vante les mérites de “La Passion du Christ” de Mel Gibson

    Publié par Guy de Laferrière le 07 mars 2023

    Flavio Mateos est un écrivain argentin qui a ressenti l’appel au sacerdoce. Il a laissé derrière lui un long passé dans l’athéisme et le militantisme communiste. Après sa conversion à la foi catholique, il a commencé à régler ses comptes avec ce qui avait occupé sa vie dans le passé : le journalisme et le cinéma. Avec des livres comme « The Black Book of Journalism » (Bella Vista Editions, 2012) ou son blog « Videoteca Reduco » et les livres « The Passion of the Christ » de Mel Gibson. Le triomphe de la croix”, “Regards sur le cinéma”, “L’essentiel d’Alfred Hitchcock”, “Vertigo. L’énigme verticale”, “Videoteca Reduco” et “Avatar et le cinéma anti-chrétien de James Cameron” (presque tous édités par Ediciones Reacción), il a dénoncé le libéralisme et le gnosticisme présents dans les médias, ainsi que le sauvetage des valeurs chrétiennes dans ce qu’on appelle “l’art du XXe siècle”.

    Dans une récente interview en ce temps de Carême, il parle du film La Passion du Christ de Mel Gibson.

    N’est-il pas exagéré de dire que c’est le film le plus important de l’histoire du cinéma ?

    Peut-être, mais dites-moi quel film pourrait être plus important que celui qui raconte – attention, d’une manière belle et admirable – “la plus grande histoire jamais racontée” (comme le dit le titre d’un film indéfinissable sur le Christ de 1965) . Mais comme je le disais tout au début du livre, ce n’est pas -à mon humble avis- le “meilleur” film, mais le plus important en raison des implications de ce qu’il montre à tous les niveaux. Dans la passion du Christ, notre rédemption a lieu, et en ne regardant que de notre point de vue, nous pourrions affirmer que c’est le plus grand exploit jamais accompli par quelqu’un, la plus grande épopée et histoire d’amour, et la plus grande histoire d’horreur (voir les ennemis du Christ ). Pour ne donner qu’un exemple de l’importance capitale de cela, saint Thomas nous dit : « La passion du Christ suffit à nous servir de guide et de modèle pour toute notre vie.

    Dans la croix nous trouvons l’exemple de toutes les vertus. Qu’en un siècle d’apostasie et de barbarie, d’inexistence de l’art chrétien, et où le cinéma reproduit à l’infini non-sens et perversions, au profit des agendas du Nouvel Ordre Mondial, que dans un tel monde un film comme celui-ci soit réalisé, avec ses caractéristiques particulières – que nous analysons dans le livre -, et obtient encore un retentissement aussi immense à travers le monde, malgré ses ennemis, et ayant aussi vu une multitude de témoignages de conversion ou de retour à l’Église, eh bien, tout cela fait, je pense, que ce n’est pas exagéré de le considérer comme le film le plus important. Le pape Pie XII a un jour lancé ce slogan :”Que le cinéma soit ordonné à la gloire de Dieu et au salut des âmes, et serve efficacement à l’extension du Royaume du Christ sur la Terre.” Il nous semble que La Passion du Christ de Mel Gibson s’y intègre très bien. (…)

    Qu’apporte-t-il par rapport aux autres vies du Christ qui ont été portées au cinéma auparavant ?

    Tous les autres films, en plus d’être des larves artistiques, ou tout au plus des spectacles apaisants, cachent l’événement central de la vie de Notre-Seigneur, qui est Sa passion et Sa crucifixion. Ils le passent à peine comme si c’était une bagatelle. Et accessoirement, ils cachent également la question du pharisaïsme, chargeant toujours le fardeau uniquement sur les Romains. (…)

    Pourquoi ne pas rester indifférent à ce film ?

    Je suppose que pour la même raison que nous ne le pouvons pas devant un crucifix. Si vous arrêtez quelqu’un dans la rue et lui montrez un crucifix, cela le met au défi. Certains vont tourner la tête de dégoût, certains auront peur, certains vont l’embrasser, etc. Il arrive que votre serviteur se promène dans la rue en soutane et constate aussi ces différentes réactions, selon l’environnement. Mais c’est pour ces mêmes raisons que Mel Gibson a voulu faire un film puissamment percutant, fort, choquant pour certains, émouvant pour d’autres. Si, comme le disait Chesterton, “tout art est sensationnel puisqu’il vise à produire une sorte de sensation”, ici Gibson a misé très haut en ce sens, parce qu’il voulait secouer l’homme moderne indéfinissable et indifférent de ce monde décrépit. Je pense que la majorité a accusé réception et a réagi selon ce qu’elle avait dans le cœur.

    D’un autre côté, il est intéressant de réfléchir à la façon dont Dieu peut utiliser la ressource de l’art de la manière la moins attendue. (…)

    De plus, le film est très fidèle à la vérité historique, aux us et coutumes de l’époque, bien qu’on l’accuse d’exagérer la dureté, était-ce vraiment comme ça ?

    Gibson a suivi de bons conseils et a essayé d’être le plus précis possible, sans prétendre faire un documentaire. Il a également réussi à utiliser les langues araméenne et latine (inédites au cinéma), nous plongeant encore plus dans le contexte historique. La vérité qui avait raison : les Jésus-Christ tout juste sortis du coiffeur et sans un grain de poussière dessus, qui récitent leur dialogue en anglais et reçoivent les coups de flagellation comme s’ils prenaient une douche, convenaient à un certain public, mais pas pour les catholiques aguerris avec un chapelet quotidien.

    Sur la question “d’exagérer la dureté”, il y a ceux qui disent qu’il n’était pas nécessaire d’en montrer autant, ou que c’est exagéré de faire un film “gore” : c’est idiot. Ces gens ne connaissent pas ou oublient l’histoire du christianisme, forgée sur la base du martyre. Ces jours-ci, je médite quelques textes du grand prêtre qu’était Charles de Foucauld. Il dit à un moment donné : « … les bourreaux, mon Bien-Aimé, n’arrêtez pas de vous battre ! Le sang inonde le bas de ton corps : tu es tout couvert de sang, comme un manteau… Oh ! Mon Dieu ! Quelle douleur! Oh ! Comment ne pas mourir dans cette épreuve scandaleuse ? Et comment ne pas mourir en le regardant ? Et tu es toujours battu, ces chairs qui se détachent des os et pendent comme des lambeaux, tu es comme une victime écorchée sans forme humaine ; tout ton dos, tes bras, tes épaules s’ouvrent et les coups continuent de tomber sur la chair nue et saignante… Oh ! Mon Dieu, quelle torture, comme tu m’aimes ! C’est ce que te coûtent mes joies coupables ! Désolé, désolé, merci, merci, désolé ! (Nouveaux Écrits Spirituels, p. 180 et suiv.). C’est ce que médite un saint. Cela vous semble-t-il sadique, ou plutôt réaliste ? Le film nous met face à face avec une telle image, la suite nous appartient. N’oublions pas qu’au début du film se trouve la citation d’Isaïe 53. le reste dépend de nous.

    (…)

    Quelles autres scènes du film trouvez-vous particulièrement belles ?

    Je pense que depuis que le Christ est conduit à Pilate pour la deuxième fois, le film n’a pas baissé d’intensité dramatique, étant déchirant et émouvant jusqu’à un crescendo qui culmine dans une fin brillamment imaginée. Notons au passage l’apport insurmontable de la musique très inspirée, judicieusement utilisée. Mais c’est vraiment la crucifixion qui est la plus impressionnante.

    Et quelle scène vous touche le plus ?

    Je peux citer trois scènes extrêmement émouvantes : celle de « l’Ecce homo » ; celle du transpercement du cœur de Jésus avec la lance ; et la scène du déni de Pierre, où tu as vraiment envie de pleurer. Pauvre Pierre !

     

    Source : medias-presse.info

  • L’acteur catholique Mark Wahlberg joue le boxeur qui devient prêtre dans un nouveau film avec Mel Gibson

    Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2022

    Le film, dont la première a eu lieu mardi, suit l’histoire vraie de feu le père Stuart Long, un boxeur devenu prêtre qui, peu après son entrée dans la prêtrise, a développé une maladie musculaire inflammatoire débilitante appelée myosite à inclusions.

    Mark Wahlberg a coproduit le film et a investi son propre argent dans son financement.

    Dans une interview exclusive avec l’animateur de podcast catholique Matt Fradd, l’acteur hollywoodien a discuté de l’origine et de la réalisation du film.

    Wahlberg a expliqué qu’il avait entendu parler pour la première fois du Père Stu à un dîner avec deux prêtres qui l’encourageaient à en faire le sujet d’un film. « Quelque chose dans l’histoire venait d’attirer mon attention … et à la fin de ce dîner, je me suis engagé à faire ce film », a déclaré Wahlberg. « Je savais que cela me venait pour une raison – c’était une opportunité pour moi d’utiliser ma plate-forme et de raconter une histoire incroyable. »

     

     

    La star hollywoodienne a reconnu avoir pris de mauvaises décisions dans sa vie. Il a demandé à Dieu de lui pardonner pour « les mauvais choix [qu’il] a faits dans [son] passé », notamment en jouant dans le film Boogie Nights , un film de 1997 sur l’industrie du porno. Dans cette interview, Wahlberg a déclaré à Fradd que son nouveau film visait à encourager les gens à persévérer et à espérer en Dieu.

    « Nous faisons tous des erreurs, nous avons tous eu des problèmes, mais Dieu ne vous abandonnera jamais, alors continuez », a déclaré Wahlberg.

    Le podcasteur catholique a ensuite demandé à Wahlberg comment c’était de travailler avec son collègue acteur catholique et co-vedette Mel Gibson, et si leur foi catholique partagée avait aidé le film.

    Wahlberg a répondu que l’expérience de Gibson dans la réalisation de La Passion du Christ était d’une grande aide.

    Matt Fradd a conclu son interview en interrogeant la célébrité qui fréquente l’église sur son parcours vers la foi catholique et ce que cela signifiait pour lui.

    « J’attribue tout mon succès et toutes les choses positives et merveilleuses qui me sont arrivées personnellement et professionnellement à ma foi », a répondu l’acteur.

     

    Source : medias-presse.info

  • Bordeaux : l’homme qui a craché au visage d’un prêtre, après l’avoir insulté en arabe, sanctionné d’un stage de citoyenneté (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2022

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    07/03/2022

    Les faits avaient eu lieu dimanche 27 février sur le parvis de la basilique Saint-Michel. Le prêtre n’avait pas porté plainte mais le parquet avait ouvert une enquête.

    L’homme qui a craché au visage d’un prêtre de la basilique Saint-Michel de Bordeaux, dimanche 27 février après la messe, a été sanctionné d’un stage de citoyenneté et d’une interdiction de paraître dans le périmètre de la place Saint-Michel pendant six mois, a appris Le Figaro du parquet de Bordeaux.

    (…) Le Figaro


    01/03/22

    La police aurait néanmoins interpellé l’auteur présumé du crachat lundi après-midi. Ce Bordelais âgé d’une cinquantaine d’années a été placé en garde à vue dans les locaux du commissariat central.

    (…) France Bleu


    28/02/22

    Des travaux ont lieu, actuellement, sur la flèche de Saint-Michel à Bordeaux et des barrières empêchent l’installation des vendeurs à leur place habituelle le dimanche, jour de marché. Ceux-ci s’installent alors sur le parvis de l’église Saint-Michel rendant difficiles les accès à l’édifice. Ce dimanche 27 février, la police est intervenue une première fois vers 11h pour déloger les vendeurs à la sauvette installés devant l’entrée de l’église. Le prêtre qui célébrait la messe s’est ensuite rendu compte que les vendeurs s’étaient réinstallés sur le parvis. Il est sorti, alors, accompagné d’un servant d’autel pour ouvrir le passage tout en bénissant les personnes présentes. La sortie s’est globalement passée dans le calme mais un individu a craché sur le prêtre.

    Le prêtre qui a reçu le crachat ne souhaite pas porter plainte.

    Le diocèse de Bordeaux réaffirme sa volonté de cultiver un climat de paix et de fraternité dans ce quartier St Michel, en lien étroit avec la municipalité, les associations et les forces de l’ordre.

    Diocèse de Bordeaux


    27/02/22

    Il dit au prêtre en arabe : “Nique ton père et nique la chatte à ta mère”

  • Séminaire de Milan : Prêtre tu seras si tu es vacciné…

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2021

    L’Eglise conciliaire n’est jamais en retard pour suivre le monde, ses préceptes et ses mœurs. En ces temps covidesques, c’est à la vaccination pour tous qu’elle s’attelle, qu’elle adopte et qu’elle chérit, à l’instar du pape François. Le prêtre de demain ne doit pas être saint, ni avoir de bonnes mœurs, mais vacciné.

    Le séminaire de Milan donne le ton : il est le premier à imposer la vaccination obligatoire et permettre l’exemption de masques pour ceux qui ont terminé le cycle de vaccination. Et il écrit aux 120 séminaristes : «

    Vous devez tous vous faire vacciner avant de rentrer de vacances ».

    Le vice-recteur confirme au quotidien italien La Nuova Bussola Quotidiana :

    « On le fait pour revenir à une vie plus apaisée ».

    Sans étonnement, les séminaristes opposés à l’injection anti-covid sont qualifiés d’idéologiques :

    « Nous évaluerons au cas par cas même ceux qui manifestent une opposition idéologique, mais je suis sûr qu’il n’y en aura pas besoin. »

    La première condition pour un ‘bon’ prêtre conciliaire dorénavant sera donc d’être vacciné. C’est ainsi que le séminaire épiscopal de Milan a établi le vaccin comme une condition sine qua non pour les 120 aspirants prêtres pour leur retour de vacances le 12 septembre.

    Une lettre du recteur Don Enrico Castagna parle clairement : vaccinez-vous et faites preuve de charité les uns envers les autres écrit-il en substance. Vaccin obligatoire, sans trop de raccourcis ni passe vert : même l’Etat n’est pas allé jusque-là. Vous voulez devenir prêtre ? Faites-vous vacciner et ensuite on en parle.

    La Nuova Bussola Quotidiana a demandé confirmation de l’indiscrétion et après avoir contacté le recteur, il a pu parler avec son consentement avec le vice-recteur Don Michele Galli, covid manager du séminaire de Venegone Inferiore, dépendant du plus grand diocèse d’Europe. Et il a confirmé la mesure draconienne, actuellement prise uniquement par Milan.

    « Compte tenu de la situation épidémiologique, nous modifions notre approche », explique Don Michele. « Nous nous sommes appuyés sur le décret-loi de l’État, notamment le décret scolaire et le décret universitaire […] et nous nous sommes adaptés en conséquence » en « tirant parti du vaccin. Nous avons demandé aux séminaristes de se faire vacciner à leur retour le 12 septembre, de cette façon nous pourrons vivre dans les salles de classe et les espaces communs sans masque puisque le décret scolaire autorise, dans les classes qui ont terminé le cycle de vaccination, l’exemption du masque. »

    Mais que feront les séminaristes ? Tout le monde sera-t-il vacciné ? La question se pose spontanément, mais pour le vice-recteur ce n’est pas un gros problème. « Pour le moment, nous n’avons personne qui nous a fait part d’une quelconque opposition, mais si des cas se présentent, nous les évaluerons au cas par cas. Par exemple, si quelqu’un ne peut pas se faire vacciner pour des raisons médicales, nous l’envisagerons, si au contraire les raisons sont plutôt de nature idéologique… enfin… je ne sais pas, nous n’avons pas encore abordé la question, mais je ne pense pas qu’ils causeront des problèmes », coupe-t-il.

    Le spectre de l’expulsion n’est pas évoqué, mais selon les propos du vice-recteur, il n’est pas totalement exclu puisque le séminariste no vax est stigmatisé comme idéologue : aucun raccourci ni aucune entente ne doit lui être prévu.

    L’archevêque de Milan Mario Delpini, qui était également recteur de Venegono Inferiore, n’a pas été consulté. La décision, explique le vice-recteur « a été prise de manière autonome en tant que conseil de séminaire, mais d’un autre côté nous nous sentons encouragés dans cette décision également par la note de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi qui encourage expressément à se faire vacciner ».

    Si, depuis la naissance de l’Eglise conciliaire et de ses sacrements « bâtards » comme les appelait Mgr Lefebvre d’heureuse mémoire, l’on peut douter de la validité de l’ordination Novus Ordo, de la doctrine reçue par les séminaristes, de leur esprit surnaturel, un doute est levé : le ‘prêtre’ de demain guidera difficilement les âmes vers la Jérusalem céleste mais, c’est sûr, « il sera armé de l’inoculum sacré » pour mener le troupeau apeuré vers le nouveau monde post-covid des Schwab, François, Gates, Soros and Co… 

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info