Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

film

  • Guerre aux pédophiles : Mel Gibson vous invite à voir “Sound of Freedom”

    Publié par Guy de Laferrière le 08 juillet 2023

    Mel Gibson invite a voir la film Sound of Freedom et défendre les enfants
    Mel Gibson invite a voir la film Sound of Freedom et défendre les enfants

    Le film Sound of Freedom – qui sort aujourd’hui dans les salles de cinéma des Etats-Unis – raconte l’histoire courageuse de l’agent de sécurité Tim Ballard et son combat pour sauver les enfants des mains des trafiquants et prédateurs sexuels. L’acteur catholique Jim Caviezel, connu pour son rôle dans La Passion du Christ, assume le rôle principal dans ce film puissant.

    Le célèbre interprète et cinéaste Mel Gibson a invité tout le monde à assister à la projection du nouveau film d’Eduardo Verástegui, intitulé Sound of Freedom, qui aborde le problème du trafic des enfants et des réseaux pédophiles.

    Mel Gibson, qui possède une vaste expérience dans la réalisation de films catholiques tels que La Passion du Christ, a déclaré dans une vidéo diffusée sur le compte Instagram officiel d’Eduardo Verástegui que l’un des problèmes les plus préoccupants de notre monde aujourd’hui est la trafic sexuel des enfants.

    « Notre avenir, ce sont les enfants. Maintenant, la première étape pour éradiquer ce crime est de prendre conscience. Allez voir Sound of Freedom”, a ajouté Gibson.

    Le film Sound of Freedom, produit par Angel Studios, raconte l’histoire de la première mission entreprise par l’agent de sécurité américain, Tim Ballard. Après avoir libéré un garçon des mains des trafiquants, il apprend que la sœur du petit garçon est toujours retenue en captivité.

    Dans le film, l’ancien agent de sécurité prend la décision de quitter son emploi et de risquer sa propre vie en se lançant dans un périlleux voyage à travers la jungle colombienne afin de sauver la sœur du garçon.

    En 2013, Tim Ballard et un groupe d’anciens agents gouvernementaux ont démissionné de leurs fonctions pour créer Operation Underground Railroad (OUR), une organisation qui opère à l’échelle mondiale en partenariat avec les forces de l’ordre pour libérer les enfants des situations d’esclavage et d’exploitation.

    L’acteur Jim Caviezel, reconnu pour son interprétation de Jésus-Christ dans le film La Passion, assume le rôle de Ballard dans Sound of Freedom.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Kaddour Merad

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2022

    Il y a deux jours, le «comédien» Kad Merad déplorait la baisse de la fréquentation dans les salles de cinéma. Les gens ne vont plus dans les salles obscures, c'est dramatique à ses yeux, il tire la sonnette d'alarme : le cinéma français va mourir !
    Deux jours plus tard, c'est-à-dire demain, sort le film Citoyen d'honneur, avec Kad Merad. C'est l'histoire d'un écrivain algérien qui vit en France et qui souhaite s'en retourner aux sources, dans son pays d'origine.
    Voilà Kad, voilà en grande partie pourquoi le cinéma français crève : parce qu'il le mérite. Parce que vos films dégoulinants de moraline gauchiste, vos leçons de vie de bobos, vos thèmes un million de fois répétés à l'écran, on n'en peut tout simplement plus.
    Ce ne sont pas les spectateurs-déserteurs qui tuent le cinéma français, c'est vous qui, film après film, ajoutez un clou supplémentaire à son cercueil. Et bon débarras !
  • L’acteur catholique Mark Wahlberg joue le boxeur qui devient prêtre dans un nouveau film avec Mel Gibson

    Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2022

    Le film, dont la première a eu lieu mardi, suit l’histoire vraie de feu le père Stuart Long, un boxeur devenu prêtre qui, peu après son entrée dans la prêtrise, a développé une maladie musculaire inflammatoire débilitante appelée myosite à inclusions.

    Mark Wahlberg a coproduit le film et a investi son propre argent dans son financement.

    Dans une interview exclusive avec l’animateur de podcast catholique Matt Fradd, l’acteur hollywoodien a discuté de l’origine et de la réalisation du film.

    Wahlberg a expliqué qu’il avait entendu parler pour la première fois du Père Stu à un dîner avec deux prêtres qui l’encourageaient à en faire le sujet d’un film. « Quelque chose dans l’histoire venait d’attirer mon attention … et à la fin de ce dîner, je me suis engagé à faire ce film », a déclaré Wahlberg. « Je savais que cela me venait pour une raison – c’était une opportunité pour moi d’utiliser ma plate-forme et de raconter une histoire incroyable. »

     

     

    La star hollywoodienne a reconnu avoir pris de mauvaises décisions dans sa vie. Il a demandé à Dieu de lui pardonner pour « les mauvais choix [qu’il] a faits dans [son] passé », notamment en jouant dans le film Boogie Nights , un film de 1997 sur l’industrie du porno. Dans cette interview, Wahlberg a déclaré à Fradd que son nouveau film visait à encourager les gens à persévérer et à espérer en Dieu.

    « Nous faisons tous des erreurs, nous avons tous eu des problèmes, mais Dieu ne vous abandonnera jamais, alors continuez », a déclaré Wahlberg.

    Le podcasteur catholique a ensuite demandé à Wahlberg comment c’était de travailler avec son collègue acteur catholique et co-vedette Mel Gibson, et si leur foi catholique partagée avait aidé le film.

    Wahlberg a répondu que l’expérience de Gibson dans la réalisation de La Passion du Christ était d’une grande aide.

    Matt Fradd a conclu son interview en interrogeant la célébrité qui fréquente l’église sur son parcours vers la foi catholique et ce que cela signifiait pour lui.

    « J’attribue tout mon succès et toutes les choses positives et merveilleuses qui me sont arrivées personnellement et professionnellement à ma foi », a répondu l’acteur.

     

    Source : medias-presse.info

  • Non à “Cuties”!

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2020

    Non à “Cuties”!

    Nos amis de l’International Organization for Family ont lancé une pétition contre la diffusion par Netflix du film “Cuties” (littéralement “mignonnes”) qui met en scène de façon pour le moins équivoque des très jeunes filles – c’est-à-dire un film à la lisière de la pédomanie. C’est un énorme débat aux Etats-Unis, mais il serait bon que Netflix sache qu’en Europe aussi, des téléspectateurs sont écoeurés par ce type de film.

    Vous pouvez protester ici.

     

    Source : lesalonbeige

  • « Il a déjà tes yeux » : une série inspirée du film avec « un casting à 90% noir », « Le message c’est l’amour sauve de tout »

    Publié par Guy Jovelin le 12 février 2020

    Par  le 11/02/2020

    Lassé des fictions françaises désespérément blanches, le public réclame plus de diversité à la télévision. Scénaristes et producteurs s’y mettent, élargissant l’imaginaire collectif…

    Pimpante banlieue pavillonnaire, papa, maman, deux enfants. Lui est fleuriste, elle, cherche du boulot, l’aîné est archi-populaire, le cadet, super-intello. La plus banale des familles au pays des séries. A un détail près – attention, révolution ! –, les parents sont noirs ; le grand, adopté, blond, regard bleu ; le petit, tout le portrait de ses parents. En tournage pour France 2, « Il a déjà tes yeux », chronique familiale dérivée du film éponyme, un gros succès en salles, fera date. Aussi anachronique que cela paraisse face aux productions américaines, un casting à 90% noir, à la télé française, c’est tout simplement du jamais-vu.
    […]

    NouvelObs

    […]
    « Je trouve ça gentil. Je trouve ça pétri de bons sentiments. Le message c’est l’amour sauve de tout, y compris les situations les plus douloureuses et improbables. Donc, le message, évidemment, qu’il fait du bien. Je rejoins Benoît sur Aïssa Maïga. Moi, je la trouve royale quoiqu’elle fasse.

    C’est un message de tolérance, donc évidemment qu’on ne peut que souscrire à ce genre de choses.

    Après moi, je trouve ça un peu appuyé. Il y a de nombreuses invraisemblances. Il est fleuriste, elle est au chômage. Ils ont une maison en meulière dans la région parisienne. Je ne sais pas combien ça coûte, mais à mon avis, c’est totalement improbable.

    Je trouve aussi que les ressorts du scénario sont un peu usés. Par exemple, cette façon de vouloir absolument inverser les regards. Je trouve ça super bien au départ. Mais le côté il y a un garçon noir, un garçon blanc, donc le garçon noir, pour déjouer tous les clichés, c’est celui qui travaille bien à l’école. Et le petit garçon blanc, bien sûr, c’est le rebelle.
    […]

    France Inter

     
     
    Source : fdesouche