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  • Avec son bison non binaire, le dessin animé pour enfants de Netflix “Ridley Jones” se veut très “inclusif”

    Publié par Guy de Laferrière le 15 mars 2023

     « Ridley Jones : La protectrice du musée » un dessin animée très inclusif pour enfants sur Netflix qui compte un personnage non binaire et un couple de papas gais.

    Après Q-Force, le dessin animé queer pour adultes de Netflix, voici Ridley Jones : La protectrice du musée, un dessin animé pour enfants très inclusif avec un personnage non binaire et un couple de papas gays.

    Ridley Jones suit l’histoire de Ridley, une fillette de six ans qui agit en tant que gardienne du musée dans lequel elle vit, avec l’aide de sa mère et de sa grand-mère. Ridley Jones s’occupe de garder en sécurité les artefacts du musée… surtout lorsque les lumières s’éteignent et que les expositions prennent vie, des momies égyptiennes aux éléphants en fuite. Au fil des épisodes, Ridley découvre qu’être un grand leader et protecteur du musée signifie qu’il faut avoir des valeurs et respecter les autres, quelles que soient leurs différences.

    Ce dessin animé n’est pas essentiellement orienté sur des problématiques LGBTI+ mais traite quand même d’inclusion et comporte des personnages LGBTI+. Fred est un bison non binaire et Ismat, la princesse égyptienne a deux papas pharaons gais. Ses trois personnages se mêlent à merveille à l’intrigue du dessin animé pour une inclusion dès le plus jeune âge.

    Fugue via fdesouche

  • Effacement des Blancs sur Netflix : le souverain viking Haakon Sigurdsson joué par une actrice noire

    Publié par Guy Jovelin le 11 février 2021

    Vous savez probablement que la plateforme de films et série à la demande Netflix mène – avec les grands studios de cinéma américain notamment – un travail progressif d’effacement (dans l’imaginaire collectif) de l’identité blanche et de la civilisation occidentale, sans parler de pornographie omniprésente et de propagande pro-LGBT, pro-métissage, etc.

    Netflix ne s’embarrasse plus de subtilités désormais.

     « Nouvel exemple en date avec la série Vikings : Valhalla, suite de la série Vikings qui va faire les frais des tentatives de négation culturelle.

    Ainsi le jarl de Lade, Haakon Sigurdsson, sera joué par Caroline Henderson, une actrice noire.

    Non seulement historiquement, le jarl était un homme, mais bien évidemment, il était blanc.
    Surnommé le Puissant, né vers 937 à Lade et mort en 995 à Romol (aujourd’hui Melhus en Norvège), Sigurdsson exerça le pouvoir dans ce pays avec le titre de jarl jusqu’en 995.

    Synopsis de la série :
    100 ans après les premiers vikings, l’histoire de leurs descendants, parmi lesquels les légendaires Leif Erikson, Freydis, Harald Harada et William Le Conquérant, des hommes et des femmes prêts à tout pour survivre dans une Europe en pleine mutation… »

    Source BreizhInfo via contre-info

  • Non à “Cuties”!

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2020

    Non à “Cuties”!

    Nos amis de l’International Organization for Family ont lancé une pétition contre la diffusion par Netflix du film “Cuties” (littéralement “mignonnes”) qui met en scène de façon pour le moins équivoque des très jeunes filles – c’est-à-dire un film à la lisière de la pédomanie. C’est un énorme débat aux Etats-Unis, mais il serait bon que Netflix sache qu’en Europe aussi, des téléspectateurs sont écoeurés par ce type de film.

    Vous pouvez protester ici.

     

    Source : lesalonbeige

  • Cuties, le film de Netflix sexualisant les enfants, a été récompensé par un pédophile

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2020

    La campagne promotionnelle de Netflix, géant du streaming, pour le film Cuties a déclenché un tollé mondial. De l’Amérique latine à l’Inde, en passant par les Etats-Unis et l’Europe, dans toutes les langues, les réseaux sociaux ont grouillé de messages scandalisés dénonçant la sexualisation des enfants véhiculée par ce film.

    Le film Cuties (en France, le film est intitulé Mignonnes) qui bénéficie d’une énorme campagne de promotion par Netflix montre des fillettes de 11 ans dans des attitudes sexualisées, notamment au cours de danses comme le «twerk».

    Le film est “français” et co-produit par France 3 ! Il raconte l’histoire de Amy, 11 ans, une jeune musulmane sénégalaise qui vit dans un quartier pauvre de France et qui rejoint un groupe d’autres fillettes qui passent leur temps à des danse sexualisées dans des tenues indécentes.

    La description originale du film par Netflix disait : «Amy, 11 ans, est fascinée par une équipe de danse twerk. Dans l’espoir de les rejoindre, elle commence à explorer sa féminité, défiant les traditions de sa famille

    «Ce film est dégoûtant car il sexualise un enfant de ONZE ans pour le plaisir visuel des pédophiles et influence négativement nos enfants! Il n’y a pas besoin de ce type de contenu dans ce groupe d’âge, surtout lorsque le trafic sexuel et la pédophilie sont si répandus ! Il n’y a pas d’excuse, c’est un contenu dangereux », a réagi une pétition signée par des centaines de milliers de personnes.

    La réalisatrice du film, Maimouna Doucouré, dit avoir été incitée à faire le film après avoir assisté à une fête locale et avoir vu «un groupe de jeunes filles âgées d’environ 11 ans, monter sur scène et danser de manière très sensuelle en portant des vêtements très révélateurs».

    Réfléchissant à cet événement dans une interview à Cineuropa, Maïmouna Doucouré déclare: «(…) je me suis demandé si elles étaient conscientes de l’image de disponibilité sexuelle qu’elles projetaient».

    La réalisatrice se défend contre les critiques en déclarant que le film faisait partie de ses efforts pour susciter un débat sur la tendance croissante des jeunes filles à attirer un grand nombre d’adeptes des médias sociaux en publiant des photos sexualisées d’elles-mêmes en ligne.

    «J’ai vu que certaines très jeunes filles étaient suivies par 400 000 personnes sur les réseaux sociaux et j’ai essayé de comprendre pourquoi. Il n’y avait pas de raisons particulières, à part le fait qu’elles avaient posté des photos sexy ou du moins révélatrices : c’est ce qui leur avait valu cette «renommée» », déclare Doucouré.

    Mais faut-il, pour lancer un débat, en produire un film sexualisant de jeunes enfants ? Au contraire, beaucoup voient en ce film une banalisation de la sexualisation des enfants. Quantité d’enfants de par le monde, voyant ces images, seront incités à faire de même.

    Sur les réseaux sociaux, des messages du monde entier ont dénoncé le rôle de normalisation de la pédophilie joué par ce film. Sur Twitter, des hashtag très en vogue associent depuis plusieurs jours dans toutes les langues Netflix à la pédophilie.

    Devant l’ampleur des critiques, Netflix a tenté de sauver la face en modifiant sa description du film.

    La description mise à jour est en fait beaucoup plus trompeuse : «Amy, onze ans, commence à se rebeller contre les traditions de sa famille conservatrice lorsqu’elle est fascinée par une équipe de danse à l’esprit libre».

    Quelques lignes sur les réseaux sociaux ont aussi fait office de simulacre d’excuses de la part de Netflix pour tenter d’apaiser l’opinion publique.

    Et Netflix n’a aucune intention d’annuler la diffusion de ce film scandaleux.

    Netflix refuse de condamner la pédophilie

    Plus inquiétant encore, cet échange sur le Netflix Customer Service. Un utilisateur demande si Netflix soutient la pédophilie. Réponse de Netflix : «Nous ne pouvons pas vraiment commenter cela, mais alors que nous croyons en la liberté créative, chez Netflix nous respectons toutes les religions et leurs cultures, traditions et valeurs».

    Film récompensé par un pédophile

    Il faut ajouter un fait extrêmement révélateur. Le film Cuties / Mignonnes a été récompensé d’un prix décerné par le Sundance Film Festival dont le co-fondateur Sterling Van Wangenen a été condamné à six ans de prison pour pédophilie !

    Terminons par une «coïncidence» troublante. Le minable communiqué faisant office de simulacre d’excuses de Netflix était suivi sur Twitter d’un message de promotion pour la saison 5 de la série Lucifer.

     

  • Tollé mondial : Netflix diffuse pour Noël un programme « humoristique » avec Jésus-Christ ayant des mœurs contre-nature

    Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2019

    Netflix est une plate-forme de diffusion de films et séries à la demande, que ce soit ses productions ou d’autres. Cette multinationale est devenu un géant dans son domaine. Moyennant un abonnement mensuel, on peut accéder à des milliers de films et séries, avec sans cesse des nouveautés, souvent bien faites sur le plan technique.
    En France, en 2018, 22,4 % du trafic internet enregistré par les quatre principaux fournisseurs d’accès (Orange, SFR, Bouygues Telecom, Free) se faisait ainsi à destination de Netflix (en forte augmentation).

    Netflix est un piège à éviter, ainsi que son concurrent Amazon Prime, car ils diffusent énormément de productions perverses, normalisant grossièrement ou sournoisement l’homosexualité, la débauche ou encore la sorcellerie (ou présentant les démons sous des traits sympathiques).

    De plus, ils font perdre un temps fou avec leurs séries réalisées habilement pour susciter la dépendance : on passe facilement des heures par semaine à gaspiller son temps au détriment parfois des devoirs de son état et pour regarder des choses non seulement guère enrichissantes, mais aussi nuisibles à soi.

    Si’il fallait encore une raison pour ne pas s’abonner, ou pour se désabonner le cas échéant, Netflix vient de la donner à toute âme droite, en proposant une comédie « humoristique » de Noël : « The first temptation of Christ » (« la première tentation du Christ »).
    Dans ce programme brésilien, Jésus-Christ est présenté comme homosexuel et les scènes les plus révoltantes sont présentées au spectateur… Inutile d’en dire plus.

    Au Brésil une pétition hostile à ce programme blasphématoire a déjà récolté 1,5 millions de signatures et les désabonnements se multiplient à travers le monde.

    Bref, revenons aux (bons) livres.

     

    Source : contre-info