Elizabeth Tabish raconte comment le rôle de Marie-Madeleine dans « The Chosen » l’a ramenée au Christ

Publié par Guy de Laferrière le 30 janvier 2023

Auteur : Pierre-Alain Depauw

Répondant aux questions de The Catholic Weekly, l’actrice américaine de 36 ans a déclaré que son rôle dans « The Chosen » avait également été le plus gratifiant de sa carrière.

Elizabeth Tabish, l’actrice qui joue Marie-Madeleine dans la série télévisée « The Chosen« , dit que SON rôle a approfondi sa propre appréciation de la sainte qu’elle interprète et de sa relation avec Jésus-Christ.

The Chosen est une série créée, co-écrite et réalisée par Dallas Jenkins, qui dépeint la vie et le ministère de Jésus-Christ, ainsi que la vie de certains de ses plus proches disciples,.

Si la série est plutôt bien interprétée, elle n’est pas à conseiller car le scénario écrit par des protestants s’écarte dans un épisode de ce que l’Église tient de Marie, la mère du Christ (en suggérant, contrairement à la doctrine catholique, qu’elle a eu d’autres enfants après Jésus).

Cependant, on observe dans plusieurs paroisses catholiques que le succès de la série conduit une part des téléspectateurs à se rapprocher des Évangiles et de la pratique religieuse.

Elizabeth Tabish a déclaré à The Catholic Weekly :

« Ce dont je me souviens à chaque fois que je joue Marie-Madeleine, c’est l’amour profond que je ressens pour Jésus.

Être là pour soutenir son ministère, et être là pour lui à la fin quand il est crucifié puis ressuscité, est si spécial, si incroyable et écrasant que je peux à peine l’assimiler.

Dans ma propre foi et mon propre lien avec elle, cela a été très émouvant et une sorte d’expérience sacrée de pouvoir représenter quelqu’un qui était si proche de Jésus et qui l’aimait tant. »

Elevée dans la foi catholique, Elizabeth Tabish dit que travailler sur la série lui a rappelé qui est Jésus et ce qu’il a prêché.

« Chaque fois que j’entre dans une église catholique ou une cathédrale, cela me met les larmes aux yeux, il y a une couche supplémentaire de sens lorsque vous entrez et regardez autour de vous et que vous vous souvenez de toutes ces vraies personnes qui ont changé le monde. »

Bien que peu de choses soient écrites sur Marie-Madeleine dans les Évangiles et qu’elle ait fait l’objet de spéculations impies et d’incompréhensions dans d’autres représentations médiatiques, il suffit à Elisabeth Tabish de voir qu’elle est présente à des moments cruciaux de la vie de Jésus.

 

Source : medias-presse.info

La « petite fille au napalm », convertie en découvrant les souffrances du Christ

Publié par Guy Jovelin le 29 août 2022

Par Michel Janva le 29 août 2022

Le Monde a consacré un article à la Vietnamienne Kim Phuc, qui a souffert d’être réduite au statut de la « petite fille au napalm », une photo emblématique de la guerre.

Comme elle l’a détestée, cette photo ! Et comme elle en a voulu au photographe de l’avoir saisie, le 8 juin 1972, dans ce moment de souffrance et de vulnérabilité absolues, cet instant où, petite fille de 9 ans prise dans la guerre du Vietnam, elle fuit un bombardement de napalm, nue puisque ses vêtements ont été réduits en cendres, le dos, les jambes, les bras ravagés par un feu à près de 3 000 0C ! Comment était-ce possible, se disait-elle, que des journaux du monde entier aient osé publier l’image d’une enfant hurlant de douleur et d’effroi, risquant de mourir brûlée vive ? Et pourquoi, parmi des milliers de clichés illustrant la guerre, les livres d’histoire avaient-ils retenu cette photo-là, qui la figeait pour toujours en victime ? Longtemps, très longtemps, Kim Phuc a éprouvé de la colère, de l’amertume, et même, « oui, tu peux l’écrire, du désespoir ».

[…]

Et puis voilà qu’un jour, cachée dans une bibliothèque, elle s’est plongée dans le Nouveau Testament. Le caodaïsme, un syncrétisme des plus vieilles religions qui conduit à vénérer de nombreux guides spirituels, était le culte suivi par sa famille. Mais ce jour-là, elle découvrit le parcours de Jésus, « ce messager de Dieu qui avait tant souffert » , avait été frappé, injurié, torturé, et portait lui aussi des cicatrices. Elle se dit que lui seul pouvait l’aider à trouver un sens à ses propres souffrances, et elle se convertit au christianisme. Au moins se sentait-elle aimée par ce Dieu de compassion.

 

Source : lesalonbeige

Rodrigo Arenas, soutien de Mélenchon : “Si on interdit le burkini, alors il va falloir interdire aussi à Griezmann, Giroud et Messi d’aller dans une piscine car ils ont des tatouages de Jésus Christ sur le corps”

Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

Koba 18/05/2022 à 20h35

Vidéo : https://twitter.com/i/status/1526902911082680322

 

Source : fdesouche

Hollywood prépare un film blasphématoire avec l’actrice Paris Jackson pour jouer Jésus-Christ

Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2020

Auteur : Pierre-Alain Depauw

Hollywood s’apprête à sortir un nouveau film scandaleux et blasphématoire mettant en scène Jésus-Christ. Cette fois-ci, le Christ est représenté en femme qui se livre à de nombreux actes obscènes.

Intitulé Habit, ce film, met en vedette l’actrice Bella Thorne, qui représentera « une fêtarde débrouillarde en adoration devant Jésus qui se retrouve impliquée dans une affaire violente de drogue et trouve un moyen de s’en sortir en se déguisant en nonne ». Jusque-là, c’est le genre de scénario sordide dont le cinéma actuel est friand.

Mais ce film contient également des scènes dans lesquelles « Jésus Christ » est représenté par l’actrice bisexuelle Paris Jackson, fille de Michael Jackson. Les premières images du film montrent cette fille de 22 ans, un anneau dans le nez, pour incarner le Christ.

Le film est en post-production, et la probabilité qu’une pétition adressée à ses réalisateur et producteur puisse bloquer sa sortie est quasi nulle.

Si ce film devait sortir dans les salles des cinémas français, c’est sur ces cinémas qu’il faudrait exercer une pression forte.

A suivre.

 

Source : medias-presse.info

Tollé mondial : Netflix diffuse pour Noël un programme « humoristique » avec Jésus-Christ ayant des mœurs contre-nature

Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2019

Auteur : Rédaction

Netflix est une plate-forme de diffusion de films et séries à la demande, que ce soit ses productions ou d’autres. Cette multinationale est devenu un géant dans son domaine. Moyennant un abonnement mensuel, on peut accéder à des milliers de films et séries, avec sans cesse des nouveautés, souvent bien faites sur le plan technique.
En France, en 2018, 22,4 % du trafic internet enregistré par les quatre principaux fournisseurs d’accès (Orange, SFR, Bouygues Telecom, Free) se faisait ainsi à destination de Netflix (en forte augmentation).

Netflix est un piège à éviter, ainsi que son concurrent Amazon Prime, car ils diffusent énormément de productions perverses, normalisant grossièrement ou sournoisement l’homosexualité, la débauche ou encore la sorcellerie (ou présentant les démons sous des traits sympathiques).

De plus, ils font perdre un temps fou avec leurs séries réalisées habilement pour susciter la dépendance : on passe facilement des heures par semaine à gaspiller son temps au détriment parfois des devoirs de son état et pour regarder des choses non seulement guère enrichissantes, mais aussi nuisibles à soi.

Si’il fallait encore une raison pour ne pas s’abonner, ou pour se désabonner le cas échéant, Netflix vient de la donner à toute âme droite, en proposant une comédie « humoristique » de Noël : « The first temptation of Christ » (« la première tentation du Christ »).
Dans ce programme brésilien, Jésus-Christ est présenté comme homosexuel et les scènes les plus révoltantes sont présentées au spectateur… Inutile d’en dire plus.

Au Brésil une pétition hostile à ce programme blasphématoire a déjà récolté 1,5 millions de signatures et les désabonnements se multiplient à travers le monde.

Bref, revenons aux (bons) livres.

 

Source : contre-info