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Vingt à quarante adolescents venus des cités de Montpellier font une razzia sur les plages du Pont du Diable, sur le bord du fleuve Hérault. Les baigneurs sont dépouillés de biens.
Depuis ces dernières semaines, beau temps oblige, les baigneurs habitués des plages du site du Pont du Diable, sur les rives du fleuve Hérault, dans les communes d’Aniane, Saint-Guilhem-le-Désert et Saint-Jean-de-Fos, à 30 km à l’ouest de Montpellier se pressent nombreux, notamment le week-end.
Cela attire la convoitise d’une bande d’adolescents des cités de Montpellier, qui ne vient pas faire du tourisme, mais une razzia sur les effets personnels des baigneurs. Des pickpockets agiles et doués qui agissent en douceur.
Un phénomène qui se répète tous les étés. Ces mineurs sont entre vingt et quarante, se déplacent en scooter notamment et sont à l’affut : quand les personnes se mettent à l’eau, ils dérobent ni vu, ni connu, clés de voiture -puis, ils les repèrent sur les parkings proches-, téléphones portables et portefeuilles. De nombreuses plaintes ont déjà été déposées et des enquêtes de gendarmerie sont en cours.
Une fusillade a éclaté ce lundi 29 mai en fin d’après-midi à Montpellier, faisant deux blessés. Un suspect est retranché dans un appartement et le Raid est sur les lieux.
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Selon Bruno Bartoccetti, le commerçant pourrait ne pas avoir «été ciblé par hasard» lors de la fusillade puisqu’il avait déjà été agressé à l’arme blanche, il y a quelques temps. L’enquête devra également déterminer si la deuxième personne blessée est une «victime collatérale».
La fusillade aurait éclaté sur fond de trafic de stupéfiants. Quelques riverains ont indiqué à CNEWS que ce n’est pas la première fois que des faits similaires surviennent dans cette cité Saint-Martin.
Ivre et armé d’un couteau, il se masturbe devant un groupe de dix personnes dans un parc de Montpellier
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La police nationale a été requise, ce lundi 1er mai, aux alentours de 16 h 30, pour intervenir au plus vite au parc du domaine de Méric à Montpellier, par un groupe de dix personnes disant avoir été agressé par un individu ivre et armé d’un couteau.
Selon leurs explications, le mis en cause est venu crever, à l’aide d’une arme blanche, des ballons qu’ils avaient accrochés. Puis, comme si cela ne suffisait pas, il s’est masturbé devant eux et leur bébé venant gâcher leur fête.
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Après avoir outragé copieusement des policières, il a mis un coup de pied au ventre d’un fonctionnaire et tenté de mordre son collègue.
Maîtrisé non sans mal, il a été placé en garde à vue. Il s’agit d’un Ivoirien âgé de 26 ans, défavorablement connu des services de police.
Des nouvelles du maitre dont le chien a été battu à mort par trois inconnus qui voulaient le racketter, dans la nuit du mercredi à jeudi 28 avril, à Montpellier : Auprès de CNews, Jérôme* (pseudonyme de son maitre) raconte qu’il est encore profondément choqué par la brutalité et la violence gratuite dont il a été victime.
Il se sent également coupable de n’avoir pas su protéger cette chienne dont il avait la responsabilité depuis maintenant 6 mois.
Zoé (voir photo plus bas) était une chienne très gentille, très calme, qui n’aboyait jamais, et qui avait été maltraitée à sa naissance, explique-t-il. D’où son comportement plutôt craintif et sa prostration durant l’agression. C’est une collègue bureau hospitalisée qui le lui avait confié début octobre, faute de pouvoir s’en occuper, à cause de problème de santé.
Jérôme l’avait adopté et remise en forme (elle était en surpoids lorsqu’il l’avait récupérée), notamment en l’emmenant courir près de ce stade de handball, où il n’avait d’ailleurs jamais eu de problèmes avant cette agression. Jérôme raconte que Zoé est morte en partie étouffée dans sa bile, dans ses bras, juste après avoir été rouée de coups. Lorsqu’il a compris que Zoé ne reviendrait pas à la vie, il a appelé un service d’urgence vétérinaire, qui l’a alors renvoyé vers la police.
Pour se manifester auprès des forces de l’ordre, Jérôme a dû s’approcher de la route et quitter le chemin de terre où avait eu lieu l’agression, laissant ainsi le cadavre de son chien, ce qu’il a vécu comme un abandon difficile. Après les constations effectuées par les agents, Jérôme a amené Zoé à la morgue.
L’autopsie réalisée dans le cadre de l’enquête révèlerait que la chienne est décédée des suites d’une hémorragie interne et d’un choc crânien, consécutifs à des coups reçus au thorax et à la tête. Le choc émotionnel (trop d’adrénaline) pourrait également être un des facteurs de la mort. Zoé est actuellement dans une chambre froide et devrait être incinérée prochainement.
Jérôme quant à lui souffre au dos et s’est rendu ce mardi aux urgences pour être examiné. L’enquête de police avance: De sources concordantes, le t-shirt que la victime portait ce soir là est en cours d’examen dans un laboratoire de la police scientifique afin de rechercher d’éventuelles traces ADN. Faute de vidéo-surveillance, aucune image n’a pu être récupérée sur place. Voici quelques photos de Zoé, envoyées par son maitre :
29/04/2023
Chien battu à mort à Montpelliers par trois hommes qui voulaient racketter son maitre, les détails de l’affaire obtenus par CNews :
Les faits se sont déroulés dans la nuit du mercredi à jeudi 28 avril, aux alentours de minuit, à Montpellier (dans l’Hérault, 34). Après une longue journée de travail, et un diner avec sa conjointe, un homme de 29 ans, que l’on appellera Jérôme, a décidé de sortir la chienne dont il a la grade en l’emmenant faire une grande promenade dans le quartier du Plan des quatre seigneurs, à Montpellier.
La chienne, âgée de 8 ans et dénommée Zoé, est un croisement entre un Jack russel et un Epagneul breton (photo d’un chien de ce croisement plus bas: qui n’est donc pas Zoé).
Sa propriétaire, hospitalisée, en a confié à la garde à Jérôme quelques mois plus tôt. Cette nuit-là, aux alentours de 23h, Jérôme sort donc dans la rue avec l’animal de compagnie tenu en laisse, et commence à marcher. Après être passé devant la pharmacie des 4 Seigneurs, il décide de pousser la marche jusqu’au terrain de baseball pour pouvoir permettre à Zoé de gambader librement, sans sa laisse.
Là-bas, dans l’obscurité, ils font le tour du terrain, puis s’engagent dans un petit chemin de terre pour repartir. C’est alors que Zoé et son maitre croisent la route de trois individus aux intentions visiblement hostiles. L’un des trois hommes, le seul que la victime a été capable de décrire aux policiers (porteur d’une capuche et d’une fine doudoune noire, de “type nord-africain”, avec un léger accent de cité et âgé d’une vingtaine d’années), saisit Jérôme par le col et lui demande de lui donner le contenu de ses poches.
L’agresseur le fait ensuite chuter au sol, puis le palpe, pour être sûr qu’il n’a rien. Mécontent de ne rien trouver (Jérôme avait son téléphone rangé dans une poche au niveau du genou, qui n’a pas été fouillée), son agresseur le frappe alors au visage. Pendant ce temps, ses deux complices s’en prennent à la chienne, Zoé, et la rouent de coups de pieds. Ces coups semblent d’autant plus que gratuits que, selon son maitre, la chienne est restée immobile tout au long de l’agression, prostrée au sol, sans même aboyer, avant de partir se réfugier dans un coin.
Les trois voyous prennent finalement la fuite, non sans avoir lâché quelques éclats de rire, indique la victime dans son procès-verbal plainte. Dans les minutes qui suivent, la chienne décède des suites de ses blessures. Jérôme, quant à lui, a porté plainte pour violences aggravées (par une circonstance : la réunion) et pour sévices graves sur un animal domestique ayant entrainé la mort. Le préfet de l’Hérault, Hugues Moutouh, a fait part de son indignation dans un tweet, face à un « acte odieux ». Il indique que « tout est mis en œuvre pour retrouver les auteurs ». Sollicité par
Cnews, le parquet de Montpellier n’a pour le moment pas réagi.
28/04/2023
Trois jeunes ont agressé un homme de 29 ans pour lui faire les poches dans la nuit de mercredi à jeudi à Montpellier. Ils s’en sont ensuite pris à la chienne qu’il promenait. Ils ont tué la Jack Russel à coups de pieds. La police est à leur recherche.
Mercredi soir vers minuit, un homme de 29 ans promène la chienne d’une amie hospitalisée, cela faisait 6 mois qu’il en occupait. Il venait de faire une grande balade rue des 4 vents et rue du Pic Saint-Loup quartier du plan des 4 Seigneurs. Lorsqu’ il est abordé par trois hommes particulièrement agressifs qui lui demande de l’argent. Il n’a rien sur lui. Le premier le met à terre pour lui faire les poches mais il n’arrive même pas à trouver son téléphone dans son pantalon de survêtement.
La chienne n’avait pourtant manifesté aucune agressivité
Très frustré les deux autres s’en prennent à la chienne, une Jack Russel de 8 ans qui n’a pourtant pas bougé. “Zoé était prostrée” raconte l’homme agressé, “elle ne comprenait rien. Ils lui ont donné de violents coups de pied dans le thorax et sont repartis en rigolant”.L’homme a tenté de la ranimer en vain, Zoé est morte dans ses bras quelques minutes après l’agression.”
Il a déposé plainte pour violences aggravées pour les coups qu’il a lui même reçus, mais aussi pour sévices graves et actes de cruauté envers un animal domestique ayant entrainé la mort.
La rixe a eu lieu ce mercredi 19 avril vers 19 h 20, entre les arrêts Beaux-Arts et Charles-de-Gaulle (ligne 2). Après avoir subi des violences, la victime, une Montpelliéraine âgée de 30 ans, a été hospitalisée durant 48 heures. Elle s’en sort avec neuf jours d’ITT. Quant à la mise en cause, elle a pris la fuite… Témoignage.
Une jeune montpelliéraine, âgée de 30 ans, a été violemment prise à partie dans un tramway (ligne 2), ce mercredi 19 avril, vers 19 h 20, en rentrant du travail. Alors qu’elle était installée sur ces espaces qui mettent en face-à-face deux banquettes doubles, un couple est entré à l’arrêt Beaux-Arts et le monsieur a voulu s’asseoir à côté d’elle.
Détentrice d’un ordinateur portable et d’un sac à main, elle s’est dès lors poussée au maximum sur la droite, côté vitre, tout en croisant les jambes pour laisser le maximum de place possible.
Dégage, tu ne vois pas que tu gênes
“C’est là qu’une jeune femme d’une vingtaine d’années qui était assise en face de moi m’a dit : “Dégage, tu ne vois pas que tu gênes”. Je lui ai répondu qu’elle n’avait pas à me parler comme ça et que je ne pouvais pas faire plus. Et que si elle n’était pas contente, je l’invitais à laisser sa place”, confie la jeune trentenaire, encore sous le choc.
“Elle s’est levée et s’est dirigée vers l’arrière, tout en m’insultant. Puis j’ai entendu des “piapias” derrière mon dos avec d’autres jeunes filles et d’autres garçons qui lui disaient que je faisais ma belle et qui la chauffaient. J’ai alors préféré mettre mes écouteurs et passer un appel pour ne pas envenimer les choses.”
(…) “Elle m’a directement attrapée par les cheveux et a commencé à me frapper. J’ai saisi également ses cheveux pour me défendre mais elle est parvenue à me faire chuter au sol. Et là, je pense aidés par d’autres passagers, ils se sont acharnés sur moi à coups de pied. Des gens se sont interposés pour m’extraire de ce que je qualifierai de lynchage en règle.”
(…) Elle s’en sort avec neuf jours d’ITT, “sous réserve de complications” stipule le certificat médical, résultant d’un “traumatisme crânien avec perte de connaissance de quelques secondes”, associé à “un traumatisme cervical”. L’examen fait aussi état d’hématomes au niveau des membres inférieurs et supérieurs ainsi que sur le thorax. Et d’un arrachement important de cheveux.