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orléans

  • Fêtes de Jeanne d’Arc : l’un des deux pages exclu pour… royalisme

    Publié par Guy de Laferrière le 13 avril 2024

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    La commune d’Orléans annonce, vendredi 12 avril, qu’elle a décidé d’exclure des Fêtes de Jeanne d’Arc l’un des adolescents qui avait été choisi pour être l’un des deux pages de la Jeanne 2024  :

    “il est ainsi avéré que l’adolescent a participé à la diffusion d’idées contraires aux valeurs de la République, contraires aux valeurs de l’association, de la mairie, et contraires à l’esprit des Fêtes de Jeanne d’Arc”.

    “il n’est dès lors pas acceptable qu’il puisse continuer de figurer un page de Jeanne d’Arc et nous lui avons immédiatement demandé de se retirer de son rôle. Dans le souci de préserver la bonne tenue des Fêtes de Jeanne d’Arc, il a accédé à notre demande, et l’avait lui-même proposé”.

    Dans un article d’Europe 1, on apprend qu’un dossier à été constitué contre l’adolescent par un groupuscule d’extrême-gauche, et il est exclu parce que ce dossier révèle qu’il a participé à des manifestations de l’Action française.

    Pour mémoire, Jeanne d’Arc disait :

    « Je viens de la part du roi des Cieux pour faire lever le siège d’Orléans et pour conduire le roi à Reims pour son couronnement et son sacre. », Château de Chinon, 7 mars 1429

    « Je vous dis, de la part de Messire, que vous êtes vrai héritier de France et fils du roi. », 8 mars 1429

     

    Source : lesalonbeige

  • Michèle Tribalat : «En 2017, si 80 % des jeunes de moins de 18 ans sont d’origine étrangère à La Courneuve (contre 22 % en 1968) près de 37 % des jeunes Orléanais sont d’origine africaine ou turque (contre 2 % en 1968)»

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

    Michèle Tribalat: «On est passé d’une immigration de travail à une immigration fondée sur des droits»

    «La France a toujours été une terre d’immigration», a déclaré le président de la République. La notion d’immigration est relativement récente, argumente la démographe, qui retrace l’évolution du phénomène migratoire depuis 1850.

     

    (…)

    Outre les nouvelles arrivées, quel est le nombre de personnes d’origine étrangère (sur deux générations)? Quelles sont les conséquences en matière démographique?

    En combinant les données de recensement et de l’enquête Emploi, on estime à 21,5 % la proportion d’immigrés et de personnes nées en France d’au moins un parent immigré en 2020. Près d’un habitant sur dix serait d’origine africaine. L’immigration étrangère a joué un rôle majeur dans la dynamique démographique de ces dernières années. De 2014 à 2020, la population immigrée a augmenté de 134.000 par an en moyenne, quand celle des natifs ne gagnait que 80.000 personnes par an. Parmi ces derniers figurent les enfants d’immigrés. En 2020, 28,7 % des nouveau-nés ont au moins un parent né en dehors de l’UE, soit 10 points de pourcentage de plus en vingt ans. Par ailleurs, les concentrations ethniques, autrefois cantonnées en Île-de-France, Paca et Rhône-Alpes, se sont étendues à d’autres régions. En 2017, si 80 % des jeunes de moins de 18 ans sont d’origine étrangère à La Courneuve (contre 22 % en 1968), c’est aussi le cas de 47 % des jeunes à Orléans (contre 9,5 % en 1968), et près de 37 % des jeunes Orléanais sont d’origine africaine ou turque (contre 2 % en 1968).

    www.lefigaro.fr via fdesouche

  • Orléans, Rennes, Dieppe, Rouen, Mâcon : un vaste réseau d’hôteliers proxénètes démantelé par la police, 2.8 millions d’euros saisis, tous les employés de ces établissements étaient des clandestins

    Publié par Guy Jovelin le 07 juillet 2022

    C’est le Groupement d’intervention régional qui a coordonné cette affaire et mis au jour ce réseau de prostitution : près de 2,8 millions d’euros ont été saisis grâce à l’intervention d’un peu plus d’une centaine de policiers dans des hôtels à Olivet et Orléans ainsi qu’à Rennes, Rouen, Dieppe et Mâcon. 

    (…) “Les investigations permettaient d’établir que le propriétaire de l’hôtel avait mis en place un double système occulte de comptabilité et de location des chambres au profit des prostituées”, continue le communiqué.

    “Ce dernier, systématiquement associé à un second individu, détenait des hôtels dans plusieurs villes – notamment à Orléans (où plusieurs établissements ont été visés, selon nos informations), Rennes, Rouen, Dieppe et Mâcon – lesquels fonctionnaient de manière identique à celui d’Olivet.

    Des rapprochements permettaient de mettre à jour que les établissements hôteliers étaient entretenus et exploités avec de la main-d’œuvre démunie de titre de travail.” 

    Dans cette affaire, il n’est pas seulement question de la prostitution, mais c’est une vraie organisation qui est mise à jour, avec une réelle logistique d’économie souterraine.

    “Les investigations se poursuivaient à compter du mardi 15 février 2022 dans le cadre d’une information judiciaire ouverte des chefs d’escroquerie en bande organisée, recel en bande organisée, d’exécution en bande organisée d’un travail dissimulé, d’abus de biens sociaux, de vol en bande organisée, de proxénétisme aggravé commis en bande organisée, de blanchiment aggravé, d’emploi en bande organisée d’étranger non muni d’une autorisation de travail et d’aide à l’entrée ou au séjour d’un étranger en situation irrégulière.”

    (…) La Rep

    (…) Le même système a été retrouvé dans les autres hôtels que cet homme possède avec un associé, une dizaine d’établissements à Orléans, mais aussi à Rennes, Rouen, Dieppe et Mâcon. Les deux jeunes propriétaires récupéraient chaque mois l’argent en liquide placé dans un coffre-fort par les réceptionnistes, tous en situation irrégulière – de même que les femmes de ménage qui étaient employées dans les hôtels. Les prostituées elles-mêmes étaient le plus souvent de nationalité moldave ou roumaine. 

    France Bleu

  • Un commissariat de police attaqué avec des poubelles en feu à Orléans

    Publié par Guy Jovelin le 01 mars 2022

    Francois 01/03/2022 à 12h20

    Un commissariat de police attaqué avec des poubelles en feu à Orléans

    Le commissariat de police du quartier de l’Argonne, à Orléans, a été attaqué par plusieurs individus qui ont mis le feu à des poubelles placées de manière à enflammer le bâtiment, dans la soirée du 28 février. Une enquête a été ouverte.

    D’après une source proche de l’enquête, des poubelles avaient été disposées “sur les accès avant et arrière” du commissariat, dans le but vraisemblable de propager l’incendie. Aucun blessé n’est à déplorer. Officiellement, la police orléanaise confirme qu’une enquête a été ouverte et mentionne un rapport possible avec l’intensification de la présence policière sur les “points de deal” du quartier.

    france3-regions.francetvinfo.fr via fdesouche

  • À Orléans, une descendante du frère de Jeanne d’Arc incarnera la sainte de la patrie en 2022

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2022

    La nouvelle Jeanne des fêtes johanniques d’Orléans s’appelle Clotilde Forgeot d’Arc. Sélectionnée par le comité Jeanne d’Arc parmi neuf candidates, elle succède à Raphaëlle Camphuis, désignée en 2020 et Jeanne pendant deux ans après l’annulation de la 591e édition. Clotilde Forgeot d’Arc, orléanaise de 15 ans, élève en seconde au lycée Sainte Croix Saint Euverte, sera donc celle qui incarnera Jeanne d’Arc lors des festivités du 29 avril au 8 mai, aux côtés de ses deux jeunes pages Thibaut Gaborit et Paul Augustin Chompret.

    (…)

    Cadette dans une fratrie de trois enfants, Clotilde est une sportive. Après avoir pratiqué l’escrime, elle fait aujourd’hui de la natation à Saint Jean de Braye. La jeune orléanaise est aussi engagée comme seconde de patrouille aux Guides d’Europe, et participe au sein de sa paroisse, Saint-Vincent, à la formation des jeunes. “Je m’étais engagée aussi en début d’année pour rendre visite à des personnes âgées, mais avec le Covid ça n’a pas été possible”, ajoute-t-elle. Autant de cordes à son arc qui ont joué en sa faveur. Il ne lui reste plus qu’à apprendre à monter à cheval avant le traditionnel défilé.

    (…)

    Impossible, aussi, de passer à côté de son nom de famille. Car en effet, Clotilde Forgeot d’Arc est descendante de Pierre d’Arc, un frère de Jeanne d’Arc. “Elle porte un nom, mais ce n’est pas ce nom qui a déterminé notre choix. Elle est là parce qu’elle est Clotilde, pas parce qu’elle est d’Arc”, insiste la présidente du comité. Du côté de la jeune orléanaise, aussi, ce nom n’a pas déterminé son choix. “C’est vrai que quand on voit mon nom de famille, on me dit régulièrement ‘ah tu descends de Jeanne d’Arc”, s’amuse-t-elle. “Mais ce n’est pas du tout pour ça que j’ai postulé.” De son côté, son père, Benoît, y “voit un super clin d’œil de l’histoire”.

    www.francebleu.fr via fdesouche