Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2025
rennes
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Rennes : véritable scène de guerre
Ce 17 avril, à Rennes, s'est déroulée - en plein jour - une véritable scène de guerre : des tirs nourris à l’arme automatique sur un point de deal. Le genre d’image que l’on croyait réservée à Medellín ou à Rio de Janeiro. Mais non, c’est en Bretagne, au cœur de la France, que la barbarie s’installe. Car soyons clairs : ce n’est plus une insécurité diffuse, c’est une guerre de territoire. Et cette guerre, nous la perdons.Nous la perdons parce que depuis quarante ans, les gouvernements se succèdent et se ressemblent : faibles avec les forts, forts avec les faibles. Le narcotrafic prospère, porté par une immigration massive, incontrôlée, qui a importé avec elle ses réseaux, ses mœurs et sa violence. Le juge relâche quand le policier arrête. Le délinquant rit, le citoyen pleure.La République a déserté. L’État s’efface. Le laxisme judiciaire est devenu une norme. Les peines sont symboliques, la prison est devenue un centre de vacances pour la racaille et l’on s’étonne que les Kalachnikovs parlent ?Il faut un sursaut. Il faut frapper fort. Rétablir la peine de mort pour les trafiquants les plus dangereux, ceux qui tuent notre jeunesse à petit feu. Il faut des peines exemplaires, dissuasives, sans remise, sans excuse.Il faut expulser tous les délinquants étrangers et, avec eux, leurs familles complices ou complaisantes. La nationalité française ne peut être un bouclier pour ceux qui haïssent la France, les binationaux (très nombreux) en seront déchus.Il faut redonner à la police les moyens d’agir, des consignes claires de reconquête et la protection judiciaire qui va avec. Qu’ils n’aient plus peur d’intervenir. Qu’ils n’aient plus peur de faire leur travail.Et s’il le faut, créons une force d’élite, un « BOPE » à la française, une troupe formée, surarmée, déterminée à éradiquer la racaille et reprendre chaque mètre carré de notre territoire abandonné.Car sans ordre, il n’y a pas de liberté. Sans autorité, il n’y a pas de France.Thomas Joly - Président du Parti de la France -
LE SYSTÈME, POURRI, A FAIT DE LA FRANCE UN GIGANTESQUE FOUTOIR, UNE IMMENSE PÉTAUDIÈRE, LA POUBELLE DU MONDE...
Publié par Guy de Laferrière le 01 mai 2024
De L’Oriflamme Rennes :
"Le 9 avril dernier à Rennes, un enfant de 2 ans s’est fait écraser par une voiture. Personne n’a entendu parler de cette atroce histoire et pourtant, elle rappelle le cas de Mathis : le conducteur conduisait sans permis et est un Géorgien de 40 ans sous OQTF."LE SYSTÈME, POURRI, A FAIT DE LA FRANCE UN GIGANTESQUE FOUTOIR,
UNE IMMENSE PÉTAUDIÈRE,
LA POUBELLE DU MONDE...
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Rennes : le militant de l'Oriflamme condamné en octobre relaxé en appel vendredi dernier
Publié par Guy de Laferrière le 21 avril 2024
Communiqué de l'Oriflamme cliquez là :
En octobre dernier, un de nos militants était condamne a 4 mois de prison ferme, 2 900 euros d'amende et à 3 ans d'interdiction de détenir une arme. Son crime ? Avoir été le porte-parole de notre action pacifique contre la lecture réalisée par des drags queens auprès d'enfants de trois a six ans dans la médiatheque de Saint-Senoux au mois de mai 2023. Sous la pression politique, médiatique et gauchiste, le tribunal avait jugé qu'un tel affront méritait d'être puni de prison ferme.
Quand les juges reviennent à la raison. Ils balayent d'un revers de main les condamnations iniques pour délit d'opinion. Car en première instance. Rien n'était motivé en droit mais tout n'était qu'idéologie et soumission au pouvoir.
Notre militant a été entièrement relaxe de tous les chefs d'accusation a l'issue de ce procès en appel.
Il est toutefois inquiétant de constater que les intimidations de quelques gauchistes et du lobby LGBT, les articles de quelques journalistes et l'acharnement d'un procureur peuvent condamner à l'avance les militants nationalistes pour des futilités. « Le droit, c'est le royaume de l'imaginaire » disait Cioran.
Pour une manifestation pacifique de dix minutes qui ne constitue aucun délit. Comme l'atteste la cour d'appel de rennes donc. Notre militant a subi deux gardes a vue, deux procès, a et jeté en pâture a la presse et par la presse. Les Français ne constatent pas un tel acharnement contre ceux qui, en haut ou en bas, détruisent littéralement notre pays.
Finalement, gauchistes, journalistes, politiques, procureurs, tous ont voulu mettre les menottes aux poignets de notre militant afin de détruire l'oriflamme. Ils ont cru réussir : qu'ils déchantent et pleurnichent désormais.
Pour la nation, pour la civilisation.
Sur ce qu'il s'est passé en
octobre dernier à Rennes cliquez ici
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« Comme des membres de notre famille » : À Rennes, Amélie a recueilli Yaya et Abdoulaye, deux mineurs non accompagnés
Publié par Guy de Laferrière le 29 décembre 2023
Fêtes sobres et solidaires. Ils sont les oubliés de l’actualité de ces derniers mois. Ils, ce sont les migrants. En cette fin d’année 2023, des Rennais continuent de leur venir en aide. Reportage.
l fait partie de ces sujets épineux, qui peuvent susciter des débats houleux lors des réveillons de Noël et du Nouvel an. Celui de l’accueil des migrants, peut même provoquer certaines réflexions du type « tu es prêt à en recevoir chez toi ? ». Une question à laquelle cette habitante de Rennes (Ille-et-Vilaine) pourrait répondre par l’affirmatif. Car depuis maintenant près de quatre mois, Amélie Brion et sa famille accueillent Yaya et Abdoulaye, deux mineurs non accompagnés, qui étaient à la rue : « On vit à cinq dans notre 72 m². On a deux chambres, mais je ne me suis pas posé trop de questions. Mon cœur de maman a parlé. »
Une rencontre miraculeuse à Nantes
C’est en septembre dernier que les chemins d’Amélie et Yaya se sont croisés. Une rencontre fortuite…
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« La majorité est sans papiers, de différentes nationalités : afghane, ivoirienne, soudanaise » : En deux mois, une centaine de « sans-abri » de région parisienne pris en charge près de Rennes
Publié par Guy de Laferrière le 06 août 2023
19 sans-abri de la région parisienne étaient arrivés en juin 2023 à Montgermont, près de Rennes (Ille-et-Vilaine). Depuis, des nouveaux résidents ont été accueillis dans ce sas d’hébergement temporaire. Combien sont-ils ? Qu’est-il advenu d’eux ? La préfecture de Bretagne poursuit le dispositif, en déclinant les solutions dans les différents départements de la région.
La Bretagne fait partie des dix régions choisies par l’État en mai 2023 pour accueillir des sans-abri de la région parisienne. Il a identifié des locaux, renommés sas d’hébergement. L’un d’eux est à Montgermont, en bordure de Rennes (Ille-et-Vilaine).
[…]Qui sont ces résidents temporaires ?
Tous étaient à la rue, dans Paris ou en périphérie. Beaucoup d’hommes et femmes, isolées. Quelques familles avec des enfants mineurs. L’État avait promis que chacun viendrait sur la base du volontariat. « C’est vrai », confirment quatre jeunes qui sortent du sas de Montgermont. Ils ont entre 28 et 35 ans et sont originaires d’Éthiopie et d’Érythrée.
« Ici, on est en sécurité et on peut faire une demande d’asile », détaille l’un d’eux qui dormait dehors depuis plusieurs mois au camp de migrants de la Porte de La Chapelle. La majorité est sans papiers, de différentes nationalités : afghane, ivoirienne, soudanaise…
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