Publié par Guy de Laferrière le 13 février 2023
rennes - Page 2
-
Rennes : trois CRS brûlés au 1er et 2nd degrés par un cocktail Molotov jeté par des antifas lors de la manifestation contre la reformes des retraites
Source : fdesouche -
Rennes : Un hall d’immeuble criblé de 27 balles en pleine nuit à la Bellangerais
Publié par Guy de Laferrière le 17 décembre 2022
27 impacts de balles ont été relevés ce vendredi 17 décembre au matin dans un hall d’immeuble du quartier de la Bellangerais à Rennes.
La frayeur et l’inquiétude pour des habitants du quartier de la Bellangerais à Rennes. Dans la nuit de jeudi à vendredi, des tirs ont réveillés certains d’entre eux en pleine nuit. Ce vendredi matin, 27 impacts de balles ont été relevés sur l’immeuble du 6 allée d’Elven.
Les auteurs des tirs ont sollicité un riverain par interphone
Les tirs ont eu lieu peu avant une heure du matin. “Les auteurs des tirs ont sollicité un riverain par l’interphone puis ont tiré en visant le hall d’entrée” indique le parquet de Rennes. Ces tirs sont-ils liés à un trafic de stupéfiants, ou à un contentieux d’ordre privé ? Pour l’instant le mobile reste incertain. L’enquête a été confiée par le parquet à la sureté départementale.
-
Plus de 200 téléphones volés à Rennes et envoyés en Algérie : « Je n’ai pas réalisé l’ampleur »
Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2022
Le procès d’un vaste trafic de vols de téléphones, dérobés à Rennes, stockés en région parisienne et acheminés en Algérie, entre 2020 et 2021, s’est ouvert au tribunal correctionnel de Rennes, lundi 12 septembre 2022. Six hommes comparaissent, sur onze mis en examen.
-
MESSIEURS LES POLICIERS, TIREZ LES PREMIERS !
Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2022
À Rennes, un chauffard, qui refusait d'obtempérer, a foncé sur des policiers, percutant l'un d'entre eux. Les agents ont ouvert le feu pour se défendre, le conducteur a été blessé, sa passagère tuée. Nous ne sommes pas des charognards et nous ne nous réjouissons jamais des drames de ce genre, mais nous disons toujours, et nous continuerons :
MESSIEURS LES POLICIERS, TIREZ LES PREMIERS !
-
Orléans, Rennes, Dieppe, Rouen, Mâcon : un vaste réseau d’hôteliers proxénètes démantelé par la police, 2.8 millions d’euros saisis, tous les employés de ces établissements étaient des clandestins
Publié par Guy Jovelin le 07 juillet 2022
C’est le Groupement d’intervention régional qui a coordonné cette affaire et mis au jour ce réseau de prostitution : près de 2,8 millions d’euros ont été saisis grâce à l’intervention d’un peu plus d’une centaine de policiers dans des hôtels à Olivet et Orléans ainsi qu’à Rennes, Rouen, Dieppe et Mâcon.
(…) “Les investigations permettaient d’établir que le propriétaire de l’hôtel avait mis en place un double système occulte de comptabilité et de location des chambres au profit des prostituées”, continue le communiqué.
“Ce dernier, systématiquement associé à un second individu, détenait des hôtels dans plusieurs villes – notamment à Orléans (où plusieurs établissements ont été visés, selon nos informations), Rennes, Rouen, Dieppe et Mâcon – lesquels fonctionnaient de manière identique à celui d’Olivet.
Des rapprochements permettaient de mettre à jour que les établissements hôteliers étaient entretenus et exploités avec de la main-d’œuvre démunie de titre de travail.”
Dans cette affaire, il n’est pas seulement question de la prostitution, mais c’est une vraie organisation qui est mise à jour, avec une réelle logistique d’économie souterraine.
“Les investigations se poursuivaient à compter du mardi 15 février 2022 dans le cadre d’une information judiciaire ouverte des chefs d’escroquerie en bande organisée, recel en bande organisée, d’exécution en bande organisée d’un travail dissimulé, d’abus de biens sociaux, de vol en bande organisée, de proxénétisme aggravé commis en bande organisée, de blanchiment aggravé, d’emploi en bande organisée d’étranger non muni d’une autorisation de travail et d’aide à l’entrée ou au séjour d’un étranger en situation irrégulière.”
(…) Le même système a été retrouvé dans les autres hôtels que cet homme possède avec un associé, une dizaine d’établissements à Orléans, mais aussi à Rennes, Rouen, Dieppe et Mâcon. Les deux jeunes propriétaires récupéraient chaque mois l’argent en liquide placé dans un coffre-fort par les réceptionnistes, tous en situation irrégulière – de même que les femmes de ménage qui étaient employées dans les hôtels. Les prostituées elles-mêmes étaient le plus souvent de nationalité moldave ou roumaine.