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Le Parti de la France - Page 4

  • "Quand on est con, on est con !..."

    Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2025

    Dédié à SOS Racisme... "Quand on est con, on est con !..."  SOS Racisme n'a rien trouvé de plus "con" à faire que de déposer plainte pour un soi-disant racisme visant la candidate Ebony, qui a perdu la finale de Star Academy, la gagnante étant Marine (entre parenthèse, victime de propos anti-blancs, du genre "Sale Blanche de merde") !

    Pour des gens pareils, dont le cerveau est en si mauvais état, on ne peut plus rien... Comme le disait Jacques Bainville : "Il n'y a plus qu'à tirer l'échelle !..."

    Laissons donc la parole à un Brassens d'outre-tombe pour dire leur fait à ces "cons" :

     

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    Source : lafautearousseau

  • Financial Times : L’envoi de troupes en Ukraine pourrait être une «alternative» pour les États européens «à court d’argent»

    Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2025

    Le Financial Times a révélé ce 23 janvier que les discussions autour d’un éventuel déploiement de troupes européennes en Ukraine avaient repris. Si certains pays y voient une solution face à l’impasse militaire, cette proposition soulève des divisions profondes au sein de l’Europe et une vive opposition de Moscou.

    Ce 23 janvier, le Financial Times (FT) a publié un article confirmant que l’idée d’un déploiement de troupes européennes en Ukraine, initialement proposée par Emmanuel Macron, était de nouveau envisagée. «Ce projet, écarté il y a un an en raison des risques qu’il représentait, fait l’objet de discussions intensives et devrait être abordé lors d’un sommet informel de l’Union européenne début février», a précisé le quotidien britannique.

    Le rôle de ces troupes serait strictement défensif. Selon le Financial Times, elles «surveilleraient un éventuel cessez-le-feu, protégeraient les infrastructures critiques et formeraient les forces ukrainiennes». «Une force de 40 000 soldats serait suffisamment robuste pour ne pas être une cible facile et éviter un renforcement immédiat» a déclaré Camille Grand, ancien haut responsable de l’OTAN.

    Cependant, les attentes ukrainiennes sont beaucoup plus élevées. Lors du Forum économique mondial de Davos, Volodymyr Zelensky a affirmé qu’il faudrait «au minimum» 200 000 soldats pour constituer une force de dissuasion selon lui crédible. Un chiffre jugé irréaliste, relate le Financial Times, qui précise que des responsables ukrainiens estiment qu’une force de 40 000 à 50 000 hommes «pourrait être réalisable».

    «Pour les États européens à court d’argent, le déploiement de troupes pourrait également être une alternative plus réalisable que de fournir indéfiniment à l’Ukraine des milliards d’euros d’aide militaire», souligne par ailleurs le FT.

    «Les troupes européennes seraient évidemment du côté de l’Ukraine»

    Mais le soutien à cette initiative est loin d’être unanime. Selon le Financial Times, seuls les États baltes se sont montrés favorables, mais uniquement si le projet est mené avec d’autres pays européens. La Pologne, pour sa part, a exclu toute participation. «Les États frontaliers ne sont pas ceux qui devraient, en aucun cas, apparaître avec leurs troupes en Ukraine» avait déclaré au FT, plus tôt en janvier, le ministre polonais de la Défense Wladyslaw Kosiniak-Kamysz.

    Le Financial Times compare cette initiative à des missions internationales comme la KFOR au Kosovo ou la présence de forces américaines en Corée. Une présence qui diffère de celle des casques bleus de l’ONU qui doivent observer une stricte neutralité. «Les troupes européennes seraient évidemment du côté de l’Ukraine» souligne, sur ce point, le FT.

    Reuters rapporte que «la plupart des conseillers de Donald Trump soutiennent l’idée d’une zone démilitarisée surveillée par des troupes européennes». Selon l’agence, cette zone pourrait constituer une garantie de sécurité temporaire pour Kiev, tout en permettant à Washington de réduire son implication directe dans le conflit.

    «Catégoriquement inacceptable pour la Russie»

    Au-delà des réticences qu’il pourrait y avoir au sein des Parlements européens pour approuver un tel déploiement extérieur, a souligné le Financial Times, les États-Unis pourraient également refuser de fournir le soutien logistique «dont l’opération aurait besoin».

    Le déploiement de troupes occidentales en Ukraine : une initiative «catégoriquement inacceptable» pour la Russie, a encore rappelé ce 23 janvier la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova. «L’intervention des forces de l’OTAN en Ukraine fait courir le risque d’une escalade incontrôlable du conflit et est catégoriquement inacceptable pour la Russie» a déclaré la diplomate lors d’un point presse.

    «Tous ces fantasmes ne font qu’aggraver la situation et montrent que les personnes qui véhiculent de telles idées préfèrent obstinément ne pas entendre les avertissements très clairs que le président russe Vladimir Poutine a lancés publiquement à plusieurs reprises» avait déjà fustigé, début décembre, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.

    source : RT France via lesmoutonsrebelles

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2025

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  • Trump nomme Brent Bozell, néo-conservateur sioniste, à la tête d’une agence de presse américaine

    Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2025

    Trump nomme Brent Bozell, conservateur sioniste, à la tête d'une agence de presse américaine

    Le président Trump a demandé à Brent Bozell, PDG du Media Research Center, de diriger l’Agence américaine pour les médias mondiaux (USAGM), qui supervise Voice of AmericaRadio Free Europe/Radio Liberty et d’autres organisations de communication et de diffusion. Considéré comme un expert en médias, Brent Bozell est un néo-conservateur au sionisme affirmé, comme en témoigne le choix des illustrations de son compte X/Twitter.

    L’USAGM, une agence gouvernementale de médias de propagande

    « En tant que fondateur et président du Media Research Center depuis 38 ans, peu de gens comprennent mieux que Brent le paysage médiatique mondial dans la presse écrite, à la télévision et en ligne », a écrit Trump sur Truth Social.

    « Lui et sa famille se battent depuis des générations pour les principes américains de liberté, d’égalité et de justice, et il veillera à ce que ce message soit entendu par les personnes éprises de liberté du monde entier. »

    Trump nomme Brent Bozell, conservateur sioniste, à la tête d'une agence de presse américaine

    Bozell s’est dit honoré d’avoir été choisi par Donald Trump pour cette responsabilité.

    Trump nomme Brent Bozell, conservateur sioniste, à la tête d'une agence de presse américaine

    L’USAGM est une agence gouvernementale de médias de propagande créée par les États-Unis dans les années 1940 pour promouvoir les valeurs américaines à l’étranger, en grande partie à l’époque pour lutter contre la propagation du communisme.

    Diplômé de l’Université de Dallas, Bozell a créé le Media Research Center en 1987 pour observer les préjugés des médias de gauche. Mais aussi pour défendre la voix d’Israël dans le paysage médiatique.

    Bozell sera rejoint dans ses efforts par l’ancienne candidate au Sénat américain Kari Lake, que Trump a choisie pour diriger Voice of America en décembre. Lake était présentatrice de nouvelles en Arizona avant de se lancer dans la politique en commençant par se présenter au poste de gouverneur en 2022.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Quand Henri d’Orléans attaque le jeune orphelin Louis de Bourbon devant les tribunaux 

    Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2025

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    Quand Henri d’Orléans attaque le jeune orphelin Louis de Bourbon devant les tribunaux 
    Plaidoirie de Jean Foyer défenseur de Louis XX contre Henri d’Orléans (Partie 1)
    La tragédie frappe la famille royale française le 30 janvier 1989 avec la mort accidentelle d’Alphonse de Bourbon, duc d’Anjou, sur une piste de ski.
    Cette perte ouvre la voie à un conflit juridique inattendu, et quand Henri d’Orléans attaque le jeune orphelin Louis de Bourbon devant les tribunaux de la République, l’opinion publique se scandalise légitimement.
    Pour défendre Louis XX — alors adolescent âgé de seulement 14 ans — contre les agressions iniques et grotesques de la branche cadette d’Orléans, un avocat de renom entre en scène : Jean Foyer, ancien ministre de la Justice, éminent juriste et académicien.
    Sa plaidoirie s’annonce comme un moment crucial dans cette affaire qui mêle droit, histoire et traditions familiales, opposant deux branches de la famille royale française sur la question de la légitimité du titre de duc d’Anjou et du port des armoiries.