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Le Parti de la France - Page 4

  • La France n’a rien à faire dans les guerres de l’Empire américano-sioniste !

    Publié par Guy Jovelin le 28 juin 2025

    Dans la nuit du 21 au 22 juin 2025, l’Amérique de Donald Trump a lancé une nouvelle agression contre l’Iran, à la suite d’Israël, sans déclaration de guerre, en violation flagrante du droit international. L’opération « Midnight Hammer », ciblant les installations de Fordow, Ispahan et Natanz, n’a rien d’une riposte défensive : c’est une provocation, orchestrée sous influence étrangère.

    Ce scénario rappelle les frappes menées en Syrie le 14 avril 2018, elles aussi limitées, symboliques et illégales. Mais cette fois, la résistance s’organise dans le propre camp de Trump. Des figures comme Tucker Carlson, Steve Bannon, Marjorie Taylor Greene et Thomas Massie dénoncent l’influence écrasante des lobbies sionistes, chrétiens et juifs, sur la politique étrangère américaine. Tous affirment que cette guerre n’est pas celle du peuple américain. Cette opposition croissante s’inscrit dans un basculement plus profond du paysage politique américain, avec l’effacement progressif du pouvoir WASP (White Anglo-Saxon Protestant) et l’émergence de nouvelles forces idéologiques.

    Dernier exemple en date : la victoire surprise à New York du démocrate Zohran Mamdani, musulman pro-palestinien, d’origine indienne et ougandaise, militant marxiste et membre du courant Democratic Socialists of America. Proche de Bernie Sanders et d’Alexandria Ocasio-Cortez, Mamdani a remporté la primaire municipale le 24 juin 2025, sur une ligne clairement anti-impérialiste, antisioniste et communautariste. Son élection marque la fin d’un mythe : l’Amérique unifiée derrière Israël n’existe plus.

    Dans la question du nucléaire au Moyen-Orient, le deux poids deux mesures est manifeste : l’Iran, signataire du Traité de Non Prolifération (TNP) depuis 1970, coopère avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et se soumet à tous les contrôles. Le pays exploite l’énergie atomique civile sous supervision de l’AIEA (cf. la photo de la centrale de Bushehr en tête de cet article). Le chef de l’AIEA, Rafael Grossi, a déclaré à CNN le 19 juin 2025 n’avoir aucune preuve que l’Iran cherchait à se doter d’armes nucléaires, en réaction aux allégations de Netanyahu. L’AIEA avait déjà pris cette position en 2021 et 2003. Le chef de la CIA, William Burns, avait fait une déclaration similaire en 2021. En 2003, le guide de la révolution de l’Iran, l’ayatollah Ali Khamenei, a émis une fatwa interdisant les armes nucléaires, position réitérée à plusieurs reprises. L’entité sioniste, en revanche, possède clandestinement l’arme nucléaire depuis les années 1960, n’a jamais signé le TNP, et refuse tout contrôle international. Silence total des chancelleries occidentales. Quant au fameux « Dôme de Fer » israélien, présenté comme un bouclier invincible, il a montré ses failles : de nombreux missiles sont passés à travers. Le mythe d’un Israël invulnérable s’est effondré.

    Et la France, dans tout cela ? L’Iran ne nous a rien fait. Il ne menace ni notre territoire, ni notre peuple, ne contrôle pas nos médias ni nos banques. En revanche, une guerre déclenchée par l’axe américano-israélien provoquerait une nouvelle vague migratoire massive, qui viendrait s’ajouter à la submersion déjà en cours. Nous refusons que la France soit l’auxiliaire militaire d’Israël, nous refusons que notre diplomatie soit soumise à Washington, nous refusons que notre peuple paie les conséquences d’une guerre qui ne le concerne pas. La France n’est pas un satellite de Washington, elle n’a pas à se plier aux guerres décidées à Tel-Aviv, elle n’est pas une province de l’Empire.

    Depuis trop longtemps, nos gouvernements successifs se prosternent devant les intérêts et la volonté de l’Empire américain et de l’entité sioniste, hors-la-loi nucléaire, colonisateur impuni, intouchable et incritiquable. L’heure est venue de rompre avec la soumission diplomatique, de rompre avec les guerres impériales, de rompre avec le chantage moral du sionisme qui exige notre silence et notre complicité.

    La France n’a pas vocation à sacrifier ses enfants, sa paix et son avenir dans des conflits qui ne sont pas les siens. Notre diplomatie doit revenir à son socle naturel : la défense exclusive des intérêts français. Ni chair à canon pour l’Empire, ni complice des crimes d’Israël.

     

    Source : les-nationalistes

  • Les tarés du climat

    Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2025

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    Thomas Joly

    Les tarés du climat bavent de plaisir en regardant le thermomètre grimper à 35°C, comme s'ils mataient du porno ; imaginant ainsi que quelques fortes chaleurs estivales valident leur apocalypse imaginaire. Guignols.

  • Donald Trump réclame l’abandon du procès de Netanyahou, dénonçant une « chasse aux sorcières »

    Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2025

     
    Le président américain Donald Trump a une nouvelle fois fait parler de lui, cette fois en apportant un soutien appuyé à Benjamin Netanyahu. Dans un message publié le 25 juin sur sa plateforme Truth Social, Trump exige l’arrêt immédiat du procès pour corruption du Premier ministre israélien, qualifiant les poursuites d’injustifiées et motivées politiquement.

    Alors que Benjamin Netanyahu est poursuivi pour corruption, fraude et abus de confiance, Donald Trump prend publiquement sa défense. Le président américain, connu pour ses prises de position tranchées, estime que Netanyahu est victime d’un acharnement judiciaire comparable à celui qu’il dit avoir lui-même subi aux États-Unis.

    « C’est une véritable chasse aux sorcières. Pour un homme qui a tant donné à Israël, c’est tout simplement inconcevable », a écrit Trump sur Truth Social. « Ce procès devrait être annulé immédiatement. Bibi Netanyahu mérite mieux, et Israël aussi. »

    Une posture guerrière saluée

    Donald Trump a également salué la posture de son allié lors du récent conflit opposant Israël à l’Iran. Dans une guerre éclair de douze jours, les forces israéliennes – avec le soutien des États-Unis – auraient neutralisé plusieurs infrastructures nucléaires stratégiques iraniennes. Un tournant que Trump attribue au leadership de Netanyahu.

    « Netanyahu a été un véritable guerrier, sans équivalent dans l’histoire d’Israël. Grâce à lui, l’une des menaces nucléaires les plus redoutées au monde a été éliminée, » a-t-il affirmé.

    Trump a même affirmé qu’aucun autre dirigeant n’aurait pu collaborer aussi efficacement avec lui :

    « Les États-Unis ont sauvé Israël. Et maintenant, ils vont sauver Bibi. »

    Quand Trump sauve son “ennemi” Netanyahu… ?

    À première vue, ce soutien affiché de Donald Trump à Benjamin Netanyahu a de quoi surprendre. Car en coulisses, les relations entre les deux hommes sont loin d’être harmonieuses. Ce n’est un secret pour personne : Trump n’a jamais vraiment digéré que Netanyahu ait reconnu la victoire de Joe Biden en 2020. Depuis, leur entente est largement entachée de rancune. Alors, pourquoi ce revirement soudain ?

    Certains y voient un message stratégique. Car si Donald Trump sait flatter ses alliés quand cela sert ses intérêts, il n’oublie jamais d’envoyer des signaux. Et le signal ici est double : il rappelle à Netanyahu que son procès reste une épée de Damoclès, et qu’il pourrait bien être l’unique solution pour l’en sauver… à condition de coopérer.

    Le soutien affiché n’est peut-être qu’une pièce d’un jeu diplomatique plus large. Trump a déjà vécu cette fracture au sein de sa propre base : lorsqu’il a autorisé des frappes sur les sites nucléaires iraniens, une partie du mouvement MAGA l’a accusé de trahir ses engagements non-interventionnistes. Mais paradoxalement, c’est cette opération risquée qui a contribué à l’arrêt des hostilités entre l’Iran et Israël — même si la paix reste fragile et incertaine.

    Netanyahu, lui, semble engagé dans une fuite en avant. Son procès pour corruption, entamé en mai 2020, a été constamment reporté, souvent à la faveur des conflits régionaux. À chaque nouvelle escalade — que ce soit à Gaza, au Liban ou ailleurs — les audiences sont suspendues. Pour beaucoup, c’est une stratégie de survie politique : maintenir l’État d’Israël dans un état de guerre quasi-permanente pour repousser l’échéance judiciaire.

    Dès lors, le message de Trump pourrait être le suivant : « Arrête les hostilités, je peux encore t’offrir une porte de sortie. » Que ce soit via un asile politique aux États-Unis ou une pression diplomatique pour suspendre le procès, le président américain se pose en sauveur potentiel — à condition que Netanyahu cesse d’utiliser le conflit comme rempart contre la prison.

  • Le Parti de la France rappelle, plus que jamais, son attachement à la famille naturelle et traditionnelle, cellule de base de toute société.

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2025

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    Nous tenons à apporter notre total soutien au Premier ministre hongrois, Viktor Orban, qui a décidé d’interdire la « gay pride » dans son pays.
    Les dirigeants politiques qui défendent la famille et la vie face à la culture de mort doivent être plus que jamais encouragés.
    Les eurodéputés et parlementaires français qui ont fait savoir qu’il se rendraient à cette manifestation LGBT, pourtant interdite, font honte à leur mandat et à notre pays.
    Ils feraient bien mieux de défendre la France et les Français en mettant en place une vraie politique nataliste et de d’encourager la famille plutôt que de prôner sa destruction.
    Le Parti de la France rappelle, plus que jamais, son attachement à la famille naturelle et traditionnelle, cellule de base de toute société.
     
    Alexandre Simonnot - Délégué général du Parti de la France
  • Assez de cette lâcheté judiciaire : il est temps de rendre à la France une justice digne de ce nom.

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2025

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    Le 26 mai 2022, Alban Gervaise, médecin militaire, a été sauvagement assassiné à coups de couteau et égorgé devant sa petite fille de 18 mois par un nord-africain nommé Mohamed L. Un crime d’une barbarie inouïe, motivé par une haine délirante, accompagné de cris fanatiques : « Laissez-moi le finir, au nom de Dieu. C’est le diable ! » Cet acte ignoble restera impuni. Pourquoi ? Parce que le meurtrier a été déclaré pénalement irresponsable au motif qu’il était drogué et dérangé mentalement.
    Ce scandale insupportable illustre les dérives délirantes de notre justice contemporaine, qui préfère soigner les bourreaux plutôt que de rendre justice aux victimes. Un cinglé ou un drogué est-il moins coupable qu’un autre ? Depuis quand l’horreur est-elle excusée par le délire ? Pourquoi un automobiliste alcoolisé est-il condamné, mais un égorgeur « déséquilibré », non ? Pourquoi la justice s’incline-t-elle devant la pathologie mentale quand celle-ci aboutit au meurtre ?
    Le Parti de la France exige l’abrogation immédiate de ce principe d'irresponsabilité pénale, qui nie le droit à la justice pour les victimes. Un criminel, qu’il soit fou, drogué ou mineur, doit répondre de ses actes. Point final.
    Nous réclamons également le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus abominables, comme celui dont a été victime Alban Gervaise. La société doit cesser de protéger les monstres et recommencer à défendre les innocents.
    Assez de cette lâcheté judiciaire : il est temps de rendre à la France une justice digne de ce nom.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France