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Le Parti de la France - Page 4

  • Albi, sa riche histoire, ses monuments millénaires et… ses meurtres à la machette

    Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2025

    Albi, cité épiscopale des rives du Tarn où art roman et art gothique se mêlent dans un festival de tons ocre, tandis que dans les quartiers médiévaux, on admire les influences de l’époque cathare (XIIIe siècle).

    Mais c’est aussi par la grâce de décennies de gouvernements de gauche et de « droite », son envahissement par des populations exotiques et aux mœurs assez éloignées de la civilisation française…

    « Un homme est décédé tôt dimanche matin après avoir été frappé à l’arme blanche lors d’une altercation dans la boîte de nuit d’Albi, a-t-on appris de source judiciaire et policière. Le différend a éclaté vers 3h30 et s’est poursuivi à l’extérieur de cet établissement nocturne, où la victime a reçu un coup de machette, selon la source policière. » (source)
    «La victime présente au moins deux plaies par arme blanche», précise encore le parquet. L’enquête, ouverte du chef d’homicide, a permis de placer en garde à vue quatre personnes âgées de 18 à 38 ans et «ayant participé à la rixe mortelle», indique le communiqué.
    «Une autopsie sera réalisée dans les prochains jours», ajoute le parquet. (source)

    On n’a pas de détails sur le profil des suspects (est-ce nécessaire?), ni sur celui de la victime ? Est-ce un énième francocide ?
    En tout cas, la multiplication des blessures et meurtres à la machette témoigne d’un indiscutable enrichissement culturel.

     

    Source : contre-info

  • François Bayrou, le grand sage auto-proclamé de la République

    Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2025

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    Alors voilà : François Bayrou, le grand sage auto-proclamé de la République, l’inusable donneur de leçons de Pau, nous annonce la possible tenue d’un référendum sur les déficits publics et le budget. Admirable intention. Mais une question se pose immédiatement : quelle sera la question posée au peuple souverain ? Sera-t-elle limpide, intelligible ou bien faudra-t-il se coltiner un texte abscons de deux cents pages rédigé par des technocrates du ministère des Finances, que pas un citoyen — et sans doute pas même les députés — ne prendra la peine de lire ? On connaît la manœuvre : emballer une évidence dans une complexité artificielle pour mieux manipuler l’opinion. Qui, dans sa raison, voterait contre la réduction des déficits ? Personne. Et c’est bien là l’astuce. Derrière les bons sentiments, la vraie finalité pourrait bien être de préparer les esprits à de nouvelles hausses d’impôts. Car si le peuple dit oui, il donne carte blanche. Et si le peuple dit non, il sera accusé d’être irresponsable. Autrement dit : pile je gagne, face tu perds. L’entourloupe est trop grosse pour être honnête.
    Quant à Emmanuel Macron, il continue de jouer son rôle favori : celui du metteur en scène de la grande comédie démocratique. Il annonce une nouvelle Convention citoyenne, cette fois-ci sur les temps scolaires. Il faut l’avoir vu, sourire en coin, évoquer ce grand débat participatif comme une nouvelle Pentecôte républicaine. Mais on connaît la musique. Une salle filtrée, un public docile, soigneusement sélectionné par une officine hors-sol. Des heures de débats feutrés, de prises de parole calibrées, et au final… rien. Ou pire : un prétexte pour imposer une réforme décidée d’avance. Pendant que le peuple s’épuise à survivre dans un pays rongé par l’insécurité, la submersion migratoire et l’effondrement du pouvoir d’achat, le président amuse la galerie avec des discussions sur les horaires de cantine et les rythmes scolaires. Les Français demandent de l’ordre, du travail, de la justice sociale. On leur sert du théâtre.
    Bayrou et Macron sont des maîtres en enfumage. Ils ont perfectionné l’art de donner l’illusion du débat, du choix, de la participation populaire, pour mieux contourner la volonté du peuple. Et le plus triste dans cette affaire ? C’est que certains Français se laissent encore prendre au piège. À force d’être pris pour des enfants, peut-être ont-ils fini par s’y habituer.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • La nullisssime et maléfique Delphine Ernotte...

    Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2025

    La nullisssime et maléfique Delphine Ernotte... Dans La Lettre, on apprend que les caisses de France télévisions sont plombées par un déficit de 41 millions d'euros en février, réévalué à 72 millions en mars : Delphine Ernotte pourrait être prochainement inquiétée par un rapport de la Cour des comptes en cours de rédaction.

    France télévision est devenu un système corrompu avec à sa tête une impératrice hors sol dont la toute puissance est mise au service d une caste et au mépris des Français. Avec Mélanchon : "la république c’est moi !"; avec Macron : "La France c’est moi !"; avec la très à gauche Ernotte : "le service public c’est moi !"...

    ET POURTANT, C'EST NOUS QU'ON PAYE !

    Image

     

    À VIRER, D'URGENCE !

     

    Source : lafautearousseau

  • La France ne tiendrait que «quelques semaines» en cas de guerre majeure, alerte un rapport parlementaire

    Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2025

    Un rapport parlementaire tire la sonnette d’alarme sur la faiblesse des stocks de munitions en France, jugés insuffisants pour tenir plus de quelques semaines en cas de conflit de haute intensité. L’alerte relance le débat sur l’état de préparation des armées et la capacité industrielle du pays à répondre à un choc militaire majeur.

    La France ne tiendrait que « quelques semaines, au mieux » en cas de guerre de haute intensité. C’est le constat, qualifié d’« alarmant », dressé par un rapport de la commission de la Défense de l’Assemblée nationale, rendu public le 30 avril. Cité par la presse du pays, le document examine en détail les capacités de l’artillerie française dans le contexte stratégique actuel.

    Le texte met particulièrement en avant l’exemple du canon Caesar, pièce maîtresse de l’artillerie française : la France n’en dispose que de 76, alors qu’il en faudrait au moins 215 pour affronter un conflit de grande ampleur, selon les estimations des rapporteurs.

    Le rapport parlementaire déplore par ailleurs la lenteur de l’industrie de défense française à reconstituer les stocks. Les capacités de production d’obus, par exemple, sont jugées trop limitées pour répondre rapidement à une hausse des besoins.

    Stocks critiques et production lente

    Le Journal du Dimanche (JDD) rapporte que, selon le rapport, l’artillerie française ne pourrait soutenir qu’un mois et demi de combats en cas de guerre de haute intensité, en raison de stocks de munitions insuffisants. Un article du site Opex360 analyse les performances du canon Caesar et annonce le lancement d’une étude technico-opérationnelle sur son successeur en 2025.

    Cette alerte – décortique le JDD – intervient dans un contexte où la France, comme plusieurs pays européens, a privilégié depuis la fin de la Guerre froide une armée légère conçue pour des interventions courtes à l’étranger aux dépens de la préparation à des guerres de haute intensité.

    D’autres médias comme BFMTV expliquent que le conflit en Ukraine a profondément rebattu les cartes en matière de doctrine militaire, le conflit ayant mis en évidence l’importance d’une logistique robuste et de stocks massifs, nécessaires pour soutenir une guerre d’attrition.

    L’« économie de guerre » de Macron à la traîne

    Avant la publication du rapport, certains journaux comme Le Monde avaient abordé la question, soulignant que la France ne possède qu’un nombre limité de canons Caesar, dont certains ont été envoyés en Ukraine, ce qui suscite des inquiétudes quant à la capacité de l’armée française à faire face à un conflit de haute intensité.

    Malgré les annonces répétées d’Emmanuel Macron sur le passage à une « économie de guerre », les effets concrets tardent à se matérialiser, pointent d’autres médias citant des députés. Une commande d’un million d’obus au niveau européen a bien été lancée en soutien à l’Ukraine, mais elle illustre surtout la dépendance accrue à une coordination européenne encore balbutiante.

    Face à ces critiques, le ministère des Armées se veut rassurant. Cité par BFMTV, il assure que des efforts ont été engagés pour accélérer les cadences, diversifier les fournisseurs, et renforcer la résilience de la base industrielle de défense. Une loi de programmation militaire, votée en 2023, prévoit 413 milliards d’euros de budget sur sept ans.

    Source : RT