Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

massacre

  • C’était un 26 mars… 1962 : le massacre de la rue d’Isly

    Publié par Guy de Laferrière le 26 mars 2024

    Le 26 mars 1962, un traquenard diabolique ourdi par le pouvoir gaulliste et ses complices à Alger permettait d’enfermer dans une nasse les patriotes algérois venus défiler pacifiquement derrière les drapeaux français, pour protester contre le terrible blocus du quartier de Bab-el-Oued, assiégé par la Gendarmerie mobile.

    Le préfet Vitalis-Cros fit appel à l’armée pour bloquer le passage de la foule. C’est le 4e Regiment de Tirailleurs Algériens ( arabes ou berbères, qui n’avaient jamais assuré l’ordre en ville, revenus harassés après plusieurs jours de marche), qui est désigné malgré la mise en garde de son commandement prévenant que ces soldats ne sont pas préparés à une confrontation urbaine.

    Ils étaient trois mille civils non armés à défiler vers le quartier de Bab el Oued, et se retrouvèrent donc face à un barrage militaire.

    A 14h45, un lieutenant des tirailleurs vient les prévenir, ou plutôt les supplier :
    « dispersez-vous, nous avons ordre de tirer ».

    Quelques minutes après, les armes automatiques crépitent vers la foule.
    Une centaine de Français, hommes, femmes, enfants, furent abattus (certains achevés à terre) et plusieurs centaines furent blessés par les balles françaises. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.

    Ce que les Soviétiques n’ont pas osé à Budapest fin octobre 1956, les criminels gaullistes l’ont réalisé : faire tirer sur les habitants, sur les civils. Des officiers et des soldats portant l’uniforme de l’armée française ont tiré, pour réduire au silence en les tuant, des Algérois français qui voulaient rester français. Crime ineffaçable et qui souille à jamais notre armée et notre nation.

    Le gouvernement n’a jamais présenté d’excuses.

    Plus de détails sur ce site notamment.

     

    Source :contre-info

  • Massacre du 5 juillet 1962 à Oran

    Publié par Guy de Laferrière le 05 juillet 2023

    Ce matin j'ai assisté à la cérémonie en hommage aux Pieds-Noirs et Harkis massacrés le 5 juillet 1962 à Oran par des hordes sauvages, sans que l'armée de la République de l'infâme de gaulle n'intervienne.
    Cette cérémonie a été organisée par Jacmassacre,oranqueline Curato Présidente du cercle algérianiste du Tarn-et-Garonne (82)massacre,oranmassacre,oran

    massacre,oran

  • BABY BOOM !

    Publié par Guy de Laferrière le 12 juin 2023

    Christian Rol

    BABY BOOM !
    Le vrai coupable de ce massacre, c’est l’Etat français aux ordres de la Commission européenne, ce machin criminel qui ordonne la guerre contre la Russie et le carnage dans notre propre pays.
    Les Français sont « choqués », certes, mais dans un mois ils ont le cul sur une plage, au camping, dans un charter pour Beaufland ou un week-end bourgeois à l’île de Ré. Alors, comme la décapitation de Samuel Patty, les attentats du Bataclan ou Nice, tous ces faits divers quotidiens qui endeuillent leur impuissance et leur lâcheté, ces mêmes français auront oublié les enfants sacrifiés et continueront de raser les murs de leur bonne conscience. Même les flics ont peur de tirer sur un mec avec un couteau dans un jardin d’enfants ; c’est vous dire l’état mental de ce peuple…
    Il faut couper sans trembler la main qui tenait le poignard ; toutes les mains ! Des millions ! Mais, surtout, il faudrait greffer une paire de balloches aux Français, les dissuader de croire en l’ « État de droit », aux lois et à la « violence légitime » de ce même État. Ce peuple est complice et il le sait...
    C. Rol
    Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’E| CE QUE L'ON SAIT BFM TV.’
     
     
     
     
     
     
     
     

  • 28 mai… 1794 : la République massacrait encore des Français et rasait un village (et pour quel motif !)

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mai 2023

    Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.

    Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.

    Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?

    Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…

    Maignet avait alors ordonné à la commune d’indiquer les coupables et y avait envoyé le 4e bataillon de l’Ardèche, le logis et la nourriture étant aux frais des habitants. Par ailleurs, il avait ordonné l’arrestation des membres de la municipalité et du comité de surveillance, des nobles, des prêtres et de tous les suspects, « comme auteurs ou complices présumés du complot », et chargé le tribunal criminel du département d’instruire et de juger l’affaire « révolutionnairement ».

    Les coupables n’ayant pas été retrouvés, Maignet prit un second arrêté le 20 floréal (9 mai) dans lequel il ordonnait le transfert, dans les plus brefs délais, du tribunal criminel à Bédoin pour y instruire la procédure et y faire exécuter immédiatement les jugements rendus. De même, il prévint tous les habitants non détenus qu’après l’exécution des principaux coupables, ils auraient vingt-quatre heures pour quitter leur maison avec tout leur mobilier, avant que le village ne soit livré aux flammes.

    Le tribunal révolutionnaire prononce 66 condamnations à mort exécutées aussitôt par la guillotine. La population doit payer une nouvelle taxe révolutionnaire par habitant, les maisons sont incendiées, les terres agricoles stérilisées au sel, le village appelé « Bédoin l’infâme » est rayé de la carte, le reste des habitants déporté dans les villages voisins et assigné à résidence.

     

    Source : contre-info

  • massacre de la rue d'Isly à Alger

    Publié par Guy de Laferrière le 26 mars 2023

    Souvenons-nous du 26 mars 1962
    Massacre de la rue d'Isly à Alger