Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

massacre

  • La vermine mondialiste devra rendre des comptes.

    Publié par Guy de Laferrière le 04 août 2024

    454003970_806620821653523_6160046007072749213_n.jpg

    Thomas Joly, Président du Parti de la France : « Alors que les Anglais expriment dans la rue leur légitime colère face au énième massacre commis par un étranger extra-européen (10 fillettes poignardées à Southport par un Rwandais), la répression de l'État cosmopolite est la même qu'en France.
    Des tribunaux d'exception ont été mis en place 24h sur 24 pour condamner les « émeutiers » (ça rappellera des souvenirs aux Gilets Jaunes), la police cogne allègrement sur les Britanniques et laisse des musulmans armés agresser les manifestants.
    Une lutte sans merci doit s'engager contre cette engeance mondialiste qui détruit les peuples et les Nations partout en Europe. Et la vermine mondialiste devra rendre des comptes. »
     
    Peut être une image de 5 personnes, foule et texte
     
     
     
     
     
     
     
  • C’était un 16 juillet : le massacre de la famille impériale russe par les communistes

    Publié par Guy de Laferrière le 16 juillet 2024

    Dans la nuit du 16 au 17 juillet, en 1918, les communistes massacraient la famille impériale russe (11 personnes, dont la plus jeune avait 12 ans), à Iekaterinbourg.

    C’était le crime fondateur du communisme – comme l’assassinat du couple royal français l’avait été pour la Révolution – et il en annonçait bien d’autres…

    « Les tirs ont lieu à bout portant. Iourovski aurait levé son arme et tiré sur Nicolas, qui meurt sur le coup. Les autres bourreaux tirent jusqu’à ce que toutes les victimes tombent. Le tsarévitch rampe vers la porte, le commissaire bolchevik Peter Ermakov lui défonce le crâne à coups de baïonnette. Les dernières survivantes (Anastasia, Tatiana, Olga, et Maria dont les diamants cousus dans leurs vêtements leur ont servi un temps de gilet pare-balle) sont exécutées tout aussi sauvagement, car leurs cris pouvaient être entendus à l’extérieur. » (source)

    Les responsabilités de ce crime barbare ne sont pas précisément établies. Trotsky écrira que l’ordre venait de Lénine lui-même.
    La piste du crime rituel juif est étudiée très sérieusement, depuis peu, par la justice russe elle-même.

     

    Source : contre-info

  • 28 mai… 1794 : la République massacrait encore des Français et rasait un village (et pour quel motif !)

    Publié par Guy de Laferrière le 28 mai 2024

    Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.

    Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.

    Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?

    Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…

    Maignet avait alors ordonné à la commune d’indiquer les coupables et y avait envoyé le 4e bataillon de l’Ardèche, le logis et la nourriture étant aux frais des habitants. Par ailleurs, il avait ordonné l’arrestation des membres de la municipalité et du comité de surveillance, des nobles, des prêtres et de tous les suspects, « comme auteurs ou complices présumés du complot », et chargé le tribunal criminel du département d’instruire et de juger l’affaire « révolutionnairement ».

    Les coupables n’ayant pas été retrouvés, Maignet prit un second arrêté le 20 floréal (9 mai) dans lequel il ordonnait le transfert, dans les plus brefs délais, du tribunal criminel à Bédoin pour y instruire la procédure et y faire exécuter immédiatement les jugements rendus. De même, il prévint tous les habitants non détenus qu’après l’exécution des principaux coupables, ils auraient vingt-quatre heures pour quitter leur maison avec tout leur mobilier, avant que le village ne soit livré aux flammes.

    Le tribunal révolutionnaire prononce 66 condamnations à mort exécutées aussitôt par la guillotine. La population doit payer une nouvelle taxe révolutionnaire par habitant, les maisons sont incendiées, les terres agricoles stérilisées au sel, le village appelé « Bédoin l’infâme » est rayé de la carte, le reste des habitants déporté dans les villages voisins et assigné à résidence.

     

    Source : contre-info

  • Massacre de trois agents pénitentiaires

    Publié par Guy de Laferrière le 15 mai 2024

    443711981_1101826484434046_1663871798656977345_n.jpg

  • C’était un 26 mars… 1962 : le massacre de la rue d’Isly

    Publié par Guy de Laferrière le 26 mars 2024

    Le 26 mars 1962, un traquenard diabolique ourdi par le pouvoir gaulliste et ses complices à Alger permettait d’enfermer dans une nasse les patriotes algérois venus défiler pacifiquement derrière les drapeaux français, pour protester contre le terrible blocus du quartier de Bab-el-Oued, assiégé par la Gendarmerie mobile.

    Le préfet Vitalis-Cros fit appel à l’armée pour bloquer le passage de la foule. C’est le 4e Regiment de Tirailleurs Algériens ( arabes ou berbères, qui n’avaient jamais assuré l’ordre en ville, revenus harassés après plusieurs jours de marche), qui est désigné malgré la mise en garde de son commandement prévenant que ces soldats ne sont pas préparés à une confrontation urbaine.

    Ils étaient trois mille civils non armés à défiler vers le quartier de Bab el Oued, et se retrouvèrent donc face à un barrage militaire.

    A 14h45, un lieutenant des tirailleurs vient les prévenir, ou plutôt les supplier :
    « dispersez-vous, nous avons ordre de tirer ».

    Quelques minutes après, les armes automatiques crépitent vers la foule.
    Une centaine de Français, hommes, femmes, enfants, furent abattus (certains achevés à terre) et plusieurs centaines furent blessés par les balles françaises. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.

    Ce que les Soviétiques n’ont pas osé à Budapest fin octobre 1956, les criminels gaullistes l’ont réalisé : faire tirer sur les habitants, sur les civils. Des officiers et des soldats portant l’uniforme de l’armée française ont tiré, pour réduire au silence en les tuant, des Algérois français qui voulaient rester français. Crime ineffaçable et qui souille à jamais notre armée et notre nation.

    Le gouvernement n’a jamais présenté d’excuses.

    Plus de détails sur ce site notamment.

     

    Source :contre-info