Publié par Guy de Laferrière le 05 juillet 2023
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Massacre du 5 juillet 1962 à Oran
Ce matin j'ai assisté à la cérémonie en hommage aux Pieds-Noirs et Harkis massacrés le 5 juillet 1962 à Oran par des hordes sauvages, sans que l'armée de la République de l'infâme de gaulle n'intervienne.Cette cérémonie a été organisée par Jacqueline Curato Présidente du cercle algérianiste du Tarn-et-Garonne (82) -
BABY BOOM !
Publié par Guy de Laferrière le 12 juin 2023
Christian Rol
BABY BOOM !Le vrai coupable de ce massacre, c’est l’Etat français aux ordres de la Commission européenne, ce machin criminel qui ordonne la guerre contre la Russie et le carnage dans notre propre pays.Les Français sont « choqués », certes, mais dans un mois ils ont le cul sur une plage, au camping, dans un charter pour Beaufland ou un week-end bourgeois à l’île de Ré. Alors, comme la décapitation de Samuel Patty, les attentats du Bataclan ou Nice, tous ces faits divers quotidiens qui endeuillent leur impuissance et leur lâcheté, ces mêmes français auront oublié les enfants sacrifiés et continueront de raser les murs de leur bonne conscience. Même les flics ont peur de tirer sur un mec avec un couteau dans un jardin d’enfants ; c’est vous dire l’état mental de ce peuple…Il faut couper sans trembler la main qui tenait le poignard ; toutes les mains ! Des millions ! Mais, surtout, il faudrait greffer une paire de balloches aux Français, les dissuader de croire en l’ « État de droit », aux lois et à la « violence légitime » de ce même État. Ce peuple est complice et il le sait...C. Rol -
28 mai… 1794 : la République massacrait encore des Français et rasait un village (et pour quel motif !)
Publié par Guy de Laferrière le 29 mai 2023
Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.
Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.
Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?
Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…
Maignet avait alors ordonné à la commune d’indiquer les coupables et y avait envoyé le 4e bataillon de l’Ardèche, le logis et la nourriture étant aux frais des habitants. Par ailleurs, il avait ordonné l’arrestation des membres de la municipalité et du comité de surveillance, des nobles, des prêtres et de tous les suspects, « comme auteurs ou complices présumés du complot », et chargé le tribunal criminel du département d’instruire et de juger l’affaire « révolutionnairement ».
Les coupables n’ayant pas été retrouvés, Maignet prit un second arrêté le 20 floréal (9 mai) dans lequel il ordonnait le transfert, dans les plus brefs délais, du tribunal criminel à Bédoin pour y instruire la procédure et y faire exécuter immédiatement les jugements rendus. De même, il prévint tous les habitants non détenus qu’après l’exécution des principaux coupables, ils auraient vingt-quatre heures pour quitter leur maison avec tout leur mobilier, avant que le village ne soit livré aux flammes.
Le tribunal révolutionnaire prononce 66 condamnations à mort exécutées aussitôt par la guillotine. La population doit payer une nouvelle taxe révolutionnaire par habitant, les maisons sont incendiées, les terres agricoles stérilisées au sel, le village appelé « Bédoin l’infâme » est rayé de la carte, le reste des habitants déporté dans les villages voisins et assigné à résidence.
Source : contre-info
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massacre de la rue d'Isly à Alger
Publié par Guy de Laferrière le 26 mars 2023
Souvenons-nous du 26 mars 1962
Massacre de la rue d'Isly à Alger -
Dinan (Côtes-d’Armor) : une lesbienne en massacre une autre devant un enfant de cinq ans
Publié par Guy de Laferrière le 14 mars 2023
Actu.fr nous en dit plus :
“Une dispute a viré au drame, vendredi 10 mars 2023 dans le pavillon d’un quartier tranquille de Dinan-Léhon.
Vers 21 heures, les gendarmes ont été appelés pour intervenir suite à une violente dispute entre deux femmes, qui avait éclaté à l’extérieur de la maison. Un enfant de 5 ans, qui s’est révélé être le fils de la victime, avait été mis à l’abri après avoir assisté à une première scène de violence.
Lorsqu’ils se présentent sur les lieux, les militaires « entendent des appels au secours à l’intérieur de la maison », indique le procureur de la république de Saint-Malo dans un communiqué publié ce dimanche 12 mars.
Ils parviennent à rentrer et font face à une femme qui tenait contre elle à bout de bras une autre femme grièvement blessée.
La victime, jeune mère de famille de 28 ans, est décédée suite à plusieurs coups de couteau au niveau du thorax, de l’avant-bras et du cou.
L’auteur de cet homicide était la compagne de la victime depuis environ 2 mois. Elle doit être présentée au parquet de Rennes dans la journée en vue d’une mise en examen pour homicide volontaire.
Quant au petit garçon de 5 ans, qui a été en partie témoin du drame, il a été transporté à la demande du procureur au service des urgences pédiatriques du centre hospitalier de Saint-Malo, où il a pu bénéficier d’une prise en charge.”