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communistes

  • Lundi à Scrignac (29) : un hommage à l'abbé Yann-Vari Perrot, assassiné par les communistes en 1943

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mai 2023

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    La cérémonie sur la tombe de l'abbé Perrot (photo Breizh Info)

    En assassinant lâchement, le 12 décembre 1943, sur un chemin creux aux pieds des Monts d'Arrée, l'abbé Yann-Vari Perrot, recteur de la paroisse de Scriniac et fondateur du mouvement culturel breton Bleun-Brug (Fleurs de Bruyère), Jean Thépaut, le terroriste communiste auteur du crime, ne se doutait certainement pas que, 80 ans plus tard, en ce 1er mai ensoleillé de 2023, plus d'une centaine de Bretons (et aussi de non-Bretons), parmi lesquels de nombreux jeunes, rendraient, comme chaque année, un bel hommage à sa victime.  

    En effet, c'est dans une ambiance recueillie au moment de la messe, conviviale pendant le pic-nique, studieuse lors des conférences et festives grâce aux sonneurs de biniou et aux démonstrations de danses traditionnelles que s'est déroulée cette journée du Souvenir autour de la chapelle de Coat-Kéo (édifiée en 1935 par le célèbre architecte breton James Bouillé), là où repose l'abbé. Sans oublier l'émouvant dépôt d'une gerbe le matin à la Croix rouge, lieu du crime.

    Admirablement organisée par Anne Floc'h, Youenn et Efflam Caouissin, cet hommage rendu à celui qui a consacré sa vie à la renaissance de la culture et la langue bretonnes fut exemplaire. Il prouve que, malgré le rouleau compresseur du prêt à penser, les idées et l'action de l'abbé Perrot sont toujours bien vivantes en Bretagne.

    Notre Ami Youenn Caouissin, rappela, dans son intervention, l'oeuvre de celui dont il défend sans relâche la Mémoire. En 2020, il a écrit dans notre revue Synthèse nationale (n°55, automne 2020) un article allant dans ce sens cliquez ici. Il est aussi l'auteur de plusieurs livres sur le sujet édités par Via Romana cliquez là.

    Roland Hélie

    Lire aussi l'article de Breizh infos cliquez là

    abbé yann-vari perrot,communistes,hommage,scrignac (29)

  • C’était un 6 novembre : la « Révolution d’octobre »

    Publié par Guy de Laferrière le 06 novembre 2022

    La prise du Palais d'Hiver en octobre 1917
    La prise du Palais d’Hiver en octobre 1917

    Dans la nuit du 6 au 7 novembre 1917, les bolcheviques s’emparent des principaux centres de décision de la capitale russe, Petrograd (anciennement Saint-Pétersbourg).
    Dans la terminologie bolchevique (on dira plus tard communiste), ce coup de force sans véritable soutien populaire est baptisé « Révolution d’Octobre » car il s’est déroulé dans la nuit du 25 au 26 octobre selon le calendrier julien en vigueur dans l’ancienne Russie jusqu’au 14 février 1918.

    « Jamais une échauffourée de si petite envergure (une dizaine de morts, d’après les historiens soviétiques) n’a eu des conséquences aussi prodigieuses, et une fois de plus, le sort de la capitale décida de celui du pays tout entier », écrit Léon Poliakov.

    Avec seulement quelques milliers d’activistes et une préparation au grand jour, les communistes – farouchement déterminés – arrivent à prendre le pouvoir dans un empire de 130 millions de personnes.

    Avis aux amateurs…

     

    Source : contre-info

  • Endoctriner les enfants le plus tôt possible

    Publié par guy Jovelin le 09 juin 2022

    Endoctriner les enfants le plus tôt possible

    Lu sur IFN :

    Après avoir pris violemment le contrôle de la Russie en 1917, Vladimir Lénine et ses camarades communistes savaient ce qu’ils devaient faire ensuite pour assurer leur victoire : endoctriner les enfants russes le plus tôt possible dans l’idéologie communiste. Comme Lénine l’a dit : “Donnez-moi quatre ans pour enseigner aux enfants et la graine que j’ai semée ne sera jamais déracinée.” (Il a également dit : “Donnez-moi une seule génération de jeunes, et je transformerai le monde entier.”)

    Les militants LGBT comprennent la sagesse des mots de Lénine et font tout ce qu’ils peuvent pour endoctriner nos enfants le plus tôt possible dans leur idéologie LGBT radicale. La preuve en est partout. Par exemple, l’entreprise “familiale” Disney s’oppose activement à une nouvelle loi de Floride qui interdit aux enseignants d’endoctriner les élèves dès l’âge de cinq ans dans l’idéologie LGBT. Le fabricant de jouets Mattel commercialise des figurines de drag queens et des poupées Barbie transgenres auprès de très jeunes enfants. Target est fier de vendre des vêtements pour bébés et jeunes enfants sur le thème des LGBT. Le week-end dernier, un bar gay de Dallas, au Texas, a organisé un spectacle de travestis “familial” destiné aux enfants et intitulé “Drag Your Kids to Pride”. Lors de l’événement, des enfants ont lancé des billets de banque à des drag queens en tenue légère et sont montés sur scène avec elles. Une enseigne au néon portant l’inscription : “Ça ne va pas se lécher tout seul” était bien en vue sur les lieux. Je ne sais pas contre qui nous devrions être le plus en colère : le bar gay pour avoir organisé cet événement ou les parents dérangés qui y ont emmené leurs enfants.

     

    Ce qui ressort de tous ces efforts de conditionnement, c’est la tentative d’endoctriner les enfants le plus tôt possible. (En effet, les figurines de drag queen de Mattel sont destinées aux enfants dès l’âge d’un an). Pourquoi le lobby LGBT cible-t-il les jeunes enfants ? Parce que les militants LGBT veulent capturer l’esprit des enfants avant que la raison et l’expérience ne les amènent à remettre en question et à rejeter l’idéologie LGBT incohérente et débauchée.

     

    Source : lesalonbeige

  • C’était un 6 novembre : la « Révolution d’octobre »

    Publié par Guy Jovelin le 06 novembre 2021

    La prise du Palais d'Hiver en octobre 1917
    La prise du Palais d’Hiver en octobre 1917

    Dans la nuit du 6 au 7 novembre 1917, les bolcheviques s’emparent des principaux centres de décision de la capitale russe, Petrograd (anciennement Saint-Pétersbourg).
    Dans la terminologie bolchevique (on dira plus tard communiste), ce coup de force sans véritable soutien populaire est baptisé « Révolution d’Octobre » car il s’est déroulé dans la nuit du 25 au 26 octobre selon le calendrier julien en vigueur dans l’ancienne Russie jusqu’au 14 février 1918.

    « Jamais une échauffourée de si petite envergure (une dizaine de morts, d’après les historiens soviétiques) n’a eu des conséquences aussi prodigieuses, et une fois de plus, le sort de la capitale décida de celui du pays tout entier », écrit Léon Poliakov.

    Avec seulement quelques milliers d’activistes et une préparation au grand jour, les communistes – farouchement déterminés – arrivent à prendre le pouvoir dans un empire de 130 millions de personnes.

    Avis aux amateurs…

     

    Source : contre-info

  • Un député espagnol brandit le crucifix de son grand-oncle, massacré par les communistes

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2020

    Un député espagnol brandit le crucifix de son grand-oncle, massacré par les communistes

    Lors du débat sur le projet de loi de finance pour 2021, en Espagne, le député Vox Francisco José Contreras a brandi un crucifixIl s’agit de celui porté par son grand-oncle, prêtre, Rafael Contreras Leva (1901-1936), assassiné à la hache par les communistes au début de la guerre civile.

    Le gouvernement espagnol a entamé un processus pour réformer la loi sur la mémoire. Cette réforme comprend notamment l’expulsion de l’Ordre des Bénédictins de la Vallée des morts, qui existe depuis 1957. Le projet de loi sur la mémoire vise à interdire la Fondation Francisco Franco, à enseigner une nouvelle matière dans les écoles “sous le paradigme de” ne plus jamais “perdre nos libertés”, créer un Parquet spécifique pour «réparer les victimes», payer avec des fonds publics l’exhumation des victimes du régime franquiste des fosses communes, et annuler les procès du régime franquiste.

    Le député Contreras a critiqué le financement de cette soi-disant mémoire historique, loi révisionniste de la gauche espagnole, pour manipuler l’histoire de l’Espagne depuis la guerre civile. Le député de Vox a appelé à tourner la page et à laisser l’histoire à sa place.

    Le père Rafael Contreras est l’un des 127 martyrs catholiques de cette guerre dont la béatification a été approuvée par le pape François le 23 novembre.

     
     
    Source : lesalonbeige