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communistes - Page 2

  • C’était un 16 juillet : le massacre de la famille impériale russe par les communistes

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2020

    Dans la nuit du 16 au 17 juillet, en 1918, les communistes massacraient la famille impériale russe (11 personnes, dont la plus jeune avait 12 ans), à Iekaterinbourg.

    C’était le crime fondateur du communisme – comme l’assassinat du couple royal français l’avait été pour la Révolution- et il en annonçait bien d’autres…

    « Les tirs ont lieu à bout portant. Iourovski aurait levé son arme et tiré sur Nicolas, qui meurt sur le coup. Les autres bourreaux tirent jusqu’à ce que toutes les victimes tombent. Le tsarévitch rampe vers la porte, le commissaire bolchevik Peter Ermakov lui défonce le crâne à coups de baïonnette. Les dernières survivantes (Anastasia, Tatiana, Olga, et Maria dont les diamants cousus dans leurs vêtements leur ont servi un temps de gilet pare-balle) sont exécutées tout aussi sauvagement, car leurs cris pouvaient être entendus à l’extérieur. » (source)

    Les responsabilités de ce crime barbare ne sont pas précisément établies. Trotsky écrira que l’ordre venait de Lénine lui-même.
    La piste du crime rituel juif est étudiée très sérieusement, depuis peu, par la justice russe elle-même.

     

    Source : contre-info

  • "Miracle de Noël" : grâce à la grève, on se souvient subitement que cela existe...

    Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2019

    creche-de-noel-complete-saint-victor_39594_3.jpg

    cgt,communistes,noël

    Thomas Joly, Président du Parti de la France

    Il aura fallu les communistes de la CGT pour redonner vie au mot de "Noël" qui avait disparu au profit de sombres vacances d’hiver nettement laïcardes.

    Depuis que les grévistes bloquent les trains, les métros, les tramways et les bus, médias et hommes politiques ne parlent plus que de Noël. Même le Premier ministre et le président de la République ont retrouvé l’usage de ce mot magique depuis deux millénaires.

    « Happy Christmas », se souhaitent les Anglo-Saxons, façon très explicite de se rappeler qu’en ce jour du 25 décembre, on célèbre la naissance du Christ, n’en déplaise à tous ceux qui refusent l’existence de ce petit enfant né il y a 2.000 ans !

    Alors, au lieu de nous souhaiter de « joyeuses fêtes » que nous devrions réserver au 31 décembre, que notre Président veuille bien, le soir du 24 décembre, avant la messe télévisée de minuit, nous souhaiter un joyeux Noël. Et que nos radios recommencent, car elles ne le font plus depuis belle lurette, à nous inonder de chants de Noël comme le font la plupart des autres radios au-delà de nos frontières.

  • Chine communiste : 70, pour 70 ans et 70 millions de morts !

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2019 

    L'empire européen des héritiers directs de la Révolution française, de sa Terreur et de son Génocide, de son Totalitarisme politico/religieux messianique a fait naufrage en URSS, redevenue Russie, et en Europe de l'Est, et c'est tant mieux.

    Mais le marxisme-léninisme perdure, toujours oppresseur, en Chine, en Corée, au Viet-Nam, à Cuba... même s'il n'est idéologiquement plus qu'une coquille vide et qu'il n'a gardé que les formes répressives extérieures du communisme, les plus efficaces jamais inventées au monde : Xi Jin Ping est bien le nouvel Empereur de Chine et pas plus "communiste" que vous et moi.

    Pourtant, parmi les commentateurs, bien peu sont ceux qui ont rappelé les 70 millions de morts de Mao et de ses héritiers : Gilles Bouleau l'a fait au JT d'hier soir, sur TF1, c'est à noter. 

    Les autres ? Ils sont douillettement installés dans le doux conformisme du "chaos figé des conservateurs du désordre", qui a succédé au "chaos explosif des révolutionnaires", selon l'excellente formule de Gustave Thibon; c'est-à-dire que, pour parler clair, les révolutionnaires français, pères des russes qui n'ont que prétendu améliorer leurs "performances" (!) sont toujours au pouvoir à Paris, même si c'est sous la forme apparemment policée d'un Emmanuel Macron : comment pourraient-ils condamner à Pékin ce qu'ils sont à Paris, sous la forme douce, dont parlait Tocqueville ?

    Oui, il est difficile à un père de désavouer ses enfants : comment notre République idéologique, révolutionnaire, totalitaire, Nouvelle Religion républicaine, pourrait-elle condamner un régime communiste en Chine qui, même s'il n'est plus communiste que dans la forme, n'en reste pas moins son fils spirituel direct ?

    Robespierre et sa clique de terroristes sont morts, une partie de leurs enfants aussi (ex-URSS et Europe de l'Est) mais une autre  partie de leurs enfants court toujours; elle est hélas toujours bien vivante, et toujours malfaisante, hélas pour les peuples qui supportent la monstruosité d'une idéologie venue tout droit de... Paris !

     

    Source : lafautearousseau

  • C’était un 16 juillet : le massacre de la famille impériale russe par les communistes

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2019

    Dans la nuit du 16 au 17 juillet, en 1918, les communistes massacraient la famille impériale russe (11 personnes, dont la plus jeune avait 12 ans), à Iekaterinbourg.

    C’était le crime fondateur du communisme – comme l’assassinat du couple royal français l’avait été pour la Révolution- et il en annonçait bien d’autres…

    « Les tirs ont lieu à bout portant. Iourovski aurait levé son arme et tiré sur Nicolas, qui meurt sur le coup. Les autres bourreaux tirent jusqu’à ce que toutes les victimes tombent. Le tsarévitch rampe vers la porte, le commissaire bolchevik Peter Ermakov lui défonce le crâne à coups de baïonnette. Les dernières survivantes (Anastasia, Tatiana, Olga, et Maria dont les diamants cousus dans leurs vêtements leur ont servi un temps de gilet pare-balle) sont exécutées tout aussi sauvagement, car leurs cris pouvaient être entendus à l’extérieur. » (source)

    Les responsabilités de ce crime barbare ne sont pas précisément établies. Trotsky écrira que l’ordre venait de Lénine lui-même.
    La piste du crime rituel juif est étudiée très sérieusement, depuis peu, par la justice russe elle-même.

     

    Source : contre-info