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famille impériale russe

  • C’était un 16 juillet : le massacre de la famille impériale russe par les communistes

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2020

    Dans la nuit du 16 au 17 juillet, en 1918, les communistes massacraient la famille impériale russe (11 personnes, dont la plus jeune avait 12 ans), à Iekaterinbourg.

    C’était le crime fondateur du communisme – comme l’assassinat du couple royal français l’avait été pour la Révolution- et il en annonçait bien d’autres…

    « Les tirs ont lieu à bout portant. Iourovski aurait levé son arme et tiré sur Nicolas, qui meurt sur le coup. Les autres bourreaux tirent jusqu’à ce que toutes les victimes tombent. Le tsarévitch rampe vers la porte, le commissaire bolchevik Peter Ermakov lui défonce le crâne à coups de baïonnette. Les dernières survivantes (Anastasia, Tatiana, Olga, et Maria dont les diamants cousus dans leurs vêtements leur ont servi un temps de gilet pare-balle) sont exécutées tout aussi sauvagement, car leurs cris pouvaient être entendus à l’extérieur. » (source)

    Les responsabilités de ce crime barbare ne sont pas précisément établies. Trotsky écrira que l’ordre venait de Lénine lui-même.
    La piste du crime rituel juif est étudiée très sérieusement, depuis peu, par la justice russe elle-même.

     

    Source : contre-info

  • C’était un 16 juillet : le massacre de la famille impériale russe par les communistes

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2019

    Dans la nuit du 16 au 17 juillet, en 1918, les communistes massacraient la famille impériale russe (11 personnes, dont la plus jeune avait 12 ans), à Iekaterinbourg.

    C’était le crime fondateur du communisme – comme l’assassinat du couple royal français l’avait été pour la Révolution- et il en annonçait bien d’autres…

    « Les tirs ont lieu à bout portant. Iourovski aurait levé son arme et tiré sur Nicolas, qui meurt sur le coup. Les autres bourreaux tirent jusqu’à ce que toutes les victimes tombent. Le tsarévitch rampe vers la porte, le commissaire bolchevik Peter Ermakov lui défonce le crâne à coups de baïonnette. Les dernières survivantes (Anastasia, Tatiana, Olga, et Maria dont les diamants cousus dans leurs vêtements leur ont servi un temps de gilet pare-balle) sont exécutées tout aussi sauvagement, car leurs cris pouvaient être entendus à l’extérieur. » (source)

    Les responsabilités de ce crime barbare ne sont pas précisément établies. Trotsky écrira que l’ordre venait de Lénine lui-même.
    La piste du crime rituel juif est étudiée très sérieusement, depuis peu, par la justice russe elle-même.

     

    Source : contre-info