Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2021
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Alger 26 mars 1962
Alger 26 Mars 1962 où l 'armée française tire sur des Français et sur le drapeau français taché du sang françaisUne pensée pour nos proches lâchement massacréspar des balles françaises. -
C’était un 16 juillet : le massacre de la famille impériale russe par les communistes
Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2020
Dans la nuit du 16 au 17 juillet, en 1918, les communistes massacraient la famille impériale russe (11 personnes, dont la plus jeune avait 12 ans), à Iekaterinbourg.
C’était le crime fondateur du communisme – comme l’assassinat du couple royal français l’avait été pour la Révolution- et il en annonçait bien d’autres…
« Les tirs ont lieu à bout portant. Iourovski aurait levé son arme et tiré sur Nicolas, qui meurt sur le coup. Les autres bourreaux tirent jusqu’à ce que toutes les victimes tombent. Le tsarévitch rampe vers la porte, le commissaire bolchevik Peter Ermakov lui défonce le crâne à coups de baïonnette. Les dernières survivantes (Anastasia, Tatiana, Olga, et Maria dont les diamants cousus dans leurs vêtements leur ont servi un temps de gilet pare-balle) sont exécutées tout aussi sauvagement, car leurs cris pouvaient être entendus à l’extérieur. » (source)
Les responsabilités de ce crime barbare ne sont pas précisément établies. Trotsky écrira que l’ordre venait de Lénine lui-même.
La piste du crime rituel juif est étudiée très sérieusement, depuis peu, par la justice russe elle-même.Source : contre-info
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Nigéria : Boko Haram massacre de 81 personnes. Aucune manifestation de la part de la gauche contre ce massacre.
Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2020
Au Nigéria, les insurgés de Boko Haram ont tiré à bouts portants sur les villageois rassemblés, sans épargner les femmes ni les enfants.
Mardi 9 juin, le village de Faduma Kolomdi au Nigéria a été attaqué par Boko Haram. 81 personnes ont péri dans ce massacre qui a duré 6 heures, 13 ont été blessées, 7 enlevées.
These are not Animals, they are human being kills by Boko Haram insurgents in the village of Gubio local gov't of Borno state.
President @MBuhari, you were voted to protect the lives and properties of the electorates, these people need your attention, they too are human.Le gouverneur de l’État de Borno, Babagana Zulum, s’est rendu sur place le lendemain. Il a dénoncé cette attaque « barbare », avant d’ajouter qu’il fallait « déloger les insurgés sur les rives du lac Tchad » grâce à des « efforts régionaux concertés ».
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En se rendant sur place, le gouverneur Zulum a écouté le témoignage poignant d’un survivant, dont les propos ont été repris par le Sahara Reporter.
« Les insurgés dans des camions armés et des chars blindés sont arrivés vers 10 heures hier (mardi). Ils ont opéré pendant environ six heures et sont partis vers 16 heures. Ils nous ont rassemblés et ont dit qu’ils voulaient nous dire un sermon religieux. Ils nous ont demandé de leur donner toutes les armes que nous avions. Certains villageois ont abandonné leurs pistolets, arc et flèches. Les insurgés ont prétendu qu’ils ne seraient pas violents. Soudain, ils ont commencé à tirer à volonté. Même les enfants et les femmes n’ont pas été épargnés, beaucoup ont été abattus à bout portant. Beaucoup ont commencé à courir. À la fin, de nombreuses personnes ont été tuées. Nous avons enterré des gens de 22 heures hier soir à 6 heures ce matin. Nous avons enterré 49 cadavres ici tandis que 32 autres cadavres ont été emmenés par des familles des villages qui nous entourent. Les insurgés ont enlevé sept personnes, dont notre chef de village. Ils sont partis avec 400 têtes de bétail. »
Un groupe du Parlement britannique vient de publier un rapport intitulé « Nigéria : Génocide en cours ? ». Ils y dénoncent la persécution des chrétiens commise par les militants de Boko Haram mais aussi par les éleveurs peuls.
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M.C.
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Afrique du Sud : un restaurateur autrichien massacré à coups de machette devant sa femme, il a été « découpé en morceaux »
Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020
Par Koba le 14/06/2020Afrique du Sud – Le propriétaire d’un restaurant à thème allemand a été découpé « en morceaux », devant sa femme terrifiée, par un individu armé d’une machette.
Eduard Neumeister, né en Autriche, est mort après avoir reçu des « dizaines de coups » de coups de machette dans sa petite ferme de campagne en Afrique du Sud.
L’homme de 67 ans et sa femme Margit Riebler, 62 ans, étaient au restaurant de saucisses Bratwurst, qu’ils dirigent ensemble. Lorsque Eduard est sorti pour nourrir leurs deux chiens, il a été soudainement frappé par un homme avec une cagoule et jeté à terre.
Margit a décrit à la police la lutte qui s’est déroulée à l’extérieur du restaurant, au cours de laquelle Eduard, connu par les habitants sous le nom d’Edi, a tenté de neutraliser l’assaillant, avant de s’effondrer dans une énorme mare de sang.
Il avait été frappé à plusieurs reprises avec la lame, faisant croire à Margit qu’il était mort. L’homme cagoulé s’est alors rendu dans la cuisine du restaurant et a saisi Margit à la gorge.
Il a menacé de la tuer avant d’exiger : « Donne-moi tout l’argent ou meurs ».
Alors qu’il l’étranglait, Margit a vu son mari Eduard, horriblement blessé et couvert de sang, qui tentait de l’aider.
L’agresseur s’est retourné et a lancé une seconde attaque. Les policiers sont arrivés plus tard et ont déclaré qu’ils n’avaient jamais vu des blessures aussi horribles infligées par un seul homme et qu’Eduard avait été littéralement coupé « en morceaux ».
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28 mai… 1794 : la République massacrait encore des Français, rasait un village (et pour quel motif !)
Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2020
Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.
Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.
Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?
Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…
Maignet avait alors ordonné à la commune d’indiquer les coupables et y avait envoyé le 4e bataillon de l’Ardèche, le logis et la nourriture étant aux frais des habitants. Par ailleurs, il avait ordonné l’arrestation des membres de la municipalité et du comité de surveillance, des nobles, des prêtres et de tous les suspects, « comme auteurs ou complices présumés du complot », et chargé le tribunal criminel du département d’instruire et de juger l’affaire « révolutionnairement ».
Les coupables n’ayant pas été retrouvés, Maignet prit un second arrêté le 20 floréal (9 mai) dans lequel il ordonnait le transfert, dans les plus brefs délais, du tribunal criminel à Bédoin pour y instruire la procédure et y faire exécuter immédiatement les jugements rendus. De même, il prévint tous les habitants non détenus qu’après l’exécution des principaux coupables, ils auraient vingt-quatre heures pour quitter leur maison avec tout leur mobilier, avant que le village ne soit livré aux flammes.
Le tribunal révolutionnaire prononce 66 condamnations à mort exécutées aussitôt par la guillotine. La population doit payer une nouvelle taxe révolutionnaire par habitant, les maisons sont incendiées, les terres agricoles stérilisées au sel, le village appelé « Bédoin l’infâme » est rayé de la carte, le reste des habitants déporté dans les villages voisins et assigné à résidence.
Source : contre-info