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massacre - Page 5

  • Nigéria : Boko Haram massacre de 81 personnes. Aucune manifestation de la part de la gauche contre ce massacre.

    Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2020

    Au Nigéria, les insurgés de Boko Haram ont tiré à bouts portants sur les villageois rassemblés, sans épargner les femmes ni les enfants.

    Mardi 9 juin, le village de Faduma Kolomdi au Nigéria a été attaqué par Boko Haram. 81 personnes ont péri dans ce massacre qui a duré 6 heures, 13 ont été blessées, 7 enlevées.

    Abubakar Sadiq Kurbe@iamKurbe
     

    These are not Animals, they are human being kills by Boko Haram insurgents in the village of Gubio local gov't of Borno state.

    President @MBuhari, you were voted to protect the lives and properties of the electorates, these people need your attention, they too are human.

    Le gouverneur de l’État de Borno, Babagana Zulum, s’est rendu sur place le lendemain. Il a dénoncé cette attaque « barbare », avant d’ajouter qu’il fallait « déloger les insurgés sur les rives du lac Tchad » grâce à des « efforts régionaux concertés ».

    [...]

    En se rendant sur place, le gouverneur Zulum a écouté le témoignage poignant d’un survivant, dont les propos ont été repris par le Sahara Reporter.

    « Les insurgés dans des camions armés et des chars blindés sont arrivés vers 10 heures hier (mardi). Ils ont opéré pendant environ six heures et sont partis vers 16 heures. Ils nous ont rassemblés et ont dit qu’ils voulaient nous dire un sermon religieux. Ils nous ont demandé de leur donner toutes les armes que nous avions. Certains villageois ont abandonné leurs pistolets, arc et flèches. Les insurgés ont prétendu qu’ils ne seraient pas violents. Soudain, ils ont commencé à tirer à volonté. Même les enfants et les femmes n’ont pas été épargnés, beaucoup ont été abattus à bout portant. Beaucoup ont commencé à courir. À la fin, de nombreuses personnes ont été tuées. Nous avons enterré des gens de 22 heures hier soir à 6 heures ce matin. Nous avons enterré 49 cadavres ici tandis que 32 autres cadavres ont été emmenés par des familles des villages qui nous entourent. Les insurgés ont enlevé sept personnes, dont notre chef de village. Ils sont partis avec 400 têtes de bétail. »

    Un groupe du Parlement britannique vient de publier un rapport intitulé « Nigéria : Génocide en cours ? ». Ils y dénoncent la persécution des chrétiens commise par les militants de Boko Haram mais aussi par les éleveurs peuls.

     

    [...]

    M.C.

    Infochretienne.com via lesobservateurs

  • Afrique du Sud : un restaurateur autrichien massacré à coups de machette devant sa femme, il a été « découpé en morceaux »

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020

    Par  le 14/06/2020

    Afrique du Sud – Le propriétaire d’un restaurant à thème allemand a été découpé « en morceaux », devant sa femme terrifiée, par un individu armé d’une machette.

    Eduard Neumeister, né en Autriche, est mort après avoir reçu des « dizaines de coups » de coups de machette dans sa petite ferme de campagne en Afrique du Sud.

    L’homme de 67 ans et sa femme Margit Riebler, 62 ans, étaient au restaurant de saucisses Bratwurst, qu’ils dirigent ensemble. Lorsque Eduard est sorti pour nourrir leurs deux chiens, il a été soudainement frappé par un homme avec une cagoule et jeté à terre.

    Margit a décrit à la police la lutte qui s’est déroulée à l’extérieur du restaurant, au cours de laquelle Eduard, connu par les habitants sous le nom d’Edi, a tenté de neutraliser l’assaillant, avant de s’effondrer dans une énorme mare de sang.

    Il avait été frappé à plusieurs reprises avec la lame, faisant croire à Margit qu’il était mort. L’homme cagoulé s’est alors rendu dans la cuisine du restaurant et a saisi Margit à la gorge.

    Il a menacé de la tuer avant d’exiger : « Donne-moi tout l’argent ou meurs ».

    Alors qu’il l’étranglait, Margit a vu son mari Eduard, horriblement blessé et couvert de sang, qui tentait de l’aider.

    L’agresseur s’est retourné et a lancé une seconde attaque. Les policiers sont arrivés plus tard et ont déclaré qu’ils n’avaient jamais vu des blessures aussi horribles infligées par un seul homme et qu’Eduard avait été littéralement coupé « en morceaux ».

    Mirror via fdesouche

  • 28 mai… 1794 : la République massacrait encore des Français, rasait un village (et pour quel motif !)

    Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2020

    Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.

    Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.

    Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?

    Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…

    Maignet avait alors ordonné à la commune d’indiquer les coupables et y avait envoyé le 4e bataillon de l’Ardèche, le logis et la nourriture étant aux frais des habitants. Par ailleurs, il avait ordonné l’arrestation des membres de la municipalité et du comité de surveillance, des nobles, des prêtres et de tous les suspects, « comme auteurs ou complices présumés du complot », et chargé le tribunal criminel du département d’instruire et de juger l’affaire « révolutionnairement ».

    Les coupables n’ayant pas été retrouvés, Maignet prit un second arrêté le 20 floréal (9 mai) dans lequel il ordonnait le transfert, dans les plus brefs délais, du tribunal criminel à Bédoin pour y instruire la procédure et y faire exécuter immédiatement les jugements rendus. De même, il prévint tous les habitants non détenus qu’après l’exécution des principaux coupables, ils auraient vingt-quatre heures pour quitter leur maison avec tout leur mobilier, avant que le village ne soit livré aux flammes.

    Le tribunal révolutionnaire prononce 66 condamnations à mort exécutées aussitôt par la guillotine. La population doit payer une nouvelle taxe révolutionnaire par habitant, les maisons sont incendiées, les terres agricoles stérilisées au sel, le village appelé « Bédoin l’infâme » est rayé de la carte, le reste des habitants déporté dans les villages voisins et assigné à résidence.

     

    Source : contre-info

  • C’était un 26 mars : le massacre de la rue d’Isly

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2020


    Ce jour de 1962, alors que De Gaulle avait trahi et abandonné l’Algérie aux égorgeurs du FLN, des Français manifestaient pacifiquement rue d’Isly, à Alger.
    Pour empêcher la population algéroise d’apporter son soutien à Bab-el-Oued, quartier assiégé par la Gendarmerie mobile, le préfet Vitalis-Cros fit appel à l’armée pour bloquer le passage de la foule. C’est le 4e Regiment de Tirailleurs Algériens qui est désigné malgré la mise en garde de son commandement qui prévient que ces soldats ne sont pas préparés à une confrontation urbaine.
    Ils étaient trois mille civils non armés à défiler vers le quartier de Bab el Oued, et se retrouvèrent donc face à un barrage militaire.

    A 14h45, un lieutenant des tirailleurs vient les prévenir, ou plutôt les supplier :
    « dispersez-vous, nous avons ordre de tirer » (source Paris-Match n°178).
    Quelques minutes après, les armes automatiques crépitent vers la foule.
    Une centaine d’Algérois – hommes, femmes, enfants – furent abattus et d’autres centaines furent blessés par les balles françaises. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.

    Le gouvernement n’a jamais présenté d’excuses.

     

    Source : contre-info

  • C’était un 6 février… 1934

    Publié par Guy Jovelin le 06 février 2020

    À l’appel d’organisations patriotiques (Croix-de-feu, Ligue d’Action française, Jeunesses patriotes, Solidarité française…), des dizaines de milliers de Français, dont beaucoup d’anciens combattants, manifestent à Paris contre la corruption extrême qui règne dans les milieux politiques (l’affaire Stavisky est un élément déclencheur), au cri de « à bas les voleurs ! »

    Alors que la tension monte et que les Croix-de-feu se dispersent sagement, rive droite, des heurts ont lieu entre manifestants et policiers. La foule s’approche trop du Palais Bourbon au goût du Régime, qui fait tirer les Gardes mobiles sur les citoyens…

    22 Français mourront sous les balles ou les coups de la République (liste ci-dessous) et plus d’un millier sera blessé.

    La Gauche prétendra qu’il s’est agi d’une tentative de « coup d’Etat fasciste » et à son arrivée au pouvoir en 1936, dissoudra les puissantes ligues.
    Côté patriote, les déçus de l’attitude de Maurras (maniant la plume dans les locaux du journal ce soir-là, pendant que les militants se battaient et souhaitaient pour nombre d’entre eux prendre la Chambre) vont créer une organisation clandestine qui fera beaucoup parler d’elle : « la Cagoule » (lire article ici).

    Chaque année les nationalistes rendent hommage à ces morts.
    Comme Robert Brasillach en son temps :

    « Pour nous, nous n’avons pas à renier le 6 février. Chaque année nous allons porter des violettes place de la Concorde, devant cette fontaine devenue cénotaphe, en souvenir des vingt-deux morts. Chaque année la foule diminue, parce que les patriotes français sont oublieux par nature. Seuls les révolutionnaires ont compris le sens des mythes et des cérémonies. Mais si le 6 fut un mauvais complot, ce fut une nuit de sacrifices, qui reste dans notre souvenir avec son odeur, son vent froid, ses pâles figures courantes, ses groupes humains au bord des trottoirs, son espérance invincible d’une Révolution nationale, la naissance exacte du nationalisme social de notre pays. Qu’importe si, plus tard, tout a été exploité, par la droite et par la gauche, de ce feu brûlant, de ces morts qui ont été purs. On n’empêchera pas ce qui a été d’avoir été. »

    Robert Brasillach, in Notre avant-guerre.

    Les morts du 6 février :

    – AUFSCHNEIDER Alphonse, mort pour la France
    De Schiltigheim (Bas-Rhin), 37 ans, valet de chambre, tué d’une balle au cœur près de la place de la Concorde. Il était ligueur d’Action française.
    – CAMBO Costa, mort pour la France
    42 ans, d’origine hellénique, naturalisé Français, musicien sans travail, mort le 9 février des multiples blessures reçues dans la nuit du 6. Allié d’Action française.
    – CHEYNIER LE JOUHAN DE NOBLENS Gratien, mort pour la France
    55 ans, industriel, ancien combattant, frère de trois combattants morts pour la France, marié et père d’un enfant de 7 ans ½, membre de la Solidarité française. Atteint d’une balle entre les yeux.
    Il fut frappé et piétiné avec un acharnement bestial, comme le prouvent les nombreuses contusions et fractures du crâne, du nez et de la mâchoire que l’on releva sur lui. Il décéda quelques heures après son transport à l’hôpital Beaujon.
    – COUDREAU Raymond, mort pour la France
    49 ans, commis-livreur dans une mercerie en gros ; n’appartenant à aucune association politique, veuf et père de six enfants, dont deux en bas âge.
    – ETHEVENEAUX Louis, mort pour la France
    25 ans, garçon charcutier, reçut, près de la Madeleine, un coup de matraque d’un policier et mourut d’une fracture du crâne.
    – FABRE Jean-Eloi, mort pour la France
    Etudiant en médecine, interne à l’hôpital Saint-Joseph, membre des Jeunesses patriotes, tué d’une balle au cœur devant le pont de la Concorde. Il avait été blessé en 1925, lors d’un guet-apens organisé rue Damrémont par les communistes.
    – GARNIEL Lucien, mort pour la France
    Garçon boucher, 16 ans, blessé d’une balle qui l’atteignit à la colonne vertébrale, mort le 1er novembre, après une longue et douloureuse agonie.
    – Mlle GOURLAND Corentine, morte pour la France
    Femme de chambre, 34 ans, tuée d’une balle à la tête sur la terrasse de l’hôtel Grillon, place de la Concorde.
    – JAVEY André, mort pour la France
    39 ans, n’appartenant à aucune association politique, ancien combattant, blessé aux Eparges, croix de guerre. Succomba à ses blessures le 11 février.
    – LABOUCHEIX Marius, mort pour la France
    Directeur administratif de la société « L’Energie industrielle », ancien combattant, laisse deux orphelins, frappé d’une balle en arrivant près de la place de la Concorde.
    – LALANDE Raymond, mort pour la France
    Menuisier et tapissier d’autos, 24 ans. Atteint sur la place de la Concorde d’une balle qui lui fit éclater le tibia. Succomba des suites de sa blessure le 5 février 1936. S’était inscrit aux Camelots du Roi après le 6 février.
    – LAMMERT Henri, mort pour la France
    31 ans, officier mitrailleur de réserve, gérant d’un hôtel meublé appartenant à ses parents. Ne faisant partie d’aucune association politique. Tué d’une balle dans le dos, sur la place de la Concorde. Il laissait une veuve sur le point d’accoucher.
    – LECOMTE Jules, mort pour la France
    35 ans, engagé dans la marine à 19 ans embarqué sur les patrouilleurs de la division de la Loire, ouvrier à l’usine Renault, succomba le 12 février, ayant reçu une balle dans le ventre. Marié, sans enfant, il était Ligueur d’Action française et chef d’équipe de Camelots du Roi.
    – LIEVIN Charles, mort pour la France
    Cuisinier, 34 ans, blessé le 6 février 1934 d’une balle à la colonne vertébrale, mort le 6 décembre 1935, après vingt et un mois d’atroces souffrances, laissant une femme sans ressources.
    – MEZZIANE Ali, mort pour la France
    28 ans, musulman, membre de la Solidarité française, manœuvre en chômage, écrasé par un camion de la police lancé à toute allure, puis achevé à coup de pied et de matraque. Mort le 7 février.
    – MOPIN Jean, mort pour la France
    24 ans, atteint à la colonne vertébrale, mort le 7 décembre d’une infection généralisée, après de longs mois de souffrances héroïquement supportées. Il a été inhumé à Compiègne.
    – MUNNIER Albert, mort pour la France
    27 ans, comptable, depuis quelques mois sans travail, tué d’une balle de révolver dans la tête, rue Boissy-d’Anglas. Il était marié et père d’un bébé de 18 mois.
    – PEUZIAT René-Alain, mort pour la France
    29 ans, frère du champion cycliste, n’appartenant à aucune association politique.
    – ROSSIGNOL Raymond, mort pour la France
    37 ans, industriel, ancien combattant, membre des Jeunesses patriotes, officier de réserve de cavalerie, marié, père d’un enfant de 12 ans, tué d’une balle de révolver en pleine tête devant le pont de la Concorde.
    – ROUBAUDI Georges, mort pour la France
    36 ans, industriel, directeur d’une grande maison d’importation et d’exportation de soierie occupant 200 ouvriers, ancien combattant, engagé volontaire à 17 ans, croix de guerre avec deux citations, marié et père de trois enfants dont l’aîné n’avait pas 6ans. Ligueur d’Action française et membre de l’Association Marius Plateau.
    – SOUGARY Alfred, mort pour la France
    30 ans, dessinateur, membre de l’Association des Décorés de la Légion d’honneur au péril de leur vie, fut tué à coups de matraque et relevé la colonne vertébrale complètement disloquée.
    – VAURY Henri, mort pour la France
    39 ans, ancien combattant.

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    Source : contre-info