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massacré

  • C’était un 10 août… 1792 : naissance de la République dans un massacre

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2025

    Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.
    La tension est vive et, excitée par Danton, une foule de sans-culottes se masse aux abords du palais.

    La résidence royale est défendue par 900 gardes suisses et quelques centaines de gardes nationaux.
    Louis XVI les passe en revue. Selon l’usage, les Suisses et les gardes nationaux crient : « Vive le roi ! ». Mais les artilleurs et le bataillon de la Croix-Rouge crient de leur côté :
    « Vive la Nation ! ». Situation confuse.
    Le roi gagne là-dessus une terrasse et observe la foule des Parisiens massés. Ceux-ci l’insultent : «À bas le veto ! À bas le gros cochon !».
    Apeurés, le roi, la reine et le dauphin traversent le jardin des Tuileries et vont chercher refuge au sein de l’Assemblée.
    Devant le palais, l’émeute enfle. Une porte est malencontreusement ouverte. Un flot de sans-culottes s’y engouffre. Les gardes suisses ouvrent le feu et provoquent un reflux éperdu vers le Carrousel.
    Les émeutiers évacuent la place. Ils semblent près d’abandonner la partie.

    Mais vers dix heures, un groupe de volontaires marseillais parvient à s’introduire à l’intérieur des Tuileries. Le combat reprend de plus belle.
    Le roi griffonne un billet ordonnant aux Suisses de déposer à l’instant les armes et de se retirer dans leurs casernes. Grave erreur du trop bon Louis XVI.
    Obéissants, les gardes se replient vers la place Louis XV (l’actuelle place de la Concorde).

    Mais ils sont bientôt encerclés, capturés, conduits à l’Hôtel de Ville puis massacrés. Mêlées à la foule, les poissardes des halles se livrent à de honteuses mutilations sur les cadavres.
    Les émeutiers envahissent maintenant les Tuileries et lynchent pêle-mêle gardes, serviteurs et fidèles avant de piller le palais.
    Six cents Suisses ainsi que deux cents aristocrates et gens de maison perdent la vie en ce jour du 10 août.

    L’Assemblée législative, enhardie par le succès de l’émeute, prononce la « suspension » du roi. Elle convoque par ailleurs une Convention nationale en vue de prendre toutes mesures « pour assurer la souveraineté du peuple et le règne de la liberté et de l’égalité », et instaure pour la première fois le suffrage universel (masculin). Après une nuit de fortune, la famille royale est emmenée au donjon du Temple pour y être emprisonnée.
    La période appelée « la Terreur » allait commencer.
    Fin d’un régime millénaire qui avait construit la France mais était certes affaibli de l’intérieur.
    Naissance de la République.

     

    Source :contre-info

     

  • 28 mai… 1794 : la République massacrait encore des Français et rasait un village (et pour quel motif !)

    Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2025

    Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.

    Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.

    Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?

    Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…

    Maignet avait alors ordonné à la commune d’indiquer les coupables et y avait envoyé le 4e bataillon de l’Ardèche, le logis et la nourriture étant aux frais des habitants. Par ailleurs, il avait ordonné l’arrestation des membres de la municipalité et du comité de surveillance, des nobles, des prêtres et de tous les suspects, « comme auteurs ou complices présumés du complot », et chargé le tribunal criminel du département d’instruire et de juger l’affaire « révolutionnairement ».

    Les coupables n’ayant pas été retrouvés, Maignet prit un second arrêté le 20 floréal (9 mai) dans lequel il ordonnait le transfert, dans les plus brefs délais, du tribunal criminel à Bédoin pour y instruire la procédure et y faire exécuter immédiatement les jugements rendus. De même, il prévint tous les habitants non détenus qu’après l’exécution des principaux coupables, ils auraient vingt-quatre heures pour quitter leur maison avec tout leur mobilier, avant que le village ne soit livré aux flammes.

    Le tribunal révolutionnaire prononce 66 condamnations à mort exécutées aussitôt par la guillotine. La population doit payer une nouvelle taxe révolutionnaire par habitant, les maisons sont incendiées, les terres agricoles stérilisées au sel, le village appelé « Bédoin l’infâme » est rayé de la carte, le reste des habitants déporté dans les villages voisins et assigné à résidence.

     

    Source : contre-info

  • Syrie : le massacre des chrétiens et des alaouites

    Publié par Guy Jovelin le 10 mars 2025

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    Sans surprise, il n’aura pas fallu longtemps pour que les « gentils djihadistes » mis au pouvoir en Syrie par Tel Aviv et Washington se mettent à massacrer chrétiens et alaouites, sous l’œil relativement passif de la communauté internationale.
    Rappelons que le « méchant dictateur » Bachar Al Assad protégeait les minorités religieuses et avait vaincu Daesh grâce à l’aide russe. Les États occidentaux - dont la France - qui ont pourtant subi le terrorisme de plein fouet n’auront eu de cesse de lui mettre des bâtons dans les roues, pour finalement réaliser ce coup d’État funeste de décembre 2024…
    Sans doute est-il moins pire d’être un islamiste tueur de chrétiens que d’être sceptique quant aux projets israéliens pour le Moyen-Orient…
    L’Histoire retiendra cette infamie. L’on prête à Bossuet la citation apocryphe suivante, qui semble adaptée en l’espèce « Dieu se rit des créatures qui déplorent des effets dont elles continuent de chérir les causes »
    Nul doute que nous paierons la lâcheté, la veulerie et la traîtrise de nos gouvernants sur la scène internationale…
     
    Victor Jan de Lagillardaie – Délégué général adjoint du Parti de la France
  • La vermine mondialiste devra rendre des comptes.

    Publié par Guy de Laferrière le 04 août 2024

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    Thomas Joly, Président du Parti de la France : « Alors que les Anglais expriment dans la rue leur légitime colère face au énième massacre commis par un étranger extra-européen (10 fillettes poignardées à Southport par un Rwandais), la répression de l'État cosmopolite est la même qu'en France.
    Des tribunaux d'exception ont été mis en place 24h sur 24 pour condamner les « émeutiers » (ça rappellera des souvenirs aux Gilets Jaunes), la police cogne allègrement sur les Britanniques et laisse des musulmans armés agresser les manifestants.
    Une lutte sans merci doit s'engager contre cette engeance mondialiste qui détruit les peuples et les Nations partout en Europe. Et la vermine mondialiste devra rendre des comptes. »
     
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