GJN1 gjngjN

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

stade de france

  • Dix ans déjà depuis cette nuit funeste du 13 novembre 2015

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2025

    579989305_1484221409527883_7947615588568447565_n.jpg

    Dix ans déjà depuis cette nuit funeste du 13 novembre 2015 où le sang français a coulé à flots dans les rues de Paris, au Bataclan, au Stade de France, aux terrasses des cafés. Dix ans que les barbares islamistes ont frappé au cœur de notre civilisation, massacrant 130 innocents au nom d'Allah. Et que voit-on aujourd'hui ? Une commémoration larmoyante, des bougies, des discours vides et aucune leçon tirée de ce carnage. Nos gouvernants ont-ils fermé les frontières ? Ont-ils stoppé l'invasion migratoire qui nourrit le terreau du djihad ? Bien au contraire !
    Le flux migratoire extra-européen, majoritairement de confession musulmane, n'a fait que s'accentuer, comme une hémorragie que l'on refuse de cautériser. Des centaines de milliers d'entrées légales comme illégales chaque année, des immigrés qui s'installent, imposent leurs mœurs, leurs voiles, leurs mosquées financées par des pétrodollars salafistes. L'islamisation de la France progresse inexorablement, avec la complicité active de l'État : subventions aux associations islamistes, construction de minarets qui percent le ciel de nos villes millénaires, enseignement de l'arabe dans nos écoles au détriment du latin et du grec. C'est une capitulation en règle, un suicide assisté par des idéologues multiculturalistes qui haïssent notre identité gauloise et catholique.
    Regardez le laxisme affligeant avec les OQTF : des obligations de quitter le territoire qui ne sont que des chiffons de papier, ignorées par des juges complaisants et des préfets timorés. Des milliers de délinquants étrangers, souvent islamistes radicalisés, errent librement sur notre sol, attendant leur heure pour frapper à nouveau. Et pendant ce temps, la liberté d'expression pour ceux qui osent dénoncer le terrorisme islamique se rétrécit comme peau de chagrin. On traîne en justice les patriotes, on censure les voix discordantes sur les réseaux, on accuse d'islamophobie quiconque ose nommer l'ennemi. C'est la dictature du politiquement correct qui protège les bourreaux et muselle les victimes.
    La France, jadis terre de conquérants, donne aujourd'hui l'image d'une proie facile et pleutre, offerte à ses ennemis de l'intérieur comme de l'extérieur. Des ennemis qui rient de notre faiblesse, de nos gouvernants lâches et incapables, ces Macron, ces Hollande, ces Darmanin qui gesticulent sans agir, préférant les embrassades avec les imams radicaux aux expulsions massives. Ils ont transformé notre Nation en un vaste camp de réfugiés, où l'islam conquiert par le ventre des femmes et terrorise par la lame des fanatiques.
    Et quel symbole d'impuissance absolue, dix ans après le Bataclan ! Salah Abdeslam, ce monstre survivant du commando, reçoit en prison de la propagande djihadiste, comme si l'État lui offrait un abonnement premium à la haine. C'est l'aveu même de notre défaite : nous ne pouvons même pas isoler les serpents dans leur nid !
    Non, rien n'a changé. L'islamisme avance, masqué derrière l'immigration massive, et nos élites déracinées applaudissent. Elles ont oublié Clovis, Jeanne d'Arc, Napoléon ; elles préfèrent l'agenouillement à la résistance. Mais le peuple français, lui, se souvient. Il gronde, il bouillonne. Il est temps de reprendre le flambeau, de chasser les envahisseurs, de restaurer la grandeur de la France éternelle. Sinon, les attentats de demain feront passer ceux de 2015 pour un simple avertissement.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Les "Anglais" (le mot est de Gérald Darmanin) encore cause de désordres au Stade de France...

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2022

    lafautearousseau

     

    Les "Anglais" (le mot est de Gérald Darmanin) encore cause de désordres au Stade de France...

    1. La vidéo-preuve : les "anglais" forcent l'entrée du stade...

    https://twitter.com/JBubecci/status/1566219630687010819?s=20&t=pgrLy1-hhtRbKXVRH6QdwQ

    2. L'explication des faits (c'est quand même autre chose !...), par Geoffroy Lejeune (sur CNews) :

    https://twitter.com/CNEWS/status/1566475204775247875?s=20&t=pgrLy1-hhtRbKXVRH6QdwQ

    1A.jpg

  • Des dizaines de jeunes forcent l’entrée du Stade de France pour le concert de Booba

    Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2022

     

     
  • Le Daily Mail révèle que les autorités françaises auraient fait pression sur l’UEFA pour que les faits de délinquance survenus autour du Stade de France ne soient pas mentionnés, et qu’ainsi la faute soit rejetée sur les supporters anglais

    Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2022

    Liverpool_fans_Paris_GFX-1024x576.jpg

    D’après le Daily Mail, les autorités françaises ont fait pression sur l’UEFA pour que les faits de délinquance survenus autour du Stade de France, à l’occasion de la finale de la Ligue des champions entre le Real Madrid et Liverpool, ne soient pas mentionnés dans la communication officielle qui a été faite le soir du match. Et qu’ainsi la faute soit rejetée sur les fans des Reds.

    L’UEFA a-t-elle été censurée? Le Daily Mail affirme que les autorités françaises ont fait pression sur l’instance dirigeante du football européen pour que celle-ci, le soir de la finale de la Ligue des champions, ne fasse aucune mention des faits de délinquance survenus autour du Stade de France.

    D’après le média britannique, l’UEFA voulait évoquer ce sujet dans son communiqué diffusé le soir du fiasco, afin de décrire au mieux les graves incidents et d’expliquer la décision de retarder le coup d’envoi. Le texte qui aurait été imaginé devait alors préciser que la présence de délinquants avait aggravé le chaos autour du stade et conduit à l’utilisation de gaz lacrymogène.

    Dans le communiqué finalement publié, et désormais indisponible sur le site de l’UEFA, le retard du coup d’envoi est simplement attribué à l’afflux de “milliers de fans qui avaient acheté de faux billets”. “Comme le nombre de supporters à l’extérieur du stade continuait à augmenter après le coup d’envoi, la police les a dispersés à l’aide de gaz lacrymogène et les a forcés à quitter le stade”, ajoutait aussi l’instance présidée par Aleksander Čeferin.

    Une communication raccord avec les premières prises de position des autorités et du gouvernement, mettant l’accent sur le comportement des supporters de Liverpool et la fraude aux faux billets. Depuis, le ton vis-à-vis des fans anglais s’est adouci. La ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, a notamment présenté ses excuses auprès de Liverpool.

    (…) RMC Sport via fdesouche

  • Oups : les images de vidéosurveillance du Stade de France ont été détruites

    Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2022

    Evidemment, on peut tout à fait penser qu’il y a là un scandale d’Etat supplémentaire, avec une volonté de couvrir les graves mensonges dont se sont rendus coupables les cadres du régime : ces derniers ont mis en cause les malheureux Anglais, pour couvrir les hordes immigrées qui ont se sont livré à de nombreuses agressions (les vidéos comportaient des « images extrêmement violentes »).

    « La justice n’aurait-elle pas réclamé les images de vidéosurveillance à temps ? C’est bien ce qu’a laissé entendre le directeur des relations institutionnelles de la Fédération Française de Football (FFF), Erwan Le Prévost. Il était auditionné au Sénat ce jeudi 9 juin concernant les débordements survenus au Stade de France le samedi 28 mai dernier, en marge de la finale de la Ligue des Champions. Alors qu’une enquête a été ouverte pour faire la lumière sur ces agissements, Erwan Le Prévost a indiqué au Sénat que les images de vidéosurveillance ont été « détruites », relate franceinfo« Les images sont disponibles pendant sept jours. Elles sont ensuite automatiquement détruites », a-t-il détaillé.

    Erwan Le Prévost a jugé qu’« on aurait dû avoir une réquisition pour les fournir ». Mais la justice ne s’en est pas préoccupée à temps. Les enregistrements des incidents ont donc été perdus pour de bon. « Pour avoir été au PC sécurité toute la journée, les images sont extrêmement violentes », a tenu à préciser Erwan Le Prévost. […] » (source VA)