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massacre - Page 3

  • 10 août 1792 : naissance de la République dans un massacre

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2021

    Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.
    La tension est vive et, excitée par Danton, une foule de sans-culottes se masse aux abords du palais.

    La résidence royale est défendue par 900 gardes suisses et quelques centaines de gardes nationaux.
    Louis XVI les passe en revue. Selon l’usage, les Suisses et les gardes nationaux crient : « Vive le roi ! ». Mais les artilleurs et le bataillon de la Croix-Rouge crient de leur côté :
    « Vive la Nation ! ». Situation confuse.
    Le roi gagne là-dessus une terrasse et observe la foule des Parisiens massés. Ceux-ci l’insultent : «À bas le veto ! À bas le gros cochon !».
    Apeurés, le roi, la reine et le dauphin traversent le jardin des Tuileries et vont chercher refuge au sein de l’Assemblée.
    Devant le palais, l’émeute enfle. Une porte est malencontreusement ouverte. Un flot de sans-culottes s’y engouffre. Les gardes suisses ouvrent le feu et provoquent un reflux éperdu vers le Carrousel.
    Les émeutiers évacuent la place. Ils semblent près d’abandonner la partie.

    Mais vers dix heures, un groupe de volontaires marseillais parvient à s’introduire à l’intérieur des Tuileries. Le combat reprend de plus belle.
    Le roi griffonne un billet ordonnant aux Suisses de déposer à l’instant les armes et de se retirer dans leurs casernes. Grave erreur du trop bon Louis XVI.
    Obéissants, les gardes se replient vers la place Louis XV (l’actuelle place de la Concorde).

    Mais ils sont bientôt encerclés, capturés, conduits à l’Hôtel de Ville puis massacrés. Mêlées à la foule, les poissardes des halles se livrent à de honteuses mutilations sur les cadavres.
    Les émeutiers envahissent maintenant les Tuileries et lynchent pêle-mêle gardes, serviteurs et fidèles avant de piller le palais.
    Six cents Suisses ainsi que deux cents aristocrates et gens de maison perdent la vie en ce jour du 10 août.

    L’Assemblée législative, enhardie par le succès de l’émeute, prononce la « suspension » du roi. Elle convoque par ailleurs une Convention nationale en vue de prendre toutes mesures « pour assurer la souveraineté du peuple et le règne de la liberté et de l’égalité », et instaure pour la première fois le suffrage universel (masculin). Après une nuit de fortune, la famille royale est emmenée au donjon du Temple pour y être emprisonnée.
    La période appelée « la Terreur » allait commencer.
    Fin d’un régime millénaire qui avait construit la France mais était certes affaibli de l’intérieur.
    Naissance de la République.

     

    Source : contre-info

  • Alger 26 mars 1962

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2021

    Alger 26 Mars 1962 où l 'armée française tire sur des Français et sur le drapeau français taché du sang français
    Une pensée pour nos proches lâchement massacrés
    par des balles françaises.

    alger 26 mars 1962,massacre

  • C’était un 16 juillet : le massacre de la famille impériale russe par les communistes

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2020

    Dans la nuit du 16 au 17 juillet, en 1918, les communistes massacraient la famille impériale russe (11 personnes, dont la plus jeune avait 12 ans), à Iekaterinbourg.

    C’était le crime fondateur du communisme – comme l’assassinat du couple royal français l’avait été pour la Révolution- et il en annonçait bien d’autres…

    « Les tirs ont lieu à bout portant. Iourovski aurait levé son arme et tiré sur Nicolas, qui meurt sur le coup. Les autres bourreaux tirent jusqu’à ce que toutes les victimes tombent. Le tsarévitch rampe vers la porte, le commissaire bolchevik Peter Ermakov lui défonce le crâne à coups de baïonnette. Les dernières survivantes (Anastasia, Tatiana, Olga, et Maria dont les diamants cousus dans leurs vêtements leur ont servi un temps de gilet pare-balle) sont exécutées tout aussi sauvagement, car leurs cris pouvaient être entendus à l’extérieur. » (source)

    Les responsabilités de ce crime barbare ne sont pas précisément établies. Trotsky écrira que l’ordre venait de Lénine lui-même.
    La piste du crime rituel juif est étudiée très sérieusement, depuis peu, par la justice russe elle-même.

     

    Source : contre-info

  • Nigéria : Boko Haram massacre de 81 personnes. Aucune manifestation de la part de la gauche contre ce massacre.

    Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2020

    Au Nigéria, les insurgés de Boko Haram ont tiré à bouts portants sur les villageois rassemblés, sans épargner les femmes ni les enfants.

    Mardi 9 juin, le village de Faduma Kolomdi au Nigéria a été attaqué par Boko Haram. 81 personnes ont péri dans ce massacre qui a duré 6 heures, 13 ont été blessées, 7 enlevées.

    Abubakar Sadiq Kurbe@iamKurbe
     

    These are not Animals, they are human being kills by Boko Haram insurgents in the village of Gubio local gov't of Borno state.

    President @MBuhari, you were voted to protect the lives and properties of the electorates, these people need your attention, they too are human.

    Le gouverneur de l’État de Borno, Babagana Zulum, s’est rendu sur place le lendemain. Il a dénoncé cette attaque « barbare », avant d’ajouter qu’il fallait « déloger les insurgés sur les rives du lac Tchad » grâce à des « efforts régionaux concertés ».

    [...]

    En se rendant sur place, le gouverneur Zulum a écouté le témoignage poignant d’un survivant, dont les propos ont été repris par le Sahara Reporter.

    « Les insurgés dans des camions armés et des chars blindés sont arrivés vers 10 heures hier (mardi). Ils ont opéré pendant environ six heures et sont partis vers 16 heures. Ils nous ont rassemblés et ont dit qu’ils voulaient nous dire un sermon religieux. Ils nous ont demandé de leur donner toutes les armes que nous avions. Certains villageois ont abandonné leurs pistolets, arc et flèches. Les insurgés ont prétendu qu’ils ne seraient pas violents. Soudain, ils ont commencé à tirer à volonté. Même les enfants et les femmes n’ont pas été épargnés, beaucoup ont été abattus à bout portant. Beaucoup ont commencé à courir. À la fin, de nombreuses personnes ont été tuées. Nous avons enterré des gens de 22 heures hier soir à 6 heures ce matin. Nous avons enterré 49 cadavres ici tandis que 32 autres cadavres ont été emmenés par des familles des villages qui nous entourent. Les insurgés ont enlevé sept personnes, dont notre chef de village. Ils sont partis avec 400 têtes de bétail. »

    Un groupe du Parlement britannique vient de publier un rapport intitulé « Nigéria : Génocide en cours ? ». Ils y dénoncent la persécution des chrétiens commise par les militants de Boko Haram mais aussi par les éleveurs peuls.

     

    [...]

    M.C.

    Infochretienne.com via lesobservateurs

  • Afrique du Sud : un restaurateur autrichien massacré à coups de machette devant sa femme, il a été « découpé en morceaux »

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020

    Par  le 14/06/2020

    Afrique du Sud – Le propriétaire d’un restaurant à thème allemand a été découpé « en morceaux », devant sa femme terrifiée, par un individu armé d’une machette.

    Eduard Neumeister, né en Autriche, est mort après avoir reçu des « dizaines de coups » de coups de machette dans sa petite ferme de campagne en Afrique du Sud.

    L’homme de 67 ans et sa femme Margit Riebler, 62 ans, étaient au restaurant de saucisses Bratwurst, qu’ils dirigent ensemble. Lorsque Eduard est sorti pour nourrir leurs deux chiens, il a été soudainement frappé par un homme avec une cagoule et jeté à terre.

    Margit a décrit à la police la lutte qui s’est déroulée à l’extérieur du restaurant, au cours de laquelle Eduard, connu par les habitants sous le nom d’Edi, a tenté de neutraliser l’assaillant, avant de s’effondrer dans une énorme mare de sang.

    Il avait été frappé à plusieurs reprises avec la lame, faisant croire à Margit qu’il était mort. L’homme cagoulé s’est alors rendu dans la cuisine du restaurant et a saisi Margit à la gorge.

    Il a menacé de la tuer avant d’exiger : « Donne-moi tout l’argent ou meurs ».

    Alors qu’il l’étranglait, Margit a vu son mari Eduard, horriblement blessé et couvert de sang, qui tentait de l’aider.

    L’agresseur s’est retourné et a lancé une seconde attaque. Les policiers sont arrivés plus tard et ont déclaré qu’ils n’avaient jamais vu des blessures aussi horribles infligées par un seul homme et qu’Eduard avait été littéralement coupé « en morceaux ».

    Mirror via fdesouche