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massacre - Page 3

  • 28 mai… 1794 : la République massacrait encore des Français et rasait un village (et pour quel motif !)

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mai 2023

    Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.

    Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.

    Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?

    Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…

    Maignet avait alors ordonné à la commune d’indiquer les coupables et y avait envoyé le 4e bataillon de l’Ardèche, le logis et la nourriture étant aux frais des habitants. Par ailleurs, il avait ordonné l’arrestation des membres de la municipalité et du comité de surveillance, des nobles, des prêtres et de tous les suspects, « comme auteurs ou complices présumés du complot », et chargé le tribunal criminel du département d’instruire et de juger l’affaire « révolutionnairement ».

    Les coupables n’ayant pas été retrouvés, Maignet prit un second arrêté le 20 floréal (9 mai) dans lequel il ordonnait le transfert, dans les plus brefs délais, du tribunal criminel à Bédoin pour y instruire la procédure et y faire exécuter immédiatement les jugements rendus. De même, il prévint tous les habitants non détenus qu’après l’exécution des principaux coupables, ils auraient vingt-quatre heures pour quitter leur maison avec tout leur mobilier, avant que le village ne soit livré aux flammes.

    Le tribunal révolutionnaire prononce 66 condamnations à mort exécutées aussitôt par la guillotine. La population doit payer une nouvelle taxe révolutionnaire par habitant, les maisons sont incendiées, les terres agricoles stérilisées au sel, le village appelé « Bédoin l’infâme » est rayé de la carte, le reste des habitants déporté dans les villages voisins et assigné à résidence.

     

    Source : contre-info

  • massacre de la rue d'Isly à Alger

    Publié par Guy de Laferrière le 26 mars 2023

    Souvenons-nous du 26 mars 1962
    Massacre de la rue d'Isly à Alger

  • Dinan (Côtes-d’Armor) : une lesbienne en massacre une autre devant un enfant de cinq ans

    Publié par Guy de Laferrière le 14 mars 2023

    ndf

    Posté par Eric Martin

    Dinan (Côtes-d’Armor) : une lesbienne en massacre une autre devant un enfant de cinq ans

    Actu.fr nous en dit plus :

    “Une dispute a viré au drame, vendredi 10 mars 2023 dans le pavillon d’un quartier tranquille de Dinan-Léhon.

    Vers 21 heures, les gendarmes ont été appelés pour intervenir suite à une violente dispute entre deux femmes, qui avait éclaté à l’extérieur de la maison. Un enfant de 5 ans, qui s’est révélé être le fils de la victime, avait été mis à l’abri après avoir assisté à une première scène de violence.

    Lorsqu’ils se présentent sur les lieux, les militaires « entendent des appels au secours à l’intérieur de la maison », indique le procureur de la république de Saint-Malo dans un communiqué publié ce dimanche 12 mars.

    Ils parviennent à rentrer et font face à une femme qui tenait contre elle à bout de bras une autre femme grièvement blessée.

    La victime, jeune mère de famille de 28 ans, est décédée suite à plusieurs coups de couteau au niveau du thorax, de l’avant-bras et du cou.

    L’auteur de cet homicide était la compagne de la victime depuis environ 2 mois. Elle doit être présentée au parquet de Rennes dans la journée en vue d’une mise en examen pour homicide volontaire.

    Quant au petit garçon de 5 ans, qui a été en partie témoin du drame, il a été transporté à la demande du procureur au service des urgences pédiatriques du centre hospitalier de Saint-Malo, où il a pu bénéficier d’une prise en charge.”

  • L’Artsakh arménien massacré dans l’indifférence générale

    Publié par Guy de Laferrière le 28 décembre 2022

    Auteur : 

    Ils sont vraiment peu nombreux les droitsdelhommistes

    à se soucier du sort des chrétiens de l’Artsakh arménien.

    Hormis de grandes figures catholiques comme Philippe de Villiers, quelques médias de « droite » comme Valeurs Actuelles, Fdesouche et Boulevard Voltaire,  ou de courageuses individualités comme le célèbre Marc Hassin, personne ne semble s’offusquer du massacre en cours dans cette partie de l’Arménie chrétienne.

    Est-ce à dire que les crimes de guerre commis par l’Azerbaïdjan, fournisseur de gaz à l’Europe de madame Van der Layen, sont absous ipso facto ? Qu’ils sont en adéquation avec les valeurs de l’UE, vraiment ?

    Ce silence est honteux, il laisse mourir dans l’indifférence générale les habitants arméniens héroïques qui s’accrochent à leurs rochers du Haut-Karabagh.

    Notre confrère de Boulevard Voltaire, Pierre Arette, lance ce cri d’alarme :

    « Quel est le tort de ces vieillards, de ces femmes et de ces enfants qui fuient ? Être Arméniens, être chrétiens, deux raisons d’être de trop. Qu’on les abatte au bord des routes, comme des chiens errants, qui s’en émouvra ? Personne, ou presque. La focale médiatique est déportée ailleurs, vers d’autres femmes peut-être, d’autres enfants, d’autres drames ? Parce qu’un peu d’émotion correcte ça rassure, ça donne un peu d’humanité, à ceux qui la génèrent et à ceux qui l’éprouvent ; sentiment du devoir accompli entre la poire et le fromage du Nouvel An. »

    Après le grand génocide ordonné et perpétré par les Turcs au début du XXe siècle, allons-nous assister maintenant au massacre de l’Artsakh arménien dans l’indifférence générale ?

     

    Source : medias-presse.info

  • Il y a soixante ans : le massacre de la rue d’Isly

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2022

    Le 26 mars 1962, un traquenard diabolique ourdi par le pouvoir gaulliste et ses complices à Alger permettait d’enfermer dans une nasse les patriotes algérois venus défiler pacifiquement derrière les drapeaux français, pour protester contre le terrible blocus du quartier de Bab-el-Oued, assiégé par la Gendarmerie mobile.

    Le préfet Vitalis-Cros fit appel à l’armée pour bloquer le passage de la foule. C’est le 4e Regiment de Tirailleurs Algériens ( arabes ou berbères, qui n’avaient jamais assuré l’ordre en ville, revenus harassés après plusieurs jours de marche), qui est désigné malgré la mise en garde de son commandement prévenant que ces soldats ne sont pas préparés à une confrontation urbaine.

    Ils étaient trois mille civils non armés à défiler vers le quartier de Bab el Oued, et se retrouvèrent donc face à un barrage militaire.

    A 14h45, un lieutenant des tirailleurs vient les prévenir, ou plutôt les supplier :
    « dispersez-vous, nous avons ordre de tirer ».

    Quelques minutes après, les armes automatiques crépitent vers la foule.
    Une centaine de Français, hommes, femmes, enfants, furent abattus (certains achevés à terre) et plusieurs centaines furent blessés par les balles françaises. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.

    Ce que les Soviétiques n’ont pas osé à Budapest fin octobre 1956, les criminels gaullistes l’ont réalisé : faire tirer sur les habitants, sur les civils. Des officiers et des soldats portant l’uniforme de l’armée française ont tiré, pour réduire au silence en les tuant, des Algérois français qui voulaient rester français. Crime ineffaçable et qui souille à jamais notre armée et notre nation.

    Le gouvernement n’a jamais présenté d’excuses.

    Plus de détails sur ce site notamment.