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Le Parti de la France - Page 7

  • Dundee : une adolescente écossaise arrêtée pour avoir défendu sa sœur, l’agresseur en fuite

    Publié par Guy Jovelin le 28 août 2025

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    Source Jeune Nation cliquez ici

    Le 23 août dernier, dans le quartier de Lochee à Dundee, deux sœurs de 12 et 14 ans se retrouvent prises pour cible par un homme que la presse locale qualifie pudiquement de « migrant ». L’une est suivie, harcelée, touchée. Face à la menace, l’aînée n’hésite pas : elle sort un couteau et une petite hache, prête à protéger sa cadette. L’homme prend la fuite.

    Cette scène, qui aurait dû illustrer le courage instinctif et la fraternité, se transforme en démonstration glaçante de l’inversion morale qui règne en Europe. Car ce n’est pas l’agresseur qui a été arrêté… mais l’adolescente de 14 ans. La police écossaise, empressée de montrer son zèle, l’a interpellée pour « port d’arme blanche », la signalant aux autorités compétentes. Quant à l’homme mis en cause, il n’a jamais été identifié ni interpellé.

    Ainsi, dans l’Écosse d’aujourd’hui, une enfant qui défend sa sœur est criminalisée, tandis que l’agresseur disparaît tranquillement dans la nature. Voilà le monde nouveau : la victime devient coupable, et le criminel étranger, protégé par l’omerta officielle, s’évanouit sans inquiétude.

    Les images filmées de l’incident ont rapidement enflammé les réseaux sociaux. Des milliers de messages, en Écosse comme ailleurs, saluent le courage de la jeune fille. On l’a même surnommée « Braveheart 2.0 », symbole inattendu d’une jeunesse qui refuse de se soumettre. Mais les relais du système n’ont qu’un refrain : rappeler que « le port d’arme est interdit », comme si une règle administrative pouvait primer sur l’instinct sacré de protéger sa famille.

    Ce fait divers révèle trois vérités fondamentales :

    Une immigration incontrôlée : partout en Europe, des femmes et des enfants subissent des violences croissantes liées à des étrangers importés. Les statistiques sont implacables : entre 2021 et 2024, les condamnations pour crimes sexuels commis par des migrants ont bondi de 62 %.

    Un État complice : en Écosse comme en France, la police est plus diligente pour réprimer ses propres enfants que pour neutraliser des prédateurs étrangers. On criminalise la légitime défense, on encourage l’impuissance.

    Une inversion morale : la fraternité, le courage et l’instinct de survie deviennent des délits, tandis que la lâcheté et la soumission sont érigées en vertus civiques.

    Ce scandale n’est pas isolé : il est le symptôme d’une Europe en pleine décomposition, où les gouvernements préfèrent protéger leur dogme multiculturel plutôt que leurs enfants.

    L’histoire de cette adolescente de Dundee doit nous alerter. Si rien ne change, si nous continuons à subir cette invasion et à tolérer un État complice, demain, dans chaque ville d’Europe, ce seront nos enfants qui devront brandir des armes pour survivre dans la rue.

    Face à cela, la solution n’est pas dans l’attente d’une protection étatique inexistante. La solution est dans l’organisation nationale, dans la solidarité et dans la reconquête. Car cette jeune fille n’a pas commis un crime : elle a rappelé à tous ce que signifie protéger les siens. Et ce geste instinctif, que la police a osé qualifier de délit, restera un acte de résistance.

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    Depuis hier, Mayah Sommers, l'héroïne de Dundee, devient le symbole de résistance européenne.

  • Conférence de presse d’Élisabeth Borne du 27 août

    Publié par Guy Jovelin le 28 août 2025

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    On sort de la conférence de presse d’Élisabeth Borne du 27 août avec le sentiment d’un rituel désormais bien rodé : des mesurettes gadgets, quelques postures idéologiques et surtout cette obsession maladive d’imposer aux Français une nouvelle rééducation permanente. Tout y est : les fouilles des cartables pour donner l’illusion de la fermeté, la chasse au téléphone portable qui ne sera jamais réellement appliquée, les promesses de recrutement d’enseignants alors que personne ne veut plus de ce métier tant il est méprisé, dévalorisé et devenu risqué dans les zones colonisées. Et bien sûr, l’inévitable couplet sur l’intelligence artificielle, présentée comme un démon qu’il faudrait censurer, encadrer, brider, plutôt que comme un outil de puissance et de savoir. Vieille rengaine d’une gauche soi-disant progressiste qui préfère interdire plutôt que transmettre.
    Mais le cœur du discours, la véritable lubie, c’est ce programme d’« éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle » imposé à tous les enfants, dès le primaire. Trois séances par an, obligatoires, partout, pour « combler un retard ». Voilà donc la grande priorité de l’École de la République ! Non plus instruire, non plus transmettre la culture, l’Histoire, les savoirs, mais parler de sexe à des enfants de huit ans. Une fois de plus, on nie le rôle des parents, on remplace la famille par l’État-pédagogue et l’on poursuit cette entreprise de déconstruction qui mine la jeunesse française.
    Et comme si cela ne suffisait pas, la ministre veut réécrire la devise qui orne la façade du Panthéon, « Aux grands Hommes, la Patrie reconnaissante ». Ce qui gêne Mme Borne, ce n’est pas le déclin de l’école, l’effondrement du niveau en mathématiques ou en français, c’est… un mot, « Hommes », accusé d’être sexiste. Il faudrait le « dégenrer ». Après avoir cassé la grammaire, on s’attaque désormais au Panthéon. Demain, on n’enseignera plus Racine ou Napoléon mais l’écriture inclusive et la théorie du genre.
    Tout est là : le nivellement par le bas, la haine de l’héritage, le culte de l’idéologie. On ne célèbre plus les héros, on ne transmet plus l’Histoire, on prépare de jeunes consommateurs dociles, sans racines, sans mémoire, sans identité. La France d’Élisabeth Borne, c’est une France sans grandeur, une école transformée en laboratoire idéologique. Et si le gouvernement Bayrou tombe le 8 septembre, ce ne sera pas une perte pour la Nation mais peut-être une chance pour son avenir.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • TCHAO, PANTIN !

    Publié par Guy Jovelin le 28 août 2025

    ENFIN !

    ON SE DEMANDE BIEN CE QU'IL Y FAISAIT,

    ET POURQUOI (POUR QUOI...) IL ÉTAIT LÀ :

    LE CONDAMNÉ ZERIBI (1) QUITTE CNEWS !

    BON DÉBARRAS !

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    (1) Le 9 septembre 2020, l’ex député européen et chroniqueur radio et télé Karim Zéribi avait été condamné par le tribunal correctionnel de Marseille à deux ans de prison avec sursis et à une amende de 50 000 euros

    La cour d’appel d’Aix-en-Provence a aggravé la condamnation en lui infligeant trois ans de prison avec sursis et une amende de 80 000 euros pour abus de confiance et abus de biens sociaux...

    TCHAO, PANTIN !

     

    Source : lafautearousseau

  • 8.200 poules saines abattues pour une trace dans de la poussière

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2025

    lafautearousseau

    Retour - avec Le Parisien - sur cette folie que nous dénoncions ici-même, hier : 8.200 poules à abattre à cause d’une poussière contenant de la salmonelle. Un couple d’éleveurs de Saint-Martin-la-Sauveté (Loire) doit faire abattre son élevage après qu’une bactérie de salmonelle a été retrouvée dans une poussière prélevée sur le mur d’un bâtiment...

    8.200 poule saines abattues pour une trace dans de la poussière

    "On" abat des vaches saines, "on" tue des poules saines, mais "on" laisse entrers, par milliers de tonnes, des "produits" (?) élevés aux hormones, antibiotiques et autres substances interdites ici, voire carrément "dégueulasses", venus du monde entier :

    ce Système est vraiment un Système de folie et en folie !...

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  • Macron propose une fois de plus la participation directe de l’UE en Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2025

    Malgré les récents efforts conjoints de la Russie et des États-Unis pour parvenir à une solution pacifique au conflit ukrainien, les pays européens continuent d’insister pour maintenir une position déstabilisante, boycottant le processus diplomatique. Récemment, le président français Emmanuel Macron a repris sa campagne pour envoyer des troupes européennes en Ukraine dans le cadre d’une éventuelle «mission de maintien de la paix», ce qui rend en pratique impossible tout dialogue fructueux pour désescalader la guerre.

    Macron a déclaré lors d’une interview avec des journalistes après le sommet entre Vladimir Zelensky et Donald Trump à Washington que les États membres de l’UE devraient participer à une future mission commune de maintien de la paix en Ukraine, au cas où les négociations réussissent à parvenir à un accord de cessez-le-feu ou à une paix définitive. Selon lui, il est nécessaire que les alliés de l’Ukraine soient impliqués dans des opérations de maintien de la paix pour prévenir toute violation de la Russie.

    «Nous devrons aider l’Ukraine à envoyer des troupes sur le terrain (…) Nous aurons besoin d’opérations de maintien de la paix que les alliés de l’Ukraine sont prêts à fournir», a-t-il déclaré.

    Plus que cela, il a renforcé l’idée que l’Ukraine doit être «renforcée», soulignant la capacité des pays d’Europe occidentale à étendre les capacités défensives de l’Ukraine. Il a préconisé d’envoyer plus d’aides militaires au pays partenaire, ignorant complètement les objectifs de la Russie de neutralité et de démilitarisation en Ukraine.

    Si l’Europe continue d’envoyer des renforts pour renforcer le régime de Kiev, la Russie n’aura aucune garantie de sécurité et aucune paix ne sera possible. Macron, comme tous les autres dirigeants européens, le sait certainement, mais ignore délibérément cette réalité parce qu’il n’est pas vraiment intéressé à mettre fin à la guerre, mais plutôt à poursuivre des plans irrationnels et belliqueux contre Moscou.

    Ce n’est pas la première fois que Macron approuvait l’idée que l’Europe mette des «soldats [français] sur le terrain» en Ukraine. Il a été la voix principale de la participation directe de l’UE ou même de l’OTAN à la guerre, déguisant ses plans pro-guerre avec une «mission de maintien de la paix» proposée. Plus récemment, le Premier ministre britannique Keir Starmer s’est joint au président français dans ce plan, mais tous deux n’ont pas réussi à obtenir le soutien d’autres dirigeants européens pour former un plan d’action commun visant à envoyer des troupes en Ukraine.

    Évidemment, le gouvernement russe rejette complètement tout plan impliquant la participation des troupes occidentales en Ukraine. Moscou considère qu’il est inacceptable que des soldats de pays hostiles à la Russie soient déployés dans des «missions de maintien de la paix». Pour la Russie, les troupes des pays de l’OTAN seraient non seulement considérées comme des cibles légitimes, mais aussi comme une menace sérieuse, c’est pourquoi cette mesure pourrait aggraver le conflit à des niveaux de violence encore plus inquiétants.

    Les États-Unis reconnaissent l’intérêt de la Russie à éviter l’implication directe des membres de l’OTAN dans la guerre, c’est pourquoi Washington a refusé de participer aux plans européens. Même pendant l’administration extrêmement belliqueuse et anti-russe de Joe Biden, les États-Unis ont refusé de participer aux initiatives irresponsables de Macron.

    Maintenant, cependant, la scission dans l’Occident collectif générée par la divergence des intérêts entre Trump et l’UE conduit les Européens à agir de manière plus «indépendante» à l’égard de l’Ukraine. Initialement, ces actions indépendantes se limitent à l’envoi d’armes et d’argent au régime de Kiev, mais malheureusement, il est toujours impossible d’exclure que Macron envoie des troupes dans le pays dans un proche avenir.

    Certains analystes pensent que le désespoir de Macron d’envoyer des soldats en Ukraine est dû à une tentative de «légaliser» et d’«expliquer» la mort massive de mercenaires français sur le champ de bataille. Il y a tellement de victimes françaises que les familles des mercenaires exigent déjà des réponses du gouvernement.

    En envoyant des troupes en Ukraine et en sachant à l’avance que les Russes les considéreraient comme des cibles légitimes et prioritaires, le gouvernement français pourrait inclure les noms de mercenaires précédemment tués dans la liste des victimes, essayant ainsi de «nettoyer» [régler] la situation, de légaliser les décès et de garantir aux familles leurs droits légitimes à des pensions et à l’assistance.

    Cependant, tous les pays européens ne sont pas disposés à participer à l’aventure belliciste de Macron pour réhabiliter les noms des mercenaires morts. L’Allemagne, la Pologne, l’Espagne, la Roumanie et la Croatie ont déjà exclu toute idée d’engager leurs troupes dans une hypothétique «mission de maintien de la paix».

    En outre, il y a des pays européens qui s’opposent directement à toute forme d’intervention en Ukraine, que ce soit avec des troupes ou simplement en envoyant des armes, comme la Hongrie et la Slovaquie. Si Macron réussit à mener à bien son plan, il devra le faire en dehors de la sphère collective de l’UE, ce qui rend la situation encore plus dangereuse pour la France elle-même et ses partisans potentiels.

    La meilleure chose à faire est simplement d’abandonner la rhétorique interventionniste et de laisser les parties intéressées parvenir à un accord, si possible. Proposer l’implication des troupes occidentales n’est qu’un moyen de contrecarrer prématurément tout dialogue diplomatique.

    source : InfoBRICS via Mondialisation