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Le Parti de la France - Page 3

  • “Du cassoulet plutôt que du couscous”: le ministère de l’Agriculture demande à modifier une pub pour les produits bios afin de représenter “tous les Français”

    Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2025


    Selon Le Figaro, la ministre de l’Agriculture Annie Genevard a demandé à l’Agence Bio de modifier un spot publicitaire de la campagne « C’est bio la France », prévue pour diffusion à partir du 22 mai. D’après Libération, le cabinet ministériel a exigé un « casting caucasien » pour une scène avec un adolescent, en remplacement d’un garçon métis, et a suggéré de substituer le couscous par un cassoulet au canard dans une séquence de repas familial. L’objectif officiel serait de veiller à ce que « tous les Français soient représentés » et que « la diversité des productions biologiques et locales soit également représentée ». Le ministère regrette un « faux débat ». Finalement, seul le plat a été modifié, le casting ayant été conservé pour raisons logistiques. L’Agence Bio, dont le budget avait failli être supprimé par un amendement de la droite sénatoriale, n’a pas commenté.


  • ON ATTEINT LES SOMMETS !

    Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2025

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    ON ATTEINT LES SOMMETS ! (dans le JDD)

    "Je vous invite à l’humanité" : Sandrine Rousseau appelle à légaliser l’euthanasie, y compris pour les clandestins..."

    https://www.lejdd.fr/politique/je-vous-invite-a-lhumanite-sandrine-rousseau-appelle-a-legaliser-leuthanasie-pour-les-clandestins-157057?at_medium=Fan+Page&at_campaign=Twitter&at_creation=JDD

    Comme disait Michel Audiard : "Quand on mettra les cons sur orbite, t'auras pas fini de tourner !..."

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  • Le choix d’un prénom : les références aux saints du catholicisme en voie de disparition ?

    Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2025


    Baptiste Coulmont, Professeur des universités  (École Normale Supérieure Paris-Saclay) a étudié l’attribution des prénoms depuis le début du XXème siècle. Vers 1900, la quasi-totalité des bébés recevait un prénom dérivé ou proche de celui d’un saint catholique. Ils ne sont plus qu’un quart aujourd’hui dans ce cas.

    Quelle que soit la source consultée, du calendrier des Postes à la liste des saints de la Conférence des évêques de France, on constate que la proportion de bébés nés en France et recevant un prénom de saint catholique diminue au cours du dernier siècle. […]

    On peut expliquer cette diminution de différentes manières. En faisant référence à la sécularisation de la société française dans laquelle l’Église romaine joue un rôle moindre, concurrencée par d’autres institutions. Rappelons qu’en 2019-2020, 25% des Français se déclaraient catholiques contre 43% en 2008-2009. Mais on peut faire référence aussi au goût parental pour la nouveauté : or les prénoms des Saints ont de grande chance d’être des prénoms démodés, puisqu’ils étaient donnés par les générations précédentes.

    On peut enfin insister sur la libéralisation du choix (effective depuis 1993 mais en gestation depuis plusieurs décennies), qui permet aux parents de sortir de la référence aux « usages des différents calendriers ». La diversification religieuse joue sans doute un rôle, aussi : il est évident que le répertoire catholique n’est pas celui de l’islam ou du bouddhisme.

    Les personnes nées au début du XXe siècle avaient entre 4 et 5 fois plus de chance d’être nommées « Z » si elles naissaient le jour de la Saint-Z qu’un autre jour de l’année. Pour les personnes nées dans les années 1980 (et déjà décédées) il n’y a plus d’effet « Saint du jour ».

    La disparition a été plus lente sur les seconds prénoms, ces prénoms invisibles, connus du seul entourage proche : ces prénoms sont souvent des prénoms d’une génération plus âgée (cousines et cousins, grands-parents, oncles et tantes) et de plus associés au parrainage et donc à un saint protecteur. […]

    On peut même penser qu’aujourd’hui naître le jour de la Saint-Z conduit les parents à éviter ce prénom : le choix du prénom se vit parfois comme un choix libre, entièrement libre.

    The Conversation (Article intégral)

  • Il faut censurer ce gouvernement. Il faut renvoyer François Bayrou.

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2025

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    Il y a quelque chose de pathétique, presque crépusculaire, dans la conférence de presse de ce 15 avril du Premier ministre François Bayrou. Un spectacle d'impuissance tranquille, de résignation molle, de fatalisme brumeux. Une sorte de grand-père grognon qui, face à l’incendie qui ravage la maison, se contente de marmonner qu’il fait chaud et que c’est sans doute la faute du voisin.
    La France vit une crise budgétaire majeure, une hémorragie financière, une dette abyssale qui menace jusqu’à la souveraineté nationale. Et que fait François Bayrou ? Il découvre. Il réalise, presque avec candeur, que les dépenses publiques pèsent. Il nous apprend, entre deux soupirs et trois truismes, que l’argent magique n’existe pas. On aurait dit un étudiant découvrant les bases de l’économie publique à la veille de son partiel. Ce n’est plus un Premier ministre, c’est un promeneur du dimanche perdu sur un champ de bataille.
    Il annonce 40 milliards d’économies. Très bien. Où ? Comment ? Sur quoi ? Silence. Le brouillard. Pas un chiffre. Pas une piste. Pas une stratégie. C’est de la prestidigitation comptable, un tour de passe-passe verbal, sans le moindre contenu. De l’économie incantatoire. Le mot « économies » a été prononcé, c’est tout ce qui compte. La réalité, elle, attendra. Ou l’élection suivante.
    Et comme tous les incapables, il trouve des excuses. La guerre en Ukraine. Donald Trump et ses droits de douane. La météo bientôt ? L’alignement des planètes ? Le Premier ministre de la cinquième puissance mondiale se lamente comme un élève pris en défaut. Il se cherche des boucs émissaires, externalise la responsabilité, fuit la vérité.
    Il promet des « orientations » pour le budget 2026… d’ici le 14 juillet. Autrement dit : plus tard. Demain. Après-demain. Le jour où il fera beau. C’est-à-dire jamais. Car ce gouvernement n’a ni boussole, ni énergie, ni courage. Il est paralysé par sa propre médiocrité.
    François Bayrou est dépassé. Éreinté. Usé. Trop vieux pour l’époque, trop lent pour l’urgence, trop tiède pour le défi. Ce n’est plus un chef de gouvernement, c’est un retraité de la politique à qui l’on a redonné les clés par nostalgie mal placée. Il n’a plus la flamme, plus la force, plus l’intelligence stratégique que requiert la situation dramatique du pays.
    Il faut le dire clairement : la France ne peut plus se permettre ce genre de simulacre au sommet de l’État. Ce n’est pas seulement une erreur politique, c’est une faute grave. Il en va de notre avenir, de notre indépendance, de notre survie.
    Il faut censurer ce gouvernement. Il faut renvoyer François Bayrou. Et vite. Avant que le naufrage ne devienne irréversible. La France mérite mieux que cette procession de technocrates à bout de souffle.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France