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Selon BFMTV, Emmanuel Macron a officiellement reconnu, dans un courrier au président camerounais Paul Biya, que la France a mené « une guerre » contre des mouvements insurrectionnels au Cameroun avant et après l’indépendance de 1960. Cette expression, jusque-là absente du discours officiel français, reprend les conclusions d’un rapport d’historiens remis en janvier. Le document, basé sur des archives, témoignages et enquêtes de terrain, indique que cette guerre, menée avec des violences répressives « de nature multiple », s’est poursuivie au-delà de 1960 avec l’appui de Paris aux autorités camerounaises indépendantes. Elle aurait fait « des dizaines de milliers de victimes » entre 1956 et 1961. Macron espère que cette reconnaissance permettra de « continuer à bâtir l’avenir » et de renforcer les liens entre les deux pays. Le président camerounais Paul Biya, 92 ans, est candidat à un huitième mandat pour l’élection du 12 octobre prochain, après l’exclusion de son principal opposant Maurice Kamto.
Les amis de mes amis – très bien nantis – sont mes amis très bien placés : Rachida Dati , Emmanuel Macron et Laurent Vallet.
« Dis moi qui tu fréquents, je te dirai qui tu es » ou bien « D’où tu parles, camarade » sont deux injonctions proverbiales que l’on peut facilement appliquer à nos trois compères de haut vol, à savoir Rachida, Emmanuel et Laurent (1).
Président de l’INA (2) depuis 2015, à la suite d’Agnès Saal, condamnée pour des remboursements de frais indus, Laurent Vallet a été reconduit pour un troisième mandat de cinq ans à la tête de l’institution publique, en conseil des ministres, le 15 mai dernier, sur proposition de la ministre de la Culture, Rachida Dati, cinq jours avant la fin de son deuxième mandat.
C’est ce brillant membre de l’élite macronienne qui a été interpellé par des policiers de la brigade anticriminalité (BAC) pour achat de stupéfiants, dans le 12e arrondissement de Paris, le mardi 29 juillet 2025.
Voici comment nos bien informés confrères de Valeurs Actuelles rapportent les faits :
Au cours de la palpation du suspect, qui a fini par admettre avoir remis un pochon de drogue, les policiers ont retrouvé la somme de 600 euros, puis se sont rendus à l’appartement du 3e étage, où ils sont tombés sur un homme anxieux, qui a avoué avoir acheté de la cocaïne pour le même montant et reconnu son visiteur.
L’acheteur, âgé de 55 ans, a remis aux agents un sachet transparent contenant de la poudre blanche. Laurent Vallet et le vendeur ont tous les deux été interpellés et présentés au commissariat du 11e arrondissement. Ce dernier, né et domicilié à Paris, de « type africain », est un mineur de 17 ans, précise une source policière.
Que croyez-vous qu’il arriva à notre cher – très cher compte tenu de son salaire payé par nos impôts – cocaïnomane ?
Rien, vraiment rien ! En effet, le parquet de Paris nous indique, que monsieur Laurent Vallet « comme pour tout usager et conformément à la politique pénale, s’agissant d’une première interpellation, l’intéressé a été orienté vers une injonction thérapeutique ».
Que le peuple le sache bien, que les gueux se le disent, que les populistes se le mettent bien dans le crâne : le Président de l’INA est MALADE et ne peut être condamné.
Nous aimerions tant bénéficier d’un tel traitement indulgent lorsque nous contrevenons, même petitement, au code de la route.
Oui, mais voilà, nous n’appartenons pas à cette élite républicaine intouchable qui ne peut être soumise à la stricte loi qu’elle n’édicte que pour les dhimmis que nous sommes devenus.
Dhimmis consentants d’ailleurs puisque nous avons accepté tous les oukases du confinement covidien sans jamais nous révolter !
Alors, pourquoi se gêneraient-ils nos gouvernants ?
Peut-être serait-il temps de penser « contre-révolutionnaire » ?
Qu’en pensent nos lecteurs ?
Rastignac
Notes
(1) Diplômé de Sciences-Po, de HEC et de l’ENA, ce haut fonctionnaire né au Canada est passé par la direction générale du Trésor, la direction financière de France Télévisions, le cabinet du ministre de l’Économie Laurent Fabius, avant d’être nommé directeur général de l’Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles (IFCIC)
Selon un article de Rachel Binhas, mis en ligne hier sur le site de Marianne, le macroniste Richard Ferrand, président du Conseil constitutionnel, aurait fait pencher la balance en faveur de la censure partielle de la loi, dite "Philippine", visant à faciliter le maintien en rétention des étrangers condamnés pour des faits d’une particulière gravité.
Selon les informations de l’hebdomadaire, « l’atteinte aux principes constitutionnels », en effet,« n’avait rien d’évident » puisque « les Sages étaient particulièrement divisés sur la position à tenir (…), quatre voix (s’exprimant) en faveur de la censure et quatre autres (estimant) la loi conforme à la Constitution ».
Rappelons que Richard Ferrand, considéré comme un "fidèle parmi les fidèles" du président de la République, a été proposé par ce dernier, le 10 février dernier, pour présider l’institution du Palais-Royal ; mais qu’il n’a pu accéder définitivement à la fonction qu’à une voix près, à l’issue du vote des membres des commissions des Lois des deux assemblées (39 pour et 58 contre, alors que 59 voix étaient nécessaires pour bloquer sa nomination), grâce à l’abstention des parlementaires du RN et de l’UDR d’Éric Ciotti.
Le député mariniste Bryan Masson avait alors justifié cette position en déclarant "rassurante" la profession de foi du candidat d’Emmanuel Macron lors de son audition par les parlementaires, au motif que ce dernier s’était engagé « en expliquant qu’il ne devait pas y avoir de gouvernement des juges ».
En matière d’analyse politique, et d’opposition, on fait mieux…
Bernard Lugan - Article paru sur le site du Nouveau Présent, cliquez ici.
Le gouvernement algérien ose demander à la France une réévaluation de la valeur locative de ses emprises diplomatiques en Algérie et le remboursement de loyers prétendument « sous-payés », alors qu’il s’agit de bâtiments construits par la France avec l’argent des Français sur des terrains qui appartenaient à la France avant 1962…
Sans parler des centaines de milliers d’immeubles, d’appartements, de villas, de fermes, de commerces, d’entreprises, de véhicules et de machines volés aux Français lors de l’indépendance de 1962.
Sous la France, 1 lit d’hôpital pour 300 habitants !
Sans parler non plus de l’héritage exceptionnel que la France légua à l’Algérie en 1962, à savoir 54 000 kilomètres de routes et pistes (80 000 avec les pistes sahariennes), 31 routes nationales dont près de 9000 kilomètres étaient goudronnés, 4300 km de voies ferrées, 4 ports équipés aux normes internationales, 23 ports aménagés (dont 10 accessibles aux grands cargos et dont 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots), 34 phares maritimes, une douzaine d’aérodromes principaux, des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages etc.), des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels, 31 centrales hydroélectriques ou thermiques, une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc., des milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités avec 800 000 enfants scolarisés dans 17 000 classes ( soit autant d’instituteurs, dont deux-tiers de Français), un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, 14 hôpitaux spécialisés et 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants. Sans parler d’une agriculture florissante laissée en jachère après l’indépendance, à telle enseigne qu’aujourd’hui l’Algérie doit importer du concentré de tomates, des pois chiches et de la semoule pour le couscous…
Tout ce que la France légua à l’Algérie avait été construit à partir du néant, dans un pays qui n’avait jamais existé et dont même son nom lui fut donné par la France. Tout avait été payé par les impôts des Français. En 1959, toutes dépenses confondues, l’Algérie engloutissait 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce !
La seule réponse à l’arrogance des dirigeants algériens serait donc de leur présenter la note…