Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2025
Le Parti de la France - Page 3
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Le gouvernement envisage d’imposer une SUR-PRIME d’assurance de 5 % à TOUS LES FRANÇAIS pour couvrir les dégâts liés aux ÉMEUTES.
Le gouvernement envisage d’imposer une SUR-PRIME d’assurance de 5 % à TOUS LES FRANÇAIS pour couvrir les dégâts liés aux ÉMEUTES.Selon Les Échos, ce projet a connu « une avancée significative » pendant l’été et devrait figurer dans le PROCHAIN BUDGET.Ce fonds, estimé à 775 millions d’euros par an, viendrait compléter les assureurs pour indemniser les sinistres liés aux émeutes… et serait donc payé par le CONTRIBUABLE.Source : https://x.com/BastionMediaFR -
« Rien n’arrête la complosphère »… sauf s’il s’agit de Poutine !
Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2025
Quand il y a des décès dans l’entourage de Poutine, c’est suspect pour nos médias. Exemple avec France Inter :
Les morts “accidentelles” dans l’entourage de Vladimir Poutine
En revanche… quand 6 candidats de l’AfD décèdent dans un seul Land (Rhénanie-du-Nord-Westphalie), les médias français indiquent que cela “alimente les conspirationnistes”.
Source : lesalonbeige
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Campagne législative partielle (82)
Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2025
Petite réunion avant de se lancer dans la campagne législative partielle de la 1ère circonscription du Tarn-et-Garonne des 5 et 12 octobre.
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«J’avais peur qu’il me tue» : le terrible témoignage de Sophie, l’ex-femme du Tunisien arrivé clandestinement en 2019 et abattu à Marseille (mariage de 2020 à 2024)
Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2025
Le Figaro a pu échanger en exclusivité avec son ancienne femme, Sophie, 51 ans. Elle s’est mariée avec Abdelkader D. en octobre 2020 en Charente-Maritime. Elle a fait sa connaissance en octobre 2019 à La Rochelle, à une période où le Tunisien vivait chez une autre femme.
«Au départ, j’ai rencontré quelqu’un de gentil et d’agréable», nous confie Sophie. Selon sa version, l’homme, originaire d’un petit village tunisien situé non loin de la frontière algérienne, est arrivé clandestinement en France en 2018 depuis l’Italie en passant par les Alpes. Toujours selon ses dires, il serait passé par plusieurs centres de rétention administrative (CRA) en 2020 avant d’être libéré pendant la période du Covid et de revenir à La Rochelle.
Quelques mois plus tard, en octobre 2020, Abdelkader D. et Sophie se marient, à Lagord, une petite commune de Charente-Maritime. Puis ils s’installent chez elle à Périgny, dans la banlieue est de La Rochelle. «Après le mariage, il a commencé à être violent avec moi, à me mettre des claques», relate Sophie. «Il était parfois gentil et adorable et d’un coup il devenait nerveux et agressif. Il avait des changements d’humeur imprévisibles, ça me dépassait», dépeint-elle.
Sophie découvre qu’Abdelkader fume des joints mais, surtout, prend de la cocaïne. Totalement accro aux stupéfiants, l’homme est «tout le temps parti». «Il devait aller chercher sa dose. Ses sautes d’humeur constantes, c’était le manque», estime Sophie. De tendance paranoïaque, Abdelkader l’accuse régulièrement de le tromper.
Un soir, alors qu’elle va le chercher en voiture au travail, l’homme se montre d’une violence inouïe. «Il m’a tirée par les cheveux et m’a craché au visage pendant que je conduisais, ça a été la fois de trop», se souvient Sophie. «J’avais tellement peur de lui que je n’ai pas porté plainte. Je me suis dit : “Ça va être pire, ça va faire monter sa haine, il va me tuer”», poursuit-elle.
Sophie élabore une stratégie pour se séparer d’Abdelkader «sans être violentée ou tuée». En avril 2022, elle lui demande de quitter son domicile tout en lui trouvant un point de chute chez son propre père : «Pendant une période, il est allé vivre chez mon papa. Mais il a encore plus sombré dans l’alcool et la drogue». Sophie tente de le mettre à distance mais l’homme la harcèle par message, la menace de mort. Il vient parfois pleurer devant sa maison.
Toujours selon Sophie, Abdelkader aurait fini par partir de chez son père en septembre 2023 après avoir rencontré «une femme venue du pays». C’est seulement à cet instant qu’elle aurait enfin eu un peu de répit. Son divorce avec Abdelkader a été officialisé en juillet 2024. (…)
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a indiqué mardi soir que le suspect «avait une carte de séjour qui devait se terminer en 2032». (…)
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Le boulanger né en corse fait exploser un commerce concurrent à Villemur-sur-Tarn (31) : juste avant l’annonce de sa condamnation, Hilmi Oueslati s’échappe du tribunal et aurait pris la route pour le Maroc
Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2025
C’est un procès qui était très attendu par les habitants de Villemur-sur-Tarn. Un boulanger suspecté d’avoir fait exploser un local loué par un concurrent a été condamné à 5 ans de prison. Mais il s’est servi d’une faille judiciaire pour s’échapper du tribunal avant son incarcération.
[…]Les faits remontent au début de l’année. Dans la nuit du 5 au 6 mars, un violent incendie s’est déclenché au 1 avenue Michel Rocard, à Villemur-sur-Tarn, au nord de Toulouse. Des bouteilles de gaz, disposées volontairement à l’intérieur, ont provoqué l’explosion de plusieurs commerces : une pizzeria, une agence d’assurances, ainsi qu’un local destiné à accueillir une nouvelle boulangerie. Le cœur du dossier. Jeudi 21 août, à 23 heures, l’audience de comparution immédiate débute enfin devant le tribunal correctionnel. À la barre, libre de ses mouvements, se tient justement un autre boulanger de la même avenue. Très vite désigné comme suspect, cet homme né en Corse a vu sa réputation ternie par la rumeur publique et le travail des enquêteurs. “Je suis innocent. C’est un dossier à charge. Je n’ai rien fait. Ce n’est pas moi!”, martèle le quadragénaire, défendu par Me Ludovic Serée de Roch.
[…]Visiblement nerveux, le prévenu profite d’un moment d’inattention pour quitter discrètement la salle d’audience. Il s’éloigne, téléphone à l’oreille, et franchit calmement le portique de sécurité. Depuis, plus personne ne l’a revu. Selon les premières informations recueillies par la justice, il aurait pris la route du Maroc. Les autorités locales pourraient rapidement l’interpeller pour l’obliger à purger sa peine. “En attendant, j’ai décidé de faire appel de cette décision disproportionnée”, déclare Me Serée de Roch. L’attitude de son client ne lui facilitera sans doute pas la tâche lors de ce nouveau procès.
La Dépêche via fdesouche.