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Le Parti de la France - Page 3

  • Chaque année, à la minute près, les gardiens du temple de l’égalité rejouent le même rituel : à partir du 10 novembre à 11h31, les femmes travailleraient gratuitement selon les féministes.

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2025

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    Chaque année, à la minute près, les gardiens du temple de l’égalité rejouent le même rituel : à partir du 10 novembre à 11h31, les femmes travailleraient gratuitement selon les féministes. Elles brandissent l’Insee comme une arme mais on oublie de lire les notes de bas de page : ces chiffres bruts ne comparent pas des postes équivalents, ni des temps de travail similaires. On additionne des pommes et des poires, des cadres à temps plein et des temps partiels choisis, puis on crie à l’injustice patriarcale.
    Le prétendu « écart salarial » devient un mythe utile, un épouvantail commode pour désigner le mâle oppresseur. Pourtant, nul complot n’interdit aux femmes d’être ingénieurs, chefs d’entreprise ou ministres. Beaucoup font d’autres choix de vie — non par contrainte, mais par préférence. Vouloir concilier vie familiale et emploi stable n’est pas une soumission : c’est un arbitrage.
    Et si le vrai scandale n’était pas la prétendue inégalité mais la disparition du modèle où un salaire suffisait à faire vivre une famille ? Aujourd’hui, l’émancipation s’appelle double emploi, nounou hors de prix ou enfants confiés à la crèche dès trois mois. Est-ce un progrès ou une régression masquée ?
    Plutôt que de répéter les mantras d’un féminisme comptable, il serait temps de redonner sa valeur au choix, au foyer, à la maternité. Un « salaire parental » permettrait enfin aux femmes françaises de choisir librement leur rôle, sans culpabilité ni dépendance. Et de relancer la natalité.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France

     

  • Toulouse (31) : empêchée de sortir, frappée avec un bâton, étranglée… Sur fond de mariage arrangé et de regroupement familial, un Bangladais fait vivre l’enfer à sa femme durant des années. Il écope de 6 mois avec sursis

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2025

    “Regroupement familial”. C’est sous cette bannière (plus administrative que romantique) que les deux époux, mariés au Bangladesh, se retrouvent à Toulouse en 2018. Rapidement pourtant, des tensions s’installent dans le couple.

    En octobre 2021, la femme est admise aux urgences pour des troubles du comportement. Elle confie alors aux soignants que son mari la bat depuis deux ans : “La veille, il m’a frappée avec un bâton, traînée par les cheveux, donné des coups de pied”. Elle dit s’être défendue “en le mordant”. (…)

    Une deuxième alerte survient en février 2023. Cette fois, la femme se réfugie dans une association d’hébergement d’urgence à Blagnac, en pleurs, choquée, avec des traces sur le visage et le corps. Elle raconte les coups, un étranglement, des insultes et dit vivre “isolée, enfermée, sans droit de sortie”. (…)

    Le procureur insiste sur les constats médicaux : “À chaque passage aux urgences, ses propos sont corroborés par des constatations médicales”. Il requiert pour ce primo délinquant, inconnu de la justice, 6 mois de prison avec sursis probatoire, et interdiction de contact. (…)

    Le tribunal tranche : coupable. Six mois d’emprisonnement avec sursis simple et 2 000 € de dommages et intérêts à verser à la victime.

    La Dépêche via fdesouche

  • Des racailles brûlent un immeuble en tournant un clip de rap (illégalement)

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2025

    « Pendant le tournage d’un clip de rap illégal sur la voie publique à Rillieux-la-Pape, plusieurs individus ont tiré des mortiers [feux d’artifice], provoquant un important incendie qui a complètement détruit 5 appartements. Les sapeurs-pompiers qui intervenaient sur l’incendie ont ensuite été la cible de jets de projectiles, tout comme les forces de l’ordre qui mettaient en place un périmètre de sécurité. De nombreuses personnes ont été évacuées et accueillies dans un gymnase en attendant leur relogement. » (source)

    Il faut vraiment être totalement inapte à la vie en société (occidentale en tout cas) pour attaquer les gens qui viennent éteindre un incendie dans son immeuble ou son quartier…
    Qui paiera les dégâts (de ces probablement logements sociaux) ?  Certainement pas les coupables.

    La seule solution est vraiment le RAP… (pour « Retour Au Pays »)

    A multi-story apartment building at night with extensive fire damage visible on upper floors showing charred and collapsed sections exposed framework and broken windows. Debris piles including wooden planks and metal scraps accumulate at the base near bushes and streetlights illuminating the scene. The structure appears partially gutted with dark smoke residue on walls and surrounding area.

  • Un message de Jean-Eudes Gannat qui sera ce soir sur Radio Courtoisie

    Publié par Guy Jovelin le 09 novembre 2025

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    Chers amis,
     
    Je profite d'un trajet dominical pour vous remercier tous du fond du cœur, et en particulier mes camarades de l’Ouest et d’ailleurs, l'équipe de Radio Courtoisie, les personnalités publiques qui ont pris position. Je veux aussi vous dire mon émotion face à la mobilisation des milliers d'anonymes qui ont fait du bruit, des dons, m'ont écrit des messages de soutien. Depuis ma cellule j’ai prié pour vous tous.
     
    Nous vivons l'aboutissement du carcan judiciaire Pleven-Gayssot : après l'interdiction de penser et l'interdiction de dire ce que l'on pense, voici venue l'interdiction de décrire ce que l'on voit.
     
    À ceux qui se sont inquiétés, qu'ils se rassurent : je vais très bien. J'ai passé 48 heures entre 4 murs certes : mais de nombreux camarades, combattants, historiens, y ont passé bien plus de temps.
     
    Et nos pauvres adversaires, qui ont fait profession de nous surveiller et de nous brimer, passent leurs existences entières derrière des barreaux bien plus pernicieux : au mépris qu'il m'inspirent s'ajoute une infinie pitié. Car derrière leurs barreaux à eux, sous la lumière tiède de leur néons, il n’y a plus ni rêves, ni espoir, ni pardon, ni vie intérieure : seulement l’enchaînement froid du mensonge et de la procédure, et la petite promotion dans le cursus deshonorum. Tandis que même dans l’obscurité crasseuse d'une cellule, rien ne peut éteindre les mille soleils que j'ai dans le cœur, les feux de l’Espérance et les marques d'affection que sans lire ni entendre j’ai ressenti sans peine.
     
    Je récolte injustement des honneurs qui devraient revenir à mon épouse, qui a subi les tracasseries ignobles du Parquet, ses questionnement indignes sur notre vie de famille, alors qu'elle n'est nullement engagée politiquement et a déjà dû accoucher seule il y a deux ans parce qu’à la demande du procureur j'étais -déjà- maintenu injustement en cellule.
     
    Quoiqu'il en soi, je vous transmets ici toute ma reconnaissance et une promesse : celle d'essayer de me montrer à la hauteur de votre confiance et de votre affection.
     
    RDV ce soir sur Ligne Droite pour évoquer tout cela.
     

    jean-eudes gannat,message,radio courtoisie

     
  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy Jovelin le 09 novembre 2025

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