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Le sale maire gauchiste de Verdun, Samuel Hazard, a interdit dans un arrêté une messe en hommage à Philippe Pétain, héros de la Première Guerre mondiale qui doit se tenir samedi 15 novembre.
Une simple messe, un moment de recueillement, qui serait interdite au nom d’un présent qui craint son passé glorieux.
Voilà donc où nous en sommes : un pays qui n’ose plus regarder son Histoire dans les yeux, mais qui préfère la renier au nom d'une idéologie mortifère.
On demandait seulement le souvenir.
Avant d’être Chef d'État, Pétain fut le vainqueur de Verdun — le Général qui, dans la boue et le feu, sut tenir quand tout vacillait. Ce fait demeure, indiscutable, gravé dans la chair et le sang même de notre Nation.
Mais aujourd’hui, la mémoire devient suspecte. Le temps des héros se dissout dans le confort des jugements faciles. On oublie que la patrie n’est pas un tribunal : elle est un héritage, un souffle, une continuité. Effacer un nom, interdire une messe, c’est mutiler un morceau de France.
Et qu’en est-il de la foi, qui une fois de plus est attaquée par cette interdiction de messe ? Le christianisme, pilier de notre civilisation, a toujours tendu la main à ceux qui chutent. Devant l’autel, il n’y a ni juges ni coupables, seulement des âmes confiées à la miséricorde de Dieu. La messe n’est pas un acte politique, c’est un acte de foi. Quiconque a porté la croix de la souffrance, fût-il un homme controversé par l'opinion publique, a droit à la prière. Car refuser la prière, c’est refuser la charité même du Christ et c’est oublier que le pardon est au cœur de l’espérance chrétienne.
Mais vous comprendrez que ces élus drogués à la laïcité n'en ont que faire.
Par ailleurs, ce maire, a dit avec grand courage, qu'il serait physiquement présent pour empêcher cette messe s'il le faut. Nous avons donc affaire au nouveau héros de Verdun.
Qu’on laisse donc les cloches sonner pour tous nos morts.
Qu’on laisse les consciences libres d’honorer et de prier.
Car la mémoire n’est pas un délit — elle est la racine même de notre liberté.
Avec le Parti de la France, le Maréchal Pétain sera honoré sans qu'un débat, qui n'a pas lieu d'être, soit tenu.
« Courage ! On les aura ! »
Thomas Petit - Membre du Conseil national du Parti de la France
Bercoff a reçu Pierre-Guillaume Mercadal (@CochonsLaineux), membre de la @cr_occitanie, qui décrit les conditions difficiles dans lesquelles vivent aujourd’hui les agriculteurs, notamment face à l’abattage quasi forcé de leur bétail en raison de cas de dermatose nodulaire — une maladie pourtant bénigne et non dangereuse pour l’Homme...
Sur BFMTV, Jordan Bardella, Président du Rassemblement National, a déroulé ce que serait son programme s‘il accédait à un poste de gouvernement, Premier ministre ou Président de la République. Une copie incolore du politicien du système.
Jordan Bardella, Président du Rassemblement National, invité de « Face à BFM
Le 5 novembre dernier, Jordan Bardella, Président du Rassemblement National, était l’invité de « Face à BFM ». Au cours de l’interview il a répondu à une diversité de sujets, de l’examen du budget aux prochaines échéances électorales.
Vers la fin de l’émission, un des chroniqueurs, Apolline de Malherbe, l’a interrogé sur les « brebis galeuses », la « parole raciste décomplexée », les « anciens militants du GUD », sur « certains qui se reconnaissent chez vous » de ces gens-là qui peuvent « se sentir décomplexés » et tenir des propos antisémites, racistes, homophobes… « Comment », en résumé, lui demande Mme de Malherbe, « au lendemain d’une éventuelle victoire du RN », va-t-il « se démarquer », « anticiper », par rapport à ces « catégories-là » ?
« Donc ce n’est pas le Rassemblement National, ce sont des militants d’extrême-droite » précise Jordan Bardella en interrompant la chroniqueuse. Et de préciser sa pensée lors de sa réponse :
Soumission à la pensée unique et aux diktats politiquement corrects du système
« D’abord, je demanderai à mon ministre de l’Intérieur de dissoudre sans exception tous les groupuscules d’ultragauche et d’ultradroite (…) les deux sans aucune différence ».
« Parce que les gens qui dans notre démocratie utilise l’insulte raciale en l’occurrence, la violence, les agressions, propos homophobes pour exprimer des idées nauséabondes et bien s’exposeront non seulement à la dissolution administrative de leur groupuscule, et nous le ferons dès notre arrivée au pouvoir, mais ils s’exposeront également à l’arsenal judicaire ferme et implacable que je déploierai. Et cet arsenal judiciaire et implacable, il ne fera pas le tri entre l’ultra gauche et l’ultra droite car moi je combats la violence en politique. (…) Je ferai preuve d’une sévérité la plus totale avec ces propose et avec ces actes. »
La preuve est fait avec une telle réponse, de la soumission de Jordan Bardella à la pensée unique et aux diktats politiquement corrects du système. Lorsque l’on sait que c’est la gauche depuis plus de 80 ans, et son relai préféré, les juges rouges, qui décide de ce qui est « ultra », « nauséabond », « raciste », de ce qui est « violent » en politique, de ce qui est « homophobe » qui pourrait être une simple parole de la Bible, de ce qui est « antisémite » qui pourrait être une simple parole contre la politique actuelle de l’État d‘Israël, l’on a à craindre que la politique « sévère » de Jordan Bardella ne sera que la continuité de la politique subjectiviste et répressive que l’on connait sous Macron et ses prédécesseurs, c’est-à-dire majoritairement contre des catholiques, des nationalistes, des patriotes, les vrais.
Avec Bardella, le mouvement politique catholique Civitas aurait tout autant été dissous
Avec Bardella, le parti politique catholique Civitas aurait tout autant été dissous, sous de faux prétextes et de fausses accusations de « racisme, antisémitisme, d’« appels à entrer en guerre contre la république », qu’il le fut par Darmanin, l’un des ministres de l’Intérieur de Macron. D’ailleurs, aucun député du RN n’avait à l’époque bronché ni défendu Civitas, au contraire, certains avaient applaudi à cette inique dissolution.
Ne nous y trompons pas, le jeune mais déjà soumis Jordan Bardella est adoubé par le système et n’est pas du camp des catholiques, des nationalistes et des patriotes. Il est une pâle copie d’Emmanuel Macron…