Publié par Guy Jovelin le 19 août 2025
Le Parti de la France
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Macron : mégalomane bouffi d'orgueil.
En pleines négociations de paix pour mettre fin au sanglant conflit en Ukraine, voici ce que notre taré de Président vient de déclarer : « Poutine est un prédateur, un ogre à nos portes qui doit continuer de manger pour survivre. »Ce mégalomane bouffi d'orgueil, en plus de faire honte à la France, est prêt à mettre en danger des populations entières pour assouvir ses délires idéologiques et sa soif de reconnaissance internationale.Il faudra bien que Macron réponde de tout cela un jour ou l'autre. -
Pour un bien commun enraciné : reconquérir notre peuple, notre terre, notre foi
Publié par Guy Jovelin le 17 août 2025
Julien Dir, Breizh info cliquez ici
On nous parle sans cesse de “vivre ensemble”. Ce slogan, cette formule anesthésiante, c’est le cataplasme que le Système applique sur la plaie béante de notre civilisation. Derrière cette expression, il n’y a pas de fraternité réelle, pas d’amour véritable. Il y a la gestion froide et administrative d’un enchevêtrement de communautés qui ne se connaissent pas, ne se comprennent pas, et qui, trop souvent, se méfient les unes des autres. C’est l’anti-bien commun.
Le vrai bien commun, celui qui élève et soude, ne naît pas d’un slogan publicitaire financé par Bruxelles ou par un ministère de la “Cohésion sociale”. Le bien commun naît du sol, des pierres, des croix plantées à la croisée des chemins. Il naît de la mémoire d’un peuple, de ses morts, de ses prières, de son sang versé pour que la maison tienne debout.
Redonner le goût de vivre à notre jeunesse
Regardez notre jeunesse : on lui vole ses racines, on lui détruit ses repères, on lui inculque la honte de son identité. On lui promet un avenir de “transition permanente” et de “crises inéluctables”, du climat à l’économie, en passant par la peur fabriquée de sa propre disparition. Alors elle se replie, elle se drogue, elle s’abrutit, elle fuit dans les écrans. Elle ne croit plus en rien.
Le bien commun, c’est le contraire : c’est donner envie de vivre. C’est donner envie d’aimer, de fonder une famille, de transmettre un nom, une terre, un héritage. C’est rappeler à un jeune Breton que sa patrie, ce ne sont pas seulement des frontières sur une carte, mais un enchevêtrement d’églises romanes, de chapelles, de calvaires, de ports, de villages et de campagnes qui portent encore l’empreinte des siens.
Foi, civilisation et fraternité réelle
On ne bâtira rien de solide sans renouer avec notre foi, qu’elle soit pleinement catholique ou inscrite dans une spiritualité héritée de nos pères. Sans la transcendance, sans le regard tourné vers plus grand que nous, le matérialisme vide nos âmes et laisse la place aux marchands de rêves artificiels et aux politiciens cyniques.
Le bien commun, c’est retrouver confiance en nous, en notre civilisation, et arrêter de courber l’échine devant ceux qui nous méprisent. C’est se serrer les coudes avec nos voisins, nos amis, notre famille, et préférer la compagnie de ceux qui partagent notre histoire, nos coutumes, notre langue, plutôt que de s’extasier devant l’effacement de tout ce qui nous définit.
Conquérir, protéger, transmettre
Le bien commun ne se quémande pas, il se conquiert. Il exige du courage, de la volonté et, parfois, du sacrifice. Cela veut dire protéger nos terres, nos métiers, nos traditions, notre sécurité. Cela veut dire refuser la dilution de notre peuple dans un grand magma mondialisé où plus rien n’a de sens. Cela veut dire transmettre à nos enfants non pas un pays épuisé, fracturé, honteux de lui-même, mais une patrie fière, sûre de sa place dans l’Histoire et prête à y rester.
La Bretagne, comme toute l’Europe, ne retrouvera pas le sourire avec les slogans creux des communicants du régime. Elle le retrouvera le jour où ses clochers sonneront pour annoncer non pas la reddition, mais la renaissance.
Le bien commun, ce n’est pas “vivre ensemble” avec n’importe qui, dans n’importe quelles conditions. C’est vivre debout, ensemble, enracinés dans notre terre et dans notre foi, unis par le sang, la culture et l’espérance.
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VIVE LE NUCLÉAIRE !
Publié par Guy Jovelin le 17 août 2025
Benoit Martin a raison :
"Une seule tempête de grêle à Damon, au Texas, détruit des milliers d'hectares de panneaux solaires. Imaginez les dégâts au sol, l'impossible nettoyage, le désastre environnemental."
(extrait vidéo 1'01)
https://x.com/benoitm_mtl/status/1956378648790827383
VIVE LE NUCLÉAIRE !
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En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France
Publié par Guy Jovelin le 17 août 2025
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Sommet Poutine-Trump en Alaska
Publié par Guy Jovelin le 16 août 2025
Le 15 août 2025, à Anchorage (Alaska), s’est tenue une réunion bilatérale entre le président Donald Trump et le président Vladimir Poutine autour du conflit ukrainien. Sans surprise, cette rencontre n’a débouché sur aucune avancée majeure ni accord définitif, la guerre en Ukraine n’ayant pas été suspendue et aucun cessez-le-feu n’a été acté.Cependant, le ton et l’atmosphère du sommet ont pris le pas sur les résultats tangibles. Accueil avec tapis rouge, apparitions conjointes empreintes de cordialité, accolades chaleureuses… Il est indéniable que Trump et Poutine sont apparus parfaitement à l’aise ensemble, presque complices.C’est ici que réside toute la portée symbolique de cette rencontre : malgré l’absence de progrès concrets, le message visuel est limpide : Trump et Poutine s’entendent très bien — une alliance informelle qui en dit long.Pour nos dirigeants européens — Ursula von der Leyen, Emmanuel Macron et Keir Starmer — cette séquence est une humiliation totale. Pendant qu’ils s’arc-boutent sur des postures idéalistes, refusant d’admettre que l’issue du conflit leur échappe, Trump négocie, symboliquement, avec le maître du jeu. L’Europe est devenue ce monde parallèle incapable de lire les rapports de force réels.Ces dirigeants européens persistent à nier l’évidence : l’Ukraine n’est plus en mesure de gagner militairement. Ils continuent à fanfaronner alors qu’en face, Trump et Poutine dessinent déjà une paix exclusiviste, sans eux.S’ils ne veulent pas se résoudre à l’impasse, ces responsables devront tôt ou tard laisser la place à ceux qui savent négocier pragmatiquement — faute de quoi, ils devront affronter la cuisante défaite que sera la signature en Ukraine d’une paix américano-russe, à laquelle seul leur bellicisme les disqualifiera.En conclusion, si aucun accord n’a été signé, le sommet a été un succès symbolique pour Trump — et un désaveu cuisant pour l’Europe. Le style l’a emporté sur le fond et cela place l’Europe dans une position intenable : victime de son idéalisme, surclassée par la realpolitik américano-russe, exclue de l'épilogue d'une guerre qu’elle refuse d’admettre perdue.Maxime Morlon - Secrétaire général adjoint du Parti de la France