GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France - Page 5

  • Gauriaguet (33) : un conseiller municipal tabassé avant de perdre connaissance en voulant mettre fin à un rodéo

    Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2025

    L’élu était venu à la rencontre d’une «quinzaine de motards», sur le terrain de ball-trap de la commune, après avoir failli se faire renverser par une moto. Il a été roué de «nombreux coups» au sol avant de perdre connaissance.

    Une enquête a été ouverte après l’agression samedi d’un élu de Gauriaguet (Gironde) alors qu’il tentait de mettre fin à un rodéo urbain dans la commune, a fait savoir dimanche soir le parquet de Libourne.

    L’élu était venu à la rencontre d’une «quinzaine de motards», sur le terrain de ball-trap de la commune, après avoir failli se faire renverser par une moto, un peu avant 18H00 dans une rue du village, selon ses propos dans le quotidien régional Sud Ouest . Le ton monte et l’élu indique avoir ensuite été «violemment frappé par l’un d’entre eux avec un objet métallique», écrit le magistrat. Une fois au sol, il est ensuite roué de «nombreux coups» avant de perdre connaissance, de même source. […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Albi, sa riche histoire, ses monuments millénaires et… ses meurtres à la machette

    Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2025

    Albi, cité épiscopale des rives du Tarn où art roman et art gothique se mêlent dans un festival de tons ocre, tandis que dans les quartiers médiévaux, on admire les influences de l’époque cathare (XIIIe siècle).

    Mais c’est aussi par la grâce de décennies de gouvernements de gauche et de « droite », son envahissement par des populations exotiques et aux mœurs assez éloignées de la civilisation française…

    « Un homme est décédé tôt dimanche matin après avoir été frappé à l’arme blanche lors d’une altercation dans la boîte de nuit d’Albi, a-t-on appris de source judiciaire et policière. Le différend a éclaté vers 3h30 et s’est poursuivi à l’extérieur de cet établissement nocturne, où la victime a reçu un coup de machette, selon la source policière. » (source)
    «La victime présente au moins deux plaies par arme blanche», précise encore le parquet. L’enquête, ouverte du chef d’homicide, a permis de placer en garde à vue quatre personnes âgées de 18 à 38 ans et «ayant participé à la rixe mortelle», indique le communiqué.
    «Une autopsie sera réalisée dans les prochains jours», ajoute le parquet. (source)

    On n’a pas de détails sur le profil des suspects (est-ce nécessaire?), ni sur celui de la victime ? Est-ce un énième francocide ?
    En tout cas, la multiplication des blessures et meurtres à la machette témoigne d’un indiscutable enrichissement culturel.

     

    Source : contre-info

  • François Bayrou, le grand sage auto-proclamé de la République

    Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2025

    495165294_1337172977566061_6897228655054303871_n.jpg

    Alors voilà : François Bayrou, le grand sage auto-proclamé de la République, l’inusable donneur de leçons de Pau, nous annonce la possible tenue d’un référendum sur les déficits publics et le budget. Admirable intention. Mais une question se pose immédiatement : quelle sera la question posée au peuple souverain ? Sera-t-elle limpide, intelligible ou bien faudra-t-il se coltiner un texte abscons de deux cents pages rédigé par des technocrates du ministère des Finances, que pas un citoyen — et sans doute pas même les députés — ne prendra la peine de lire ? On connaît la manœuvre : emballer une évidence dans une complexité artificielle pour mieux manipuler l’opinion. Qui, dans sa raison, voterait contre la réduction des déficits ? Personne. Et c’est bien là l’astuce. Derrière les bons sentiments, la vraie finalité pourrait bien être de préparer les esprits à de nouvelles hausses d’impôts. Car si le peuple dit oui, il donne carte blanche. Et si le peuple dit non, il sera accusé d’être irresponsable. Autrement dit : pile je gagne, face tu perds. L’entourloupe est trop grosse pour être honnête.
    Quant à Emmanuel Macron, il continue de jouer son rôle favori : celui du metteur en scène de la grande comédie démocratique. Il annonce une nouvelle Convention citoyenne, cette fois-ci sur les temps scolaires. Il faut l’avoir vu, sourire en coin, évoquer ce grand débat participatif comme une nouvelle Pentecôte républicaine. Mais on connaît la musique. Une salle filtrée, un public docile, soigneusement sélectionné par une officine hors-sol. Des heures de débats feutrés, de prises de parole calibrées, et au final… rien. Ou pire : un prétexte pour imposer une réforme décidée d’avance. Pendant que le peuple s’épuise à survivre dans un pays rongé par l’insécurité, la submersion migratoire et l’effondrement du pouvoir d’achat, le président amuse la galerie avec des discussions sur les horaires de cantine et les rythmes scolaires. Les Français demandent de l’ordre, du travail, de la justice sociale. On leur sert du théâtre.
    Bayrou et Macron sont des maîtres en enfumage. Ils ont perfectionné l’art de donner l’illusion du débat, du choix, de la participation populaire, pour mieux contourner la volonté du peuple. Et le plus triste dans cette affaire ? C’est que certains Français se laissent encore prendre au piège. À force d’être pris pour des enfants, peut-être ont-ils fini par s’y habituer.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • La nullisssime et maléfique Delphine Ernotte...

    Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2025

    La nullisssime et maléfique Delphine Ernotte... Dans La Lettre, on apprend que les caisses de France télévisions sont plombées par un déficit de 41 millions d'euros en février, réévalué à 72 millions en mars : Delphine Ernotte pourrait être prochainement inquiétée par un rapport de la Cour des comptes en cours de rédaction.

    France télévision est devenu un système corrompu avec à sa tête une impératrice hors sol dont la toute puissance est mise au service d une caste et au mépris des Français. Avec Mélanchon : "la république c’est moi !"; avec Macron : "La France c’est moi !"; avec la très à gauche Ernotte : "le service public c’est moi !"...

    ET POURTANT, C'EST NOUS QU'ON PAYE !

    Image

     

    À VIRER, D'URGENCE !

     

    Source : lafautearousseau