Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2022
destruction
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En ce 6 juin, la Normandie fête comme chaque année sa destruction par les bombes démocratiques.
En ce 6 juin, la Normandie fête comme chaque année sa destruction par les bombes démocratiques. L’anniversaire de l’invasion de la Normandie (ce sont les termes utilisés par les Étasuniens eux-mêmes) devrait plutôt être un jour de deuil : destructions, viols, meurtres et massacres ont ravagé notre région comme jamais elle ne l’avait été à l’époque contemporaine. Honneur à tous les héros et à tous les anonymes traumatisés et tombés sous les bombes, les chenilles, les balles et les coups de nos « alliés »… -
Après la destruction de la croix du pic Saint-Loup, des jeunes érigent une croix provisoire
Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2020
Communiqué de ces jeunes :
Ce dimanche 17 mai, les militants de Tenesoun ont participé à l’installation d’une croix provisoire au sommet du pic Saint-Loup dans l’Héraut. La croix historique a récemment été sciée et vandalisée. A proximité, des tags “Pic laïque” ont été inscrits.
La croix, symbole de Foi et d’espérance, est un symbole pour tous, que l’on soit catholique ou non. Elle guide les pèlerins, les randonneurs et plus largement les Français. Nous appelons donc à ne pas rester spectateurs mais à agir, poser des actes concrets quand notre héritage et nos traditions sont attaqués.
Notre mot d’ordre: Bâtir quand tout s’écroule!
Source : lesalonbeige
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L’hyperviolence des jeunes immigrés n’est pas un conte de Noël
Publié par Guy Jovelin le 25 décembre 2019
Publié le 24 décembre 2019 - par Danielle Moulins
Le goût du saccage et de la mort, l’appétence pour la destruction et le chaos, la jouissance par la souffrance de l’autre, l’instinct primaire de la satisfaction immédiate du cerveau reptilien ! En ce Noël 2019, voilà où nous en sommes en France : de très jeunes individus, à peine sortis de l’enfance, et majoritairement issus de l’immigration, plus vils que des hyènes, plus bas que les plus répugnants des charognards se complaisent sans limite, sans retenue, sans tabou, dans le viol, le pillage, la razzia, le plaisir sadique de faire souffrir, d’avilir, de néantiser leurs victimes.
Pas de frein, pas de retenue, pas d’empathie, pas de pitié pour le vieux de 90 ans qu’on attaque et roue de coups pour le voler, pour l’handicapée ou la gamine qu’on viole en réunion, pour le chien qu’on arrose d’essence pour « rire »… L’instinct de prédation est décuplé par l’effet de meute, la responsabilité est noyée et étouffée par le groupe, le gang, le clan familial, l’univers mortifère des « quartiers »où règne l’omerta islamo-mafieuse.
Cette violence « gratuite », comme aiment à la qualifier les journalistes qui refusent d’en donner l’origine, cette haine pure, cette sauvagerie sidérante et traumatisante ont envahi nos rues et même nos maisons, comme le prouve la théorie non exhaustive de faits-divers relayés chaque jour par la presse et par notre site. Mais comment est-ce possible, ce sont des enfants, il faut les soigner, disent les âmes charitables, il faut en accueillir d’autres disent les Associations en quête d’amour de l’Autre et de rédemption à la sauce vaticane. Mais à douze ans on peut être le violeur d’une gamine de dix ans ; et à seize ans on peut violer une grand-mère de quatre-vingt en lui infligeant les pires violences et devenir un prospère maquereau de gamines de treize ans, vous savez la florissante et exponentielle « prostitution des cités »… Le miracle de la manne des milliards déversés sur les banlieues n’a pas opéré, c’était un conte de Noël avorté…
Ceci n’est pas un conte de Noël qui devrait logiquement avoir une fin heureuse, ceci est la réalité, et chacun en a été victime ou en a eu connaissance par l’expérience d’un parent, d’un proche, d’un voisin. Chaque autruche un peu honnête le constate en sortant la tête du sable, et c’est parfois fort douloureux quand l’autruche de gauche en fait la traumatisante expérience… La violence est là, partout, incarnée par de jeunes brutes que des politiques mortifères ont laissé se multiplier par intérêt et par idéologie. Les nouveaux monstres de Frankenstein ont échappé à leurs créateurs qui, bien planqués dans leurs tours d’ivoire, et aveugles aux conséquences dont ils chérissent les causes, n’ont de cesse que d’en faire venir de nouvelles hordes funestes. A l’image de l’Apprenti Sorcier (Fantasia) de Walt Disney, et bien plus destructeurs encore ; on attend le Grand Sorcier qui reprendra la main, comme dans un conte de Noël :
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Les vraies raisons de la destruction de Notre-Dame de Paris, ou pourquoi la cathédrale risquait de s’effondrer prochainement…
Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2019
Publié le 16 avril 2019 Auteur par Rédaction
contre-info.comLe symbole de la France
Tout être doué de sensibilité ne peut qu’être bouleversé, surtout s’il est français, par les images de Notre-Dame de Paris en train de brûler.
C’est l’un des plus puissants et magnifiques symboles de la foi, du talent, du goût et de l’abnégation de nos ancêtres qui s’effondre.
Cet édifice extraordinaire a ennobli et éclairé la capitale française durant plus de huit siècles ; il aura échappé aux si destructrices guerres de religion, à la folie de la Révolution française, aux bombardements des deux Guerres mondiales, pour finalement être victime d’un feu idiot, et peut-être criminel, sous la République.
Bravo à elle.
Alors que les Français sont écrasés de normes sécuritaires, sur leur lieu de travail et même à leur domicile, comment une pareille chose est-elle possible dans ce qui est le monument le plus visité d’Europe ?!
Pourquoi les infrastructures de l’Etat républicain n’ont-elles pas été capables d’arrêter cet interminable désastre, offrant au monde entier ce spectacle d’impuissance odieux et honteux ?
Mais au-delà de l’émotion et de la légitime colère devant l’incurie républicaine, il faut placer cet événement dans un contexte plus général.
Les cathédrales deviennent des incongruités dans notre société
Notre-Dame de Paris devait être détruite et – au regard de la longue histoire – prochainement :
Parce que les Français, déboussolés par les prétendues « Lumières », ébranlés par la Révolution et ses suites, victimes comme tout le monde de la crise moderniste dans l’Eglise, ont déserté les églises qui deviennent peu à peu des vestiges.
Or, la ruine attend les vestiges. Parce que la « doulce France », livrée à l’invasion migratoire par un pouvoir qui lui est profondément étranger par l’esprit, va devenir progressivement – sauf sursaut national – un pays du Tiers-Monde, qui sera incapable d’entretenir ne serait-ce que ses routes.
Parce que les emblèmes d’une nation reflètent son âme et que la France a renoncé progressivement à sa civilisation, traditionnelle et chrétienne, au profit de l’idéologie républicaine, démocratique et cosmopolite, incapable de telles constructions et en quelque sorte indigne de les abriter.
Notre-Dame de Paris jurerait par trop dans cette « France d’après » qui se profile, sanglante, inhumaine et dégénérée.
Elle se serait peut-être même finalement comme auto-détruite, si l’on ose s’exprimer ainsi, devant le cortège infernal et non combattu des Gay pride par exemple, à moins qu’une « chance pour la France » aussi antichrétienne que nos élites y mît le feu.
Parce que le régime républicain – profondément maçonnique comme le disent ses cadres eux-mêmes – est viscéralement antichrétien, bien qu’il ne le manifeste bruyamment que de temps en temps, pour des raisons de démagogie électorale.
Notre-Dame est un obstacle à sa négation de l’histoire et et de l’identité de la France : on ne peut, en l’admirant, que songer à ceux (pas des « migrants ») qui l’ont patiemment érigée, et à leur objectif (l’amour et la gloire de Dieu) ; sa destruction est une bénédiction pour le prétendu « vivre-ensemble ».
Une punition et un avertissement
Parmi les prochains combats des patriotes, il y aura à empêcher les autorités de construire à la place de ce phare de Chrétienté quelque chose de laid, de différent, d’ésotérique.
Il faudra rebâtir le même édifice, qui ne sera lui-même, comme à l’époque, qu’un superbe reflet de l’esprit français (et donc chrétien) restauré.
Que le terrible spectacle de la cathédrale ravagée en ce premier jour de la Semaine sainte attire notre regard sur l’état non moins horrible de la France, de son peuple désormais indifférent aux choses importantes, peuple en voie de remplacement par ailleurs, et de nous-mêmes qui en sommes, que nous le voulions ou pas, solidaires.
C’est peut-être pourquoi la Providence a permis cette tragédie, comme un ultime avertissement.