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chaos

  • Chaos au Stade de France : le Real Madrid dénonce l’agression de ses supporters et exige la désignation des responsables

    Publié par Guy Jovelin le 03 juin 2022

    Depuis samedi dernier, le monde du football est scandalisé par les événements du Stade de France qui ont terni la finale de la Ligue des Champions. Et aujourd’hui, la Casa Blanca réclame des comptes.

    L’image de la France en a pris un sacré coup samedi dernier, à l’occasion de la finale de la Ligue des Champions entre Liverpool et le Real Madrid. Désigné stade hôte de l’événement en février dernier suite au choix de l’UEFA de retirer à la Russie l’organisation de la finale (qui devait avoir lieu à Saint-Pétersbourg), le Stade de France a été le théâtre de graves incidents.

    (…) Ce vendredi, le Real Madrid vient de publier un communiqué pour demander des éclaircissements.

    Le communiqué :

    « Compte tenu des événements malheureux qui se sont déroulés le 28 mai aux abords et entrées du Stade de France, y compris à l’intérieur du stade lui-même, le Real Madrid C. F. tient à déclarer ce qui suit pour la défense de nos supporters victimes de ces événements :

    1.- Nous voulons savoir quelles ont été les raisons qui ont motivé cette désignation du lieu de la finale et quels critères ont été pris en considération compte tenu de ce qui s’est passé ce jour-là.

    2.- De même, nous demandons des réponses et des explications afin de déterminer qui était responsable de laisser les fans impuissants et sans défense. Quelques adeptes dont le comportement général a été à tout moment exemplaire.

    Nous constatons que ce qui aurait dû être une grande fête du football pour tous les fans qui ont assisté au match s’est transformé en événements malheureux qui ont provoqué une profonde indignation dans le monde entier.

    Comme on l’a clairement vu dans les images révélatrices offertes par les médias, de nombreux fans ont été violemment agressés, harcelés, volés et braqués. Certains événements ont également eu lieu alors qu’ils roulaient dans leur voiture ou leur bus craignant pour leur intégrité physique. Certains d’entre eux ont même dû passer la nuit à l’hôpital pour des blessures subies.

    Le football a transmis au monde une image très éloignée des valeurs et des objectifs qu’il doit toujours poursuivre.

    Nos supporters méritent une réponse et que les responsabilités soient éclaircies afin que des situations telles que celles vécues samedi soir soient éradiquées à jamais du football et du sport. »

    Foot Mercato via fdesouche

  • Le 15 octobre, le chaos en Italie ?

    Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2021

    Le 15 octobre est un rendez-vous sous haute tension en Italie. Ce jour-là entre en vigueur l’obligation d’un passe sanitaire au travail, appelé Green pass outre-Alpes. Obligation qui incombe aussi aux policiers, le bras répressif du gouvernement.

    Or il y a des tensions dans le monde policier. Et cela est démontré par la note très dure avec laquelle le syndicat de police Fsp pointe du doigt la direction du ministère de l’Intérieur italien, Luciana Lamorgese. Le 15 octobre approchant et avec l’obligation d’un laissez-passer vert pour les travailleurs dans les rues italiennes, il y a un risque de chaos. Il existe des milliers d’agents sans vaccination, cette dernière n’étant pas obligatoire, et donc sans autorisation d’opérer en service. Des semaines ont passé, mais aucune solution n’a encore été trouvée. « Ceci étant le cas – dénonce le FSP – il n’est pas difficile de prévoir le chaos. »

    Une réunion au ministère de l’Intérieur était à l’ordre du jour aujourd’hui pour régler la question avec les syndicats mais le ministre Lamorgese attendu « pour répondre aux enjeux politiques aussi bien qu’aux fondamentaux techniques opérationnels » « n’a pas daigné être présent, attaquent les syndicats policiers, et il ne nous a pas non plus envoyé de réponse ». Les représentants des policiers dénoncent un « irrespect absolu, total, total » que le ministre réserve « à tous les hommes et femmes de la police d’Etat ». « La réunion, ajoute le syndicat FSP, s’est terminée dans une impasse car il n’y a toujours pas de directives du ministre de l’Administration publique, nécessaires pour faire face à la situation ». Sur le point « vous n’êtes pas prêt », il y a « plus de doutes que de certitudes », et « le système de sécurité est trop complexe pour improviser en termes d’équipes, de services, de fréquentation, des milliers d’heures supplémentaires qui se dessinent ». Il y aurait environ 15 à 19 milles policiers non-vaccinés. Or la filière policière est déjà en manque d’effectifs. Il y a peu de patrouilles dans les rues. « Ceci étant le cas, écrit la FSP, il n’est pas difficile de prévoir le chaos. Sans vouloir entrer dans le bien-fondé scientifique de la question, on ne peut manquer d’enregistrer comment, en l’absence d’obligation (vaccination, ndlr), le choix est donc laissé à la volonté des individus. Cependant, il est évident qu’aujourd’hui, pour notre Administration, la mise en pratique de cette décision politique est presque improbable, voire impossible ».

    La possibilité des tests PCR pour les flics n’est pas réellement envisageable. Outre le fait qu’ils sont payants, chers, et non remboursés, compte tenu des « milliers d’heures de service extraordinaire quotidien émergent et obligatoire », concilier les horaires de service avec la « validité stricte du passe vert » devient pratiquement impossible. « Dans le travail de policier, on sait souvent quand on commence et on ne sait pas quand on finit, et un service peut durer six, dix, dix-huit heures consécutives. Et si entre-temps le laissez-passer vert expire, que faites-vous ? Que faire si un policier, tout en faisant preuve de la plus grande diligence, trouve les pharmacies bouchées et ne parvient pas à réaliser un test antigénique ou à obtenir les résultats à temps ? »

    Les syndicats demandent depuis longtemps au moins le test gratuit. Mais pour l’instant, le gouvernement a répondu « non ». Le risque, au final, est que les policiers non-vaccinés contre le covid restent à la maison et que les vaccinés soient appelés « pour pallier d’éventuels dysfonctionnements organisationnels et politiques ». Les demandes sont simples : le syndicat souhaite le « report de l’entrée en vigueur du décret-loi relatif » au laissez-passer vert « car le système de sécurité, en l’absence de certitudes, n’est pas prêt ».

    L’autre danger auquel risque de faire face le gouvernement du banquier Draghi est de voir les policiers se ranger du côté des centaines des milliers de manifestants qui occupent de jour comme de nuit les rues des villes italiennes pour protester contre le passe sanitaire, et qui préparent d’autres blocages dans toute l’Italie le 15 octobre et jours suivants.

    D’ailleurs le ministère de l’Intérieur italien a déjà fait un pas en arrière en envisageant les tests gratuits pour les dockers qui bloquent les ports. Comme quoi, les manifestations dures, et qui frappent les centres économiques, comme celles qui ont eu lieu en Italie ces derniers jours payent… le chaos que les élites mondiales organisent sciemment fait quand même peur aux marionnettes politiques qu’elles ont mises aux commandes tant dans le Bel Paese qu’en France…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Il y a 150 ans débutait la Commune de Paris.

    Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2021

    Il y a 150 ans débutait la Commune de Paris.
    Nationalistes et nationaux ne peuvent qu'être partagés.
    D'un côté, le peuple résistant, la foi patriotique, le refus de l'étranger, la volonté sociale, le colonel Rossel. De l'autre l'anti-chistianisme acharné, les incendies, les exactions, la chienlit révolutionnaire des internationalistes, l'ignoble Louise Michel, les redoutables blanquistes...
    D'un côté le mur des Fédérés et l'ombre sanglante de la bourgeoise thieriste, de l'autre le chaos.
    JFT
    Peut être une image de debout et monument
     
     
     
     
     
     
     
  • Des bandes de migrants sèment le chaos à Bruxelles, les habitants ont peur

    Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2020

    12/09/2020 à 7h26

    Le cri de détresse de riverains à Bruxelles après des faits de violence à répétition: “On n’en peut plus, on n’est plus en sécurité ici”.

    Quasiment chaque nuit, dès que les magasins de la rue de Brabant ont fermé leurs portes, c’est le même scénario qui se reproduit : des bagarres d’une violence inouïe opposant des groupes de migrants ont lieu, se désole – sous couvert d’anonymat par crainte de représailles – un riverain qui vit depuis plus de trente ans dans le quartier et dit n’avoir jamais connu pareille situation.

    “On n’en peut plus, on n’est plus en sécurité ici, à tel point qu’on envisage même de faire la sécurité nous-mêmes si les autorités ne prennent pas enfin leur responsabilité”, avance un riverain de la rue de Brabant face à la répétition des faits de violence. 

    Sudinfo.be via fdesouche

  • Un seul choix: l'Etat national ou le chaos.

    Publié par Guy Jovelin le 10 mars 2020

    chaos,état national

    Qu'elles soient sanitaires, économiques, sociales, financières, internationales, migratoires ou géopolitiques, les crises qui se succèdent et se chevauchent, mettent en lumière l'incapacité des démocraties — singulièrement des démocraties européennes — à faire face.Tiraillés entre leur crainte de ne pas en faire assez et celle de devoir en faire trop, soumis à l'idée qu'ils se font d'une opinion publique qui n'attend pourtant d'eux que l'action, les dirigeants occidentaux tanguent et roulent sous les coups des tempêtes comme autant de bateaux ivres.

    En France, cette main tremblante de l'Etat dissimulée sous le gant avachi d'une autorité brandie mais non assumée, on la voit se recroqueviller après chaque attaque terroriste islamique, au moment de chaque pic de la déferlante migratoire, devant chaque menace du Président turc et chaque décision commerciale ou stratégique de Washington.

    Aujourd'hui l'épidémie de coronavirus sévit. Elle aura sa fin. Dans ses effets sanitaires, comme dans ses conséquences économiques et sociales possiblement bien plus redoutables que la maladie elle même.

    Mais un jour ou l'autre cette érosion continue de l'autorité de l'Etat se transformera en effondrement. Ce jour là, quand viendra le temps de la paralysie nationale, y compris en termes d'ordre public, ce sera le chaos. Peut être bien plus vite que l'on ne le croit, l'expérience de l'Histoire montrant que lorsque les choses deviennent possibles, elles ne tardent pas à se réaliser.

    Le combat national est avant tout une course contre la montre. Seuls les Etats forts sont en capacité de protéger leurs peuples.

    Jean-François Touzé
    Délégué général du PdF