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pass sanitaire

  • Suède : une puce implantée sous la peau, mise au point pour faire office de pass sanitaire [VIDEO]

    Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2021

    En Suède, où le recours à des implants high-tech sous-cutanés se répand depuis plusieurs années pour diverses utilisations, la structure Epicenter, basée à Stockholm fait la promotion d’une nouvelle trouvaille : une puce électronique en guise de passeport sanitaire. Un outil «très pratique au cas où votre téléphone n’aurait plus de batterie», se félicite Hannes Sjoblad, un responsable de cette entreprise interrogé par l’agence vidéo Ruptly, et qui a lui-même adopté le dispositif.

     

    «L’implant peut être lu par tout smartphone doté de la fonction NFC, je peux donc aller au restaurant ou au cinéma, il suffit de montrer mon bras qu’ils balaient avec un smartphone, et ensuite le passeport Covid que j’ai sur ma puce apparaît. Pas besoin d’une application particulière pour cela», détaille encore le spécialiste qui assure que l’implant – qui n’est pour l’heure pas commercialisé – peut être retiré à tout moment.

    Hannes Sjoblad explique par ailleurs que ce type de dispositif peut être réservé à d’autres usages, comme par exemple la possibilité pour l’utilisateur de recueillir plusieurs données de santé en temps réel comme sa température corporelle. «Je contrôle ces dispositifs, je peux les verrouiller, je peux les rendre accessibles ou pas accessibles, si je le souhaite», explique encore le spécialiste.

    Hannes Sjoblad, dont le métier consiste à aider les entreprises à détecter les innovations disruptives, s’intéresse aux implants sous-cutanés depuis plusieurs années déjà. Une technologie dont lui et son entreprise vantent les mérites à l’occasion de multiples conférences sur le sujet.

    Les employés d’Epicenter, disposent d’ailleurs de leur badge… sous leur peau.

    Selon lui, «les implants sont une technologie très polyvalente qui peut être utilisée à beaucoup de fins différentes». Et de poursuivre : «L’année prochaine on l’utilisera pour autre chose.»

    Source

  • Le pass sanitaire obligatoire dans les bibliothèques, pas dans les cohues du Black Friday…

    Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2021

    Chaque civilisation a ses priorités :

     

     

     

  • Nous sommes les esclaves du Gouvernement

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2021

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    Pour l’instant il n’y a pas besoin de pass pour savourer un Barbey d’Aurevilly sur la plage. Mais ils finiront bien par nous mettre des grilles, des portails et des agents de sécurité pour nous rappeler que nous sommes les esclaves du Gouvernement et que notre liberté n’est pas souhaitable : avoir sans cesse sur soi un maudit téléphone pour faire scanner un QR-Code, devoir justifier du pourquoi on est là et pas chez nous, etc. Ils trouveront bien un moyen, un prétexte. Ce sera la santé, ou l’écologie, ce genre de balivernes bonnes à amadouer les petites vieilles et à mettre au pas une jeunesse effrayée à l’idée de s’opposer au camp qui se dit être le camp du Bien. C’est là la grande entourloupe. Après nous avoir enseigné qu’aimer notre race c’était du racisme, le Gouvernement nous apprend désormais qu’on attente à la santé publique si on ne se fait pas injecter dans le corps la marchandise des rapaces pharmaceutiques, et qu’on détruit l’environnement en refusant de rouvrir des centrales à charbon ou de fixer des ignobles éoliennes dans des mers de béton. C’est la grande arnaque du siècle. Vivement que ce siècle accouche du Barrès qui fera valser tout ça. En attendant : prière, lecture et camaraderie, voilà trois belles façons de se détacher autant que possible de ce Gouvernement de minables et, surtout, de salopards.
     
     
  • Halloween à toutes les sauces, même pour récolter votre sang sans pass sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2021

    Auteur : 

    Le message ci-dessus est envoyé par mail à quantité de Français par l’EFS (Etablissement Français du Sang). Le lecteur appréciera le mauvais goût de cet organisme gouvernemental qui succombe au culte de l’horreur à l’occasion d’Halloween.

    On notera aussi une fois de plus l’insistance de cet organisme gouvernemental à préciser qu’il n’est pas besoin de pass sanitaire pour donner votre sang. Selon que c’est pour remplir une pochette de sang bien rouge ou pour boire un petit verre de rouge, le pass sanitaire n’aurait pas le même sens ? Ce Covid semble très sélectif…

     

    Source : medias-presse.info

  • Le 15 octobre, le chaos en Italie ?

    Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2021

    Le 15 octobre est un rendez-vous sous haute tension en Italie. Ce jour-là entre en vigueur l’obligation d’un passe sanitaire au travail, appelé Green pass outre-Alpes. Obligation qui incombe aussi aux policiers, le bras répressif du gouvernement.

    Or il y a des tensions dans le monde policier. Et cela est démontré par la note très dure avec laquelle le syndicat de police Fsp pointe du doigt la direction du ministère de l’Intérieur italien, Luciana Lamorgese. Le 15 octobre approchant et avec l’obligation d’un laissez-passer vert pour les travailleurs dans les rues italiennes, il y a un risque de chaos. Il existe des milliers d’agents sans vaccination, cette dernière n’étant pas obligatoire, et donc sans autorisation d’opérer en service. Des semaines ont passé, mais aucune solution n’a encore été trouvée. « Ceci étant le cas – dénonce le FSP – il n’est pas difficile de prévoir le chaos. »

    Une réunion au ministère de l’Intérieur était à l’ordre du jour aujourd’hui pour régler la question avec les syndicats mais le ministre Lamorgese attendu « pour répondre aux enjeux politiques aussi bien qu’aux fondamentaux techniques opérationnels » « n’a pas daigné être présent, attaquent les syndicats policiers, et il ne nous a pas non plus envoyé de réponse ». Les représentants des policiers dénoncent un « irrespect absolu, total, total » que le ministre réserve « à tous les hommes et femmes de la police d’Etat ». « La réunion, ajoute le syndicat FSP, s’est terminée dans une impasse car il n’y a toujours pas de directives du ministre de l’Administration publique, nécessaires pour faire face à la situation ». Sur le point « vous n’êtes pas prêt », il y a « plus de doutes que de certitudes », et « le système de sécurité est trop complexe pour improviser en termes d’équipes, de services, de fréquentation, des milliers d’heures supplémentaires qui se dessinent ». Il y aurait environ 15 à 19 milles policiers non-vaccinés. Or la filière policière est déjà en manque d’effectifs. Il y a peu de patrouilles dans les rues. « Ceci étant le cas, écrit la FSP, il n’est pas difficile de prévoir le chaos. Sans vouloir entrer dans le bien-fondé scientifique de la question, on ne peut manquer d’enregistrer comment, en l’absence d’obligation (vaccination, ndlr), le choix est donc laissé à la volonté des individus. Cependant, il est évident qu’aujourd’hui, pour notre Administration, la mise en pratique de cette décision politique est presque improbable, voire impossible ».

    La possibilité des tests PCR pour les flics n’est pas réellement envisageable. Outre le fait qu’ils sont payants, chers, et non remboursés, compte tenu des « milliers d’heures de service extraordinaire quotidien émergent et obligatoire », concilier les horaires de service avec la « validité stricte du passe vert » devient pratiquement impossible. « Dans le travail de policier, on sait souvent quand on commence et on ne sait pas quand on finit, et un service peut durer six, dix, dix-huit heures consécutives. Et si entre-temps le laissez-passer vert expire, que faites-vous ? Que faire si un policier, tout en faisant preuve de la plus grande diligence, trouve les pharmacies bouchées et ne parvient pas à réaliser un test antigénique ou à obtenir les résultats à temps ? »

    Les syndicats demandent depuis longtemps au moins le test gratuit. Mais pour l’instant, le gouvernement a répondu « non ». Le risque, au final, est que les policiers non-vaccinés contre le covid restent à la maison et que les vaccinés soient appelés « pour pallier d’éventuels dysfonctionnements organisationnels et politiques ». Les demandes sont simples : le syndicat souhaite le « report de l’entrée en vigueur du décret-loi relatif » au laissez-passer vert « car le système de sécurité, en l’absence de certitudes, n’est pas prêt ».

    L’autre danger auquel risque de faire face le gouvernement du banquier Draghi est de voir les policiers se ranger du côté des centaines des milliers de manifestants qui occupent de jour comme de nuit les rues des villes italiennes pour protester contre le passe sanitaire, et qui préparent d’autres blocages dans toute l’Italie le 15 octobre et jours suivants.

    D’ailleurs le ministère de l’Intérieur italien a déjà fait un pas en arrière en envisageant les tests gratuits pour les dockers qui bloquent les ports. Comme quoi, les manifestations dures, et qui frappent les centres économiques, comme celles qui ont eu lieu en Italie ces derniers jours payent… le chaos que les élites mondiales organisent sciemment fait quand même peur aux marionnettes politiques qu’elles ont mises aux commandes tant dans le Bel Paese qu’en France…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info