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chaos - Page 2

  • L’hyperviolence des jeunes immigrés n’est pas un conte de Noël

    Publié par Guy Jovelin le 25 décembre 2019

    Publié le 24 décembre 2019 - par 

      Le goût du saccage et de la mort, l’appétence pour la destruction et le chaos, la jouissance par la souffrance de l’autre, l’instinct primaire de la satisfaction immédiate du cerveau reptilien ! En ce Noël 2019, voilà où nous en sommes en France : de très jeunes individus, à peine sortis de l’enfance, et majoritairement issus de l’immigration, plus vils que des hyènes, plus bas que les plus répugnants des charognards se complaisent sans limite, sans retenue, sans tabou, dans le viol, le pillage, la razzia, le plaisir sadique de faire souffrir, d’avilir, de néantiser leurs victimes.

    Pas de frein, pas de retenue, pas d’empathie, pas de pitié pour le vieux de 90 ans qu’on attaque et roue de coups pour le voler, pour l’handicapée ou la gamine qu’on viole en réunion, pour le chien qu’on arrose d’essence pour « rire »… L’instinct de prédation est décuplé par l’effet de meute, la responsabilité est noyée et étouffée par le groupe, le gang, le clan familial, l’univers mortifère des « quartiers »où règne l’omerta islamo-mafieuse.

    Cette  violence « gratuite », comme aiment à la qualifier les journalistes qui refusent d’en donner l’origine, cette haine pure, cette sauvagerie sidérante et traumatisante ont envahi nos rues et même nos maisons, comme le prouve la théorie non exhaustive de faits-divers relayés chaque jour par la presse et par notre site. Mais comment est-ce possible, ce sont des enfants, il faut les soigner, disent les âmes charitables, il faut en accueillir d’autres disent les Associations en quête d’amour de l’Autre et de rédemption à la sauce vaticane. Mais à douze ans on peut être le violeur d’une gamine de dix ans ;  et à seize ans on peut violer une grand-mère de quatre-vingt en lui infligeant les pires violences et devenir un prospère maquereau de gamines de treize ans, vous savez la florissante et exponentielle « prostitution des cités »… Le miracle de la manne des milliards déversés sur les banlieues n’a pas opéré, c’était un conte de Noël avorté…

    Ceci n’est pas un conte de Noël qui devrait logiquement avoir une fin heureuse, ceci est la réalité, et chacun en a été victime ou en a eu connaissance par l’expérience d’un parent, d’un proche, d’un voisin. Chaque autruche un peu honnête le constate en sortant la tête du sable, et c’est parfois fort douloureux quand l’autruche de gauche en fait la traumatisante expérience… La violence est là, partout, incarnée par de jeunes brutes que des politiques mortifères ont laissé se multiplier par intérêt et par idéologie. Les nouveaux monstres de Frankenstein ont échappé à leurs créateurs qui, bien planqués dans leurs tours d’ivoire, et aveugles aux conséquences dont ils chérissent les causes, n’ont de cesse que d’en faire venir de nouvelles hordes funestes. A l’image de l’Apprenti Sorcier (Fantasia) de Walt Disney, et bien plus destructeurs encore ; on attend le Grand Sorcier qui reprendra la main, comme dans un conte de Noël :

    source via lesobservateurs

  • Grèves, manifestations, émeutes... Vers le chaos.

    Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Membre du Bureau Politique du Parti de la France

    C'est une règle reconnue: confronté à une difficulté, tout dirigeant politique a tendance à vouloir refaire ce qui a déjà fonctionné une fois.

    Pour avoir réussi — mais pour combien de temps ? — à endiguer le mouvement des Gilets jaunes à défaut d'avoir pu en calmer la juste colère, Macron espère, par la concertation, le débat, la conciliation et la procrastination, pouvoir éviter que les grognes catégorielles qui montent contre la réforme des retraites et la mobilisation des personnels hospitaliers ne se cristallisent et se transforment, attisées et encadrées par les syndicats politiques, en tsunami social.
     
    La paralysie quasi totale des réseaux de la RATP vendredi dernier apparaît comme un sévère coup de semonce, en attendant les mouvements qui se préparent à la SNCF et dans la fonction publique pour la sauvegarde des privilèges acquis grâce aux scandaleux régimes spéciaux, tandis que les professions libérales entendent bien se faire entendre pour défendre leurs caisses autonomes.
     
    Débats donc, encore et encore, y compris sur l'immigration pour tenter de faire croire au bon peuple que ses préoccupations sont entendues, comprises et seront prises en compte. 
     
    Pour autant, cette fois, l'Exécutif n'a pas, face à lui, un mouvement désordonné mais des organisations aguerries, des centrales politisées, des militants structurés et disciplinés dont l'objectif reste révolutionnaire et la méthode stratégique "l'agrégation des luttes".
     
    La résurgence des manifestations violentes noyautées par les activistes gauchistes comme on a pu le constater samedi à Nantes et comme on le verra sans nul doute samedi prochain à Paris, la perspective de grèves perlées ou massives qui paralyseraient le Pays, la lassitude et le manque de moyens des forces de l'ordre dont les conditions d'emploi sont incohérentes et inadaptées, peuvent créer demain les conditions d'un chaos dont sauront profiter non seulement les organisations d'extrême gauche, mais aussi, et sans doute surtout, les racailles venues d'ailleurs, sans parler de l'islamisme politique qui, dans de nombreuses villes, n'attend que la désagrégation des pouvoirs publics pour étendre son emprise.
     
    Face à ces menaces, le pouvoir, le dos au mur, tergiverse et blablate.
     
    Le grand mensonge de la Macronie est d'avoir voulu faire croire qu'il était le parti de l'ordre. Il n'est que celui de la faiblesse et de l'impuissance alors que la France a désormais un besoin vital d'un pouvoir national fort et autoritaire. 
     
    Urgemment !
  • Permanences dégradées : les semeurs de chaos déplorent les effets de leur politique

    Publié par Guy Jovelin le 05 août 2019

    Rédigé par notre équipe le 04 août 2019.

    « Climat malsain et nauséabond », « climat de violences inacceptables », les députés En Marche auraient-ils enfin ouvert les yeux et renoncé à faire avancer la Macronie ? Malheureusement, ces déclarations visent les Français et non la politique destructrice mise en place sous Macron. Agriculteurs, gilets jaunes, anarchistes ou juste Français pas contents, tout le monde est mis dans le même sac et pour bien faire comprendre ça, l’inénarrable Castaner assure que les dégradations de permanences sont des « attentats ». La Macronie fait encore une fois dans la mesure… Qui sème le vent récolte la tempête.

    Depuis le 23 juillet dernier et le vote de l’infâme CETA par l’Assemblée nationale, une quinzaine de permanences de députés En Marche a été visée par des dégradations. Du fumier déversé devant la porte, aux traditionnels tags anarchistes en passant par le mur de parpaings installé à la hâte, les modes d’expression ne manquent pas. Il faut dire que les colères sont nombreuses et que ces modes de revendication tous punissables par la loi trahissent l’absence totale de dialogue d’un pouvoir méprisant et donc méprisable.

    La boutique En Marche fait monter la pression

    Etrangement mutique sur le cas Steve Maia Caniço, Christophe Castaner est bien plus à l’aise lorsqu’il faut défendre la boutique En Marche. Ça tombe bien puisqu’en l’espace de deux semaines, c’est une quinzaine de permanences de députés qui a subi des dégradations. Pas de quoi verser dans la psychose à part si on fait une allergie au fumier, mais le ministre de l’Intérieur voit ses mini-événements comme un moyen de rebondir et de se faire bien voir par la hiérarchie d’En Marche. Alors quitte à faire le boulot, autant y aller à fond et dire que ces actes ne sont rien d’autres que des « attentats » commis par des « brutes ». Le ministre connaît toujours aussi mal son Code pénal, mais son passage place Beauvau n’est en rien lié à aucune connaissance pratique ou théorique.

    Le but est uniquement de stigmatiser tous ceux qui sont contre la politique du Gouvernement. Une tâche ardue, car on s’attaque là à l’immense majorité de la population, mais impossible n’est pas Macron. Alors, à tour de rôle ce sont les agriculteurs, les gilets jaunes et bizarrement un peu moins les anarchistes qui sont pointés du doigt. Cela fait beaucoup de monde à mettre sous les verrous… La Macronie crie à l’angoisse existentielle face à ces « violences » sans comprendre qu’elles sont le fruit de sa politique.

    Monter les gens les uns contre les autres, hystériser le débat pour le faire cesser et ne s’adonner qu’à la politique spectacle ne peuvent avoir que des effets médiocres sur le climat actuel. Le mode d’emploi des Français est pourtant simple à comprendre. Ils veulent des impôts et taxes moins élevés et mieux utilisés, moins de faux serviteurs comme les de Rugy et consorts, plus de pouvoir d’achat et moins d’immigration. En respectant ces quelques consignes, c’est la réélection assurée et sans avoir besoin de mentir sans arrêt. Malheureusement, la Macronie a d’autres plans en tête et les Français les plus désespérés n’ont plus que des moyens d’action finalement symboliques pour se faire entendre.

    Reste à savoir si quelques vitres cassées feront plier la machine de guerre macronienne. La réponse est déjà connue. Le déboulonnement des statues et de carrières minables est plus efficace, mais l’hydre à de multiples têtes et pour un de Rugy tombé, il y a une Elisabeth Borne qui prend du galon. La mission s’annonce des plus périlleuses.

     

    Source : 24heuresactu