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manifestations

  • Les préfets pourront interdire une manifestation s’ils voient un risque de slogans amalgamant immigration et islamisme, ou de discours instrumentalisant les faits divers “pour désigner les étrangers à la vindicte” (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 11 mai 2023

    10/05/2023

    Critiqué après la tenue d’un rassemblement d’ultradroite à Paris, Gérald Darmanin a décidé d’agir. Dans une note adressée aux préfets, que Le Parisien a pu consulter, le ministre de l’Intérieur leur demande de se baser sur la jurisprudence dite « Dieudonné », qui s’applique à une interdiction de spectacle, pour faire interdire les manifestations d’ultradroite.

    […]

    « Au regard du programme du rassemblement, des associations qui manifestent, ou des personnalités susceptibles d’y participer », les préfets devront déterminer si la manifestation présente un risque que « des slogans ou des propos de nature à mettre en cause la cohésion nationale ou les principes consacrés par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (…) soient exprimés », indique la note. Le ministre donne des exemples de propos répréhensibles : « apologie de la collaboration », « slogan prônant la remigration », « amalgame entre immigration et islamisme ou terrorisme ou délinquance ».

    Sont également ciblés les « discours assimilant de manière systématique les personnes d’origine non européenne à des délinquants et une menace à combattre et les personnes de confession musulmane à des islamistes radicaux » ou encore l’instrumentalisation de « faits divers impliquant des personnes d’origine étrangère pour désigner les étrangers à la vindicte ». Pour rappel, des rassemblements d’extrême droite avaient été organisés après l’affaire Lola, cette jeune fille de 12 ans tuée par une femme d’origine algérienne en octobre dernier dans le XIXe arrondissement parisien. Des slogans tels que « l’immigration tue » avaient été scandés.

    Gérald Darmanin demande donc aux représentants de l’État dans les territoires de « prendre sans délai les mesures nécessaires pour éviter que de tels rassemblements et manifestations ne se reproduisent ».

    Le Parisien via fdesouche


    09/05/2023

  • Violences policières et abus de pouvoir : le Conseil de l’Ordre des Avocats de Paris s’inquiète

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mars 2023

    Violences policières durant les manifestations contre la réforme des retraites
    Violences policières durant les manifestations contre la réforme des retraites
    Le Conseil de l'Ordre des Avocats de Paris dénonce les violences policières
    Le Conseil de l’Ordre des Avocats de Paris dénonce les violences policières

    Le Conseil de l’Ordre du barreau de Paris s’est prononcé par une délibération du 28 mars 2023 publiée sur son site internet au sujet des abus de pouvoir des forces de l’ordre dans les manifestations contre la réforme des retraites.

    Le Conseil de l’Ordre du barreau de Paris s’inquiète des conditions dans lesquelles s’exerce le maintien de l’ordre à l’occasion de la mobilisation sociale actuelle, et en particulier depuis une dizaine de jours.

    Ces conditions se caractérisent par un usage parfois disproportionné de la violence à l’égard des manifestants, majeurs ou mineurs et par un nombre démesuré d’interpellations.

    Nombre des avocats assistant les personnes placées en garde à vue témoignent de l’absence, dans l’écrasante majorité des cas, de quelconques éléments justifiant le recours à cette mesure.

    A ce jour, plus de 90% des interpellations intervenues dans la nuit du 23 mars 2023 ont donné lieu à des décisions de classement sans suite, ce qui constitue un taux inédit au regard des précédents mouvements sociaux.

    La bâtonnière a délégué plusieurs membres du Conseil de l’Ordre pour exercer son droit de visite, dans le cadre des dispositions de l’article 719 du code de procédure pénale, dans certains commissariats parisiens dans la nuit du 23 au 24 mars 2023. Il a été constaté que la majorité des personnes en garde à vue avait été arrêtée pour cause de “manif”.

    Le Conseil de l’Ordre s’associe à la position de la Défenseure des droits, Claire Hédon, qui “alerte sur les conséquences d’interpellations qui seraient préventives de personnes aux abords des manifestations. Elle souligne que cette pratique peut induire un risque de recourir à des mesures privatives de liberté de manière disproportionnée et de favoriser les tensions. La liberté individuelle ne peut être limitée que dans le cadre et les conditions fixées par la loi.”

    En conséquence, le Conseil de l’Ordre du barreau de Paris, en sa séance du 28 mars 2023 :

    RAPPELLE que la participation à une manifestation non déclarée ne constitue pas une infraction pénale ;

    RAPPELLE que la liberté de manifester est un droit fondamental, et qu’il revient à la préfecture de police de Paris d’en assurer l’effectivité par la mise en place de dispositifs de maintien de l’ordre adaptés ;

    S’INQUIETE, à ce titre, de l’usage excessif et injustifié de la violence des forces de l’ordre à l’égard des citoyens, parfois mineurs ;

    DENONCE les verbalisations intervenues sur le territoire parisien depuis le 24 mars alors que les arrêtés d’interdiction de rassemblements de la Préfecture de Police de Paris n’étaient pas publiés.

    CONDAMNE le recours abusif au placement en garde vue de manifestants.

     

    Source : medias-presse.info

  • “En France, le pouvoir absolu d’Emmanuel Macron défié”

    Publié par Guy de Laferrière le 29 novembre 2022

    “En France, le pouvoir absolu d’Emmanuel Macron défi锓En France, le pouvoir absolu d’Emmanuel Macron défié”

    Ah non, c’est en Chine. Curieusement quand les gens manifestaient contre le passe sanitaire en France, Le Monde les traitait de complotistes, d’antivax et autres joyeusetés.

    Dénigrement des manifestants, arrestations, intimidations : le PCC sait comment réprimer les débordements. Mais le régime est manifestement inquiet par ce mouvement qu’il n’a pas vu venir. Aujourd’hui, encore six millions de personnes sont confinées. Depuis plusieurs mois, des manifestations ont éclaté à cause de ces restrictions drastiques, mais depuis deux jours, la colère a gagné les grandes villes, où les habitants osent même désormais réclamer le départ du président chinois, Xi Jinping. Dimanche, une foule de manifestants, répondant à des appels sur les réseaux sociaux, est descendue dans la rue notamment à Pékin, Shanghai et Wuhan, prenant les forces de l’ordre au dépourvu. Des heurts parfois très violents avec les forces de l’ordre ont été constatés. Des arrestations de manifestants ont été rapportées.

     

    Source : lesalonbeige

  • La carte mondiale des manifestations liées à George Floyd est parlante

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020

    Cette carte (issue de Wikipedia) indique les manifestations recensées avec plus de 100 participants suite à la mort de George Floyd (consécutive à une arrestation sans rapport connu avec le racisme à ce jour).
    Elle dément les propos de l’inénarrable Castaner, qui invoquait une « émotion mondiale ».
    En fait, les 3/4 de la planète s’en moquent.
    Et l’agitation concerne les zones où les gauchistes sont actifs, cornaquant une partie de la population immigrée.

     

    Source : contre-info

  • Grèves, manifestations, émeutes... Vers le chaos.

    Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Membre du Bureau Politique du Parti de la France

    C'est une règle reconnue: confronté à une difficulté, tout dirigeant politique a tendance à vouloir refaire ce qui a déjà fonctionné une fois.

    Pour avoir réussi — mais pour combien de temps ? — à endiguer le mouvement des Gilets jaunes à défaut d'avoir pu en calmer la juste colère, Macron espère, par la concertation, le débat, la conciliation et la procrastination, pouvoir éviter que les grognes catégorielles qui montent contre la réforme des retraites et la mobilisation des personnels hospitaliers ne se cristallisent et se transforment, attisées et encadrées par les syndicats politiques, en tsunami social.
     
    La paralysie quasi totale des réseaux de la RATP vendredi dernier apparaît comme un sévère coup de semonce, en attendant les mouvements qui se préparent à la SNCF et dans la fonction publique pour la sauvegarde des privilèges acquis grâce aux scandaleux régimes spéciaux, tandis que les professions libérales entendent bien se faire entendre pour défendre leurs caisses autonomes.
     
    Débats donc, encore et encore, y compris sur l'immigration pour tenter de faire croire au bon peuple que ses préoccupations sont entendues, comprises et seront prises en compte. 
     
    Pour autant, cette fois, l'Exécutif n'a pas, face à lui, un mouvement désordonné mais des organisations aguerries, des centrales politisées, des militants structurés et disciplinés dont l'objectif reste révolutionnaire et la méthode stratégique "l'agrégation des luttes".
     
    La résurgence des manifestations violentes noyautées par les activistes gauchistes comme on a pu le constater samedi à Nantes et comme on le verra sans nul doute samedi prochain à Paris, la perspective de grèves perlées ou massives qui paralyseraient le Pays, la lassitude et le manque de moyens des forces de l'ordre dont les conditions d'emploi sont incohérentes et inadaptées, peuvent créer demain les conditions d'un chaos dont sauront profiter non seulement les organisations d'extrême gauche, mais aussi, et sans doute surtout, les racailles venues d'ailleurs, sans parler de l'islamisme politique qui, dans de nombreuses villes, n'attend que la désagrégation des pouvoirs publics pour étendre son emprise.
     
    Face à ces menaces, le pouvoir, le dos au mur, tergiverse et blablate.
     
    Le grand mensonge de la Macronie est d'avoir voulu faire croire qu'il était le parti de l'ordre. Il n'est que celui de la faiblesse et de l'impuissance alors que la France a désormais un besoin vital d'un pouvoir national fort et autoritaire. 
     
    Urgemment !